jours assez forti > pour i t-M'-l' r «j la j ipidiLé <&l,(urs mpu » < my uK. j,-qjni>r' ntfiLp]
longueur et une puissance anorm^^s^ez les-Gampylontëres,. surtout chez lester” -
pour leur permettre ders’élever jusqu’a décime.çï§s plus gfànds arbres des forêts.
Les barbes de ,ees rames aériennes présentent parfois des nar ine t l àuIuWma
moins singulières.
sa Queue. — La queue, ce.gouvernail dÈ^e^du navire a é rie j^ j^ c a y à ^ ïifo ra e
de ses pennes et_des musclés:émargés, dedesLair^rgouvoir* donne aux Oiseaux-
Mouebes'la faculté de tourner et de pirqp.ettgmdans, LatmaSpHama, .en é ts ^ ï t les
rectrices, et le pouvoir de s’arrêter tout à. coup immobiles,.uu milieuidg^frar '^el
le plus rapide.
Le plus souvent troriqu'é^u^niiminée en. ar' o n J ^ J i l f e - h s z . l e s Hélîo-
trj'jilii 1 , fourchue ( lu / les '1 b.ilurmu'-set,suident-r le / toriru-l
née par deuxj brins blanos cheî b s l ’huf jrnis, f
plumeéUinéaire^'clii'/'fé^Gfdibrv propremenl ■ 1 î U " u maJan^ 1.i
dernière tribu, les formés, les plus'.muulierys et le^qdusddnl.astique'-S Ainsi, chez
les Lesbies .et les. Saphôs, toUe.-se; divise en deux brancheSÿ^||Çü&cha une (Ji^n.uiapfKl
s’étagent les rectriaes médiaires à sjïbexternas^|§§s.penùj^se;têrmini-ut rU'iijhjm
-chez les MeUisjiguçs;jeh spatule^u en raquette chez les-Sâtures ; ea
poxgnâbd ou de ram !be/divèrvOmi^mies.
Pied&..Tr- Les piejls ordinairement pu ( Io^-.n <n n nf n * ^ n n ^ j^ ^ ^ n ^ ,^ jjJo r,ni(
d.ms la longueur reLdm^dq.leur.s doigts H. dan». (Aneftlr /,!).'«■ i:
Erebennis.ettjes, Hfuk noiriLS, ils ^onl pu -»•drdioupp ,-> fl ^ ,
iVKEU-fe^ET IIABITUB&SVy
Les Trochilidés, paf suiteljffl l’acbiVçfté lie leur respiration, sont, de feus lés
oiseaux, ceux qui -eût le sang le plûS-ehaùd'/féê passions les plus vives, les mouvements
les plus rapides et les plus brusques, les~désirs les plus- changeante-ht
ftS-plus capricieux, le caractère l^ p lu s colère et le-plus-violent. B^pliis^lég^r.
o h s t a h l l a / m o û i d B o - contrariété les irrita» On en a vu mettre en
pi. i'1P'SÇ,jrj JJ "s dni «• sreré+our-' desséchés ne répondaientpasàleurs
On a souvent agité La question relativéM’aliim ntation habituelle des Oiseaux-
Iw M î t e ^ i d ^ y 3inpi|atefr6^.'tf^M^oins en grande partiedans
^ÿll^elbtSiêilsudSsi par les nectaiiié^l^s^inrs^^aîs;laiplupart y ajoutent aussi
petites araignées i .
d g ^ gA n t un© tjeur, Iss man^te:das. Sphinx ; ils lui dérolI!
0yR^aT)J''’ de crainte de
desS'étirir : corps est dans une poi!
Uon«y B..v. p, i-^i^iirnf 1 du^p..vibrent et
frémissent avec tant ile rapidité, qulaspcroirait l’oiseaii immobile, soutenu par
n ii.M ^ ^ ^ ld i^ ^ ^ ^m < iff lâ te ^ ^ ÿ ii4 ’dHries-àomm'àges ; mais aussi. C onstants
qu.^lj iriTTil>^Lsfe"ftn iasl volent
j^Sea.i'i^ lii y i feîi11' djiilrc^j Jj.
Sci u \ >» n é.'<ÔJ*< • s des an t le privilège
“dgSli vîiHii : mais le moindre
sentiment de crainte vient-il les saisir, ils fuyent aussitôt comme un trait
l’éclair ne va plus vite.
d'un même arbrisseau,
passant successivem ni ilyui'i % litre. D’autres semblent
éÿit i 1H autre-Ço-;
libriose-t-it sfa|f|||ÿM g d ela fleur qu’ils caressent, une lutte â u s é i t ^ ^ ^ ^ g e ,
in ^ h ù ^ r, v i ^ B ^ ^ ’^di^MiwMHS,
>.-t nlîul-ièdTti^l. At< ynufe '.^ ^ ^ lâM b o n te u x
\ niS^ ^ f f l j uSjfc^aBuro'' ar-paré
l . H
1 ja vi vacité des movw.enici«||le leurs ailes, jointe à l’élasticité de leurs pennes,
;Ap^)duitv durant le vol, ■ \nk■ > de 'b rait' sourd, âna-^
V o ï.iW o tcB .