Grypws r u ^ ^ i ïù ,,S pik, Av., liras, p. 79, '1, pl. 80, fig-, 3.
RamfihQdon »»aew/ffli-ifwi^JjEsSON, i&jst..Nat.. des Golih -n vin. '
R am p h ^ ^ r n g e v ip s , Jaud. Katar. Libr. H um . B, i I, p: H"9, pl. 1.
Phaethornis nat . Jatui. Synopsis, p. fTS.-.-.',...
Grypus naevius, QftüLD. S%iiog:. part. III (1850),.t. I, gl. d. p l . J
Calai. — Ch-ypii^nacvi-us, SsAY-ët Mitcu. Goner. p. 105. — Bonap. Gpnsp. Av. t. I,/p ,A 7
— Id. Gonsp. T r o d i .^ e® ^ p ^ |i J AA‘t. >'é A païtf _ .
^ T à m ,s . p 1 ' — J B ( 'n \a , I ^ p l | | j $ i î u M ’- S j i j f f i l -
■ ' ^ÂSàûw W p ^ , BECTBjoe.'' 12. - ^ ’SB^S^SÈiniï i
3/‘lcain
jLoîs^. — Jî^e;^ ^ ^ K à l ) — Ailes lwIWO
H il' 'd a w s a iT i t n ^ f l t a i i ! H 042 J , f“ 24 Pxpjr^ 11
— L o n g , totale y i^ f S ï f e ^ à 'M f î8 5 0 ^ 1 7 -â
LE &RYPE TACHETÉ
a* Adulte. — ile c environ aussi long que les trois
ou à-J)ou près. \Tatidib-ué^noijujTnhac@dd|une
Banïtif^îe^d longueur il'un stllonfiKp
guenient afffi annihilantgradudlerm'nt ’< \IrtnTi
lb'ngUè,qfie.la nià'diorg^ ^ ^ M ^ ^ î^m ' lo^Hùrds (1< a.» ‘ muru-.. IJmTtn-t, f
pâle à-la b a se , noire à l’extrémité, ( 1er
Tète ]■<:' Mlle ü^^lim^d^frtiQjruf^^wtftp : )Æ i i r
fauvq pâ'lelMï MaiK.lijtrf'. nai<t-u>f au n Â
1 atiualemen t j usuu’au, a ^ a ù 'di^?ûé*-iphl^.TO;irqm e Baîmt^hïiili' ou
laite noire, <>n partie dèj> tte dernier^ < oulom au-dessous < lesMepS?^ J)o\ et t t 'h m «,
glaires r e v § t | i e | u n vi i y ^ nW o i^Kurdt es.dojpri^ N rat.trn t u rn i-
dules d’un v«9^, bynwin..fonigépt, (Ig à .nenu; pljfe&bmau^feiii'
prolongées que. les. reetpices externes, mais notablement moins jue les «édiaire. ,
assez larges,- dkB|brun-violâtre. ^wf-'ffe-Mtbtnsemo.nt.iarquep:<tà^tfei^ligl:es.riâ<rgernftTit
barbées et à reetrices peu seraes, terminées en angle plus ou moins émoussé : les
médiaires rt submédiair<;s presque égales, lés..plus longues les intermédiaires à
peine moins.longues : les subexternes et, éSirnes.graduellement plusmourtes : ;e.eè
dernières, d’un quart plus courtes que les médiaires : d’un bronzé idolâtre ou d’un
>R Y l’ X.KV’S ' p W ŸP US
JtBr.o! n ^ oiu')viix violâtre, pluslfô:jïgi||sur'ê^rtaises parties rie s médiaires, entière—
môuf.du l'b;iM'l^Si^^E^^&çïei2t^’1btil^diaiç'es brièvement d’un blatte sale à l’extré-
s i ij ffiuWinâle p6ç|êij4eup^ïnent et plus longue-
Iffitent chacune sur Iè.çôt( exteine que sur l’interne : les intermédiaires sur le quart:
|MR^^^Stiûr'-?isntjÉn||iaïoiÀV':j^^uxteru''■« ï J ^ leS?tfflfîqua/ts postérieurs environ
/èj u déplumes subfilamsnteuses ; roux sur
. garni plumes noi|6fiL#|Rtt8lSp
d t u t f i T Æ j j t j\tnudijlnni3e ludinm ment jusqu’à- la poitrine
et souvent divisée en deux branches siu-la-gorge et la base du cou : cette bande
t Tj^iTjj^^Y^ ^ g a a g S j ! ^ d bj ne kl*} Poitrinq noire ou
d’un noir brun, flaminulée de blanc ou de bla i j i sàtre. Ventre moucheté de noir
brit-n-,- sui■'-tpi fond d’un roux fanve 11 lie sur les :cô'itésjet cendré sur le milieu. Région
' ' j i a disque brun ou brunâtre.
Ua<in U l^t ^ .r osfla ^&tu'àis d’une .féiùte plus
pâle sur quelque - n’Ji 1hwK Ipif A.' (Bu S E l a m l " -i . ‘ 111 *u pP^lumés ■ Pouce pbm
üitèt-n'oV. J
tk t ■-. 1 : mais « 1 ôffi^.gie ^ S p ^ g ÆU-ÆSiÙS avantageuse ; l'e
I '1ÿÆn7u ^ , (Ki u i d iTOl v ^ g jlmT3ilo|~-l"iri Ônr< jf-’Li't''".d’ipassaüt plus linèvement
rl ‘■li'Vi to»ù) ,ji i^rÿbl'!üitm i; dgÿj^leo ‘■ir les bords;
i - • I'1'- ail' ma lieu, \ baguettes un
mj t tSfcÊI
d" 9 Jeune âge. — Taille moiné|fifaùtag( isc. Boc iin peu mon s long. Plûmes du
dos, des tectrices; alaires et J p ^ ut des tectrices caudales, barbées de fauve pâle.
UfmdnJn™^(fiAd 1,l1'™u^'(;'V'®wiwj* [iln^ffimo^^L.'ii'i-nurc n1.
_ '-FTiSiiirtl j>‘U psT i. i^ 't’li ei i d i < ■ n, j l^^mr fl i^oSü • (Muséum de Paris, Bourcier,
- Le Grrype tacheté a le vol rapide < t presque continuel; -il nè. se repose qu’à de
plorigù, i n t e a ^ a I ' - t e i >4 çj>nirifgn»!, des accents aigus et
perçantl^qui^ ^sAbferàîèàt I '■ u p -tfroi ^ w & U’étaient les mêmes dans
ItlOTt?''' lf^'rjlîoofj ^6W< r'
iÆAWitîJ'dmîib’ riili'j modeste, il semble fuir la présence’, des 'ïrocbilidés, parés avec
magnificence,' pour n’avoir pas à rougir de rindigénce âe sa livrée.
Æ rM m ^ 'T ^ P ii \ (îtriifti^ts et ^ôbTaires; iusè plaît dans lps forêts épaisses