Queue à dix rectrices1 ; de forme très-variable et parfois singulière.
Langue' extensible, formée de’ deux tuyaux caTtila@^eux®T^^d|||i- à r[âtitr,e
divisée à sa partie antérieure en deux lanières éMcnuês, frange 'â:|îf||-^A en t
terminées en spatule ’concave j ffixfèè à?8'!®‘OS^^®Mr?cèra6^longues- et fili^8rfpes.:
o" signifié mâle, r-« ^femJ5lIe,— , i, ;
'Les Trochflidès^ç^arUSjeïft to ^ o ^ t!Æ u ^ ^ } |
Oiseaux .sans huppe, aigrette’;#®. panaché'; ->.■ - :
osfSP§Sfi' v®fte ’ ; ’
H -diV'ijhlffw.Mli&ii'gwa-XsSuii'rab.i [ métalli-
I t[ue= mais .alors arête de ïàithMifipbule
- dénudée entre les scutelles, et-.poitrine
. parée d'une- b|in.(fe transversale Wan-
ëlie. . . . . ■ ■-. ■ ... '1 tociiiMÈKi.j
<hheau^agâÆWwawa- t ^ ’îtJnwglStW'fîf VJP’SÏ,
' d’uné aigrette o u j ’un panache ; soit les
'■"TV'fVV,'',Rjr<? rtC /-tÇÎUï"(iH tW§V* '* -1
1 'h it 1 ' ^(l^- T n t - B ^ m ^ y t j r g t ^ ï ï y w ^ B riSBB
Ly.pâré d’un rabat métallique, mais alors -
offrant l ’arête de la mandibule emplu- ,
_ me( entre lés scutc I le s et la j oitrine sans -L
t hâpde. transversale blanche'
de forme plus ou moins singulière ; tantôt divisée en deux branches, sur
chacune desquelles les mediâires à-subexternes gradueUement plus lon-^
gùes s’étagent sur les extern! s , tantôt formées de rectrices d< ut quel- '
ques-unes .sont terminées, soit en spatule ou en raquette, rétrécies en;.,v&-
alèné ou en.lame de poignard, S( it dloifc' çs,. très-étroites, parallèh s
sublin ik s ju( tpiI(ant _ «wfî5»fc ryaObwAtt » * t> (i vt» o ÿ
Les Trochilièns' s'e pàftagént en-deux.,^&aHffli|
A Mandibule Chargée à sa Ipseïd’une arête dorsale dénudéeentrè les' scutelles :
et visiblement à découvert ivant la partie antérii lire do.ceux- ci . . . . . i rc divisa n :
AA. Mandibule généralement couverte de plumes entre lés scutelles • t offrant. 3011 ■■
arete dorsale peu-'ou- poiTit blindée, niCÉe.'Ceuifeer~. -. - ............................2“ climsi
1 j)eux externes; deux subexternes ; deux intermédiaires ; deux süSmédiaires ; deux médiat res.
2 -Les caractères des tribus, des branches et des genres, sont pris sur les d - j&.
FREMIlOEfSï^lBlj
PRXMI&âlDMsi S t
M 1 dorgale” radsiou
'Bill » ‘ h & r u i t ii S visiblèmem à
iocoui 611 en deçà’ clct®»t,|a«î|ic antéi Lettre elfe lèeiteci : "cette arête plas oüanôins
|r‘ Aitijli lols^auf of Jfannihilant' graduellement.
*- vMn«fla 1 ’ ement plus ou mpiiis fort, rétréci, de feiitase à l’extrémité : souvent —Sl^SfS
bjêi fo ■ un Cti&'ljTSxil^
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b / ’’f ] 1 ■Ùj Æl e f h u p | ®
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n -.P n l ’ i’h aie ne
premiers oiseaux de cette fa mille sont ceux dont la robe est la nutsi mocmsle
^ t es CbÈbria?j
^g^iqrpbàtlé sugérîe'àre eï & mandibule infé-
rieûre* doümîit, les unsj4^ nSfiï bec% les à~ la supérieure, et appellent l'inférieure
revêtues d’uüiêtui corné, et, à l’exemple des
è^tb'iïloI%i|tegf}i^ ^ ^ rê'Servèrôns le' nom la s^méure*, et~doifnerôüs le nom de mâchoire à l’infèrieufej
(Mi| par s'a’plusf grandd-^oMi^^p^mi|^^ilUs tfronre M’. remplir’ le rôle exprimé par son ndm.