les Trochilidés pai’és avec plus ou moins de luxe. Plusieurs se nourrissent de mous-
difues et autres insectes abondants dans les lieux humides.
. § r I in »jitja.lenj prés.. d’utie fo s pli ; longues que tes in termédiaiiv,s.;:; pro-
; j I longées après le i submédiaires d’une maniejISâinéaire ou :
ü > *pai'U<#blaii -f"** ' ‘*ît*£
1 g ■'J dépassaaÿres^siibinédiaires à nein’^âli quart d^mrglbBg.H!euir.jtantôt subpa-
■§ J rallèlement jwotagees ,»pr< les saboé^aM^tantOI £fàitail^$éif£dli&>.
H 1 cies après .ces dernières, jet blanches où rousses à leur extrémité. ■. .. -•Fÿffmàmis.
- Gesse. P H A E T 0 E N I S m A - iT Û Î IN ioe Æ M J 2 B |
Swainson, Zool jour n. (1827), p. 357
- rÔmÆSffi^S — Ajoutez à_çeux d e là branclie :
les submédiaires d’une manière linéaire ou sub-
liûéa.ire en forme de brins en majeure partie blancs. Bec ordinairement plus long-
que les deux tiers ou trois quarts du corps.
Oiseaias;gpÿ|ÿûiômgÿt ide taille plus grand é..gjïie-les espèces d iggfe sÿsui van t :
- MAI. Salvin et jClliot. b a i lle u r révision,du genre Phaeboi m s, ontj^uidu si
à la science, en restreignant le nombre des espèces adoptées par divers auteurs, en
de BMl oiseaux^MOia légèi esmeat adiipis, iicommc ]p|||êQtant un caraçte
} Les -Phaetornis lo g e n t .êtrô^ptetàgés en plusieurs^etits grouges. . ■
*A 6 ; cou |g ^BM |e la poitriaæ||èH®êrts':de plumc s d’n r t fo^eiion légè-
~'V n lit bleuâtre, luisant ê®ee-~a .peu pîfy^jmss long que le ic rp sy ®ëâi re- *
'->1:1 ^ or^m'e blanche dans,
l’état adulte : les médiaires soit graduellement rétrécies et blanches à l’extré-
nül .^..vgPajaiin ''Cu t bli’ >rme fogemier groupe*
Toxoteuches).
mm ( Ouverts ÎReetriees
roux fauve à*leur
<l^r - ^r ^r ^ n' 1 d ('-les./ûiédÿaiipeé prolongées en'
brins blancs.
B JQ w y n 1*. m.v. 1 une.SMîteiKÎto^i
forme rousse ou cendrée jusqu’à la région auriculaire.
un®Mve«uJré
disparaît
i ai r ’‘S^ffmVbjjMn^ IxTS^SwK^'lA'nilrru^ÎKK '
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a Côtés du cou et de l'C| n lm tiSftEHrcï^ u|nf f i T f f r m i !■',er. mJuf 1
bleuâtre, luisantes. Yentre gris snr la région méâifn'è; Bec presque aussi long ■
jffijgiumi^fljijoiKLort' M ^ 'j^ rq ^ ^ ry ’Tnii1 bo'^n(âé hlatiëhi^&iii|ils rétat ■
ïifï c lu 14'' i‘dj.1 r,j ’ ï eru nPjtnoribt-V'à \
itMltia.fer 1 ”’.' l8r flMnWnft' (Itôæoteuches).
b Rectrices n 1res q ||^ ù n noir bleu d’aciei lans l’âge a'ifeiîte (d'un brun verdâtre
1 1 ? s le jeun. ) : les médiaires graduelleiBehjtièn __L 1 xtrémité, assez ■ :
BMpUM^viuy u tr.tii lu .'a'■ ™; i ! “ lt^îiulj-Tr, b jj r’j^ ' ’ “ T ,l 1 ^ ‘. ‘ ^ ^
o b tKecffise^ro^esf; avecdybage'xBBiE^^glaiKin a 6u%OTbBB^^8âibe'ÿïS(|u(’au
ll'"(iJd'ëoec cmqui mes de : lés médiaire terminées par un brin
M æ * ? . . r .' . . . . , , ,
Yaruqui.
Ouyi.