(ie.la m ja jffî et des herbes sqghesn f&r,qvêtus extérieurement'de Uchen^fe^apé s, à
l’abri de la pluie. .
Celui que nous avons vu daljs ^ p ^ e c t i o n ,V é n a u x étajj .tapiss^ jn jg f §urejpônt
débourré d’un blanc sa,le-etjGevêtu( extérieurement de fragmen^dJe|pç<Ét<ïe gom-
miers o u ,autres arbriâsaux.
Diamatra extérieur O»,048 (221 Diamètre mt^fteür, S“ ,022 ( f i a ). —*ïïaul ur 0” 095
a i lo.
I * Gy* Faustin'«- (BooaurK) J ln riii mi 7 , o>b. p. 7,’pU-Yfji),i lia.
4757, ne paraît être, qu’une variété'^lf§Fe*idélla^'6^r çya«oee/j/(ata, H H lH M it -
jugé MM. Cabanis,et-Heiné (Mus. ZTew._j.part. III, p.- Ai.)- ~
Elle offre, entre autres âi&éEéaces,-ûw.hecpl&sicdti’rf,<^i^ 6 f^i®l’Si'(È7 i
au lfeu dV0 , 0 2 2 (1 0 1 .).
f__Elïe habite aussi le Mexiquété'lj
La Cyanomym guatemalensis de Ms Goul^ne^sc .
la Gy. cyanocephala. Elle a . l'.n /* L k .I m ■'<?.
'buleun peupMs b f f l . - U t-të d*uTr bleu pl
d’un bronzé cm#é plus ptleoë^fum vert grisât.
Pr< VI’K Wf ,’11 1,nü ,lf ur > p ni*plu“. l o n g '
1-IaAr Ko ,lu dos^ou^ du ÿ v j t - ,Jst [ ( d n itr oi‘dmiiiroraeuf ju
sur l’épigastre ; les niôuchetü i esdèscôti .s du cou sont d’un vert nohllÉÉuîti et celles
tfês èotés*atf vénfre d’WverTOÎi'fâ'tré.
Elle ésf^®el9bôibtoune^sm^nl M ru
Cyanomya guatemalensis r Saitoî, in Ibis. t. I l, p. ~3Q. • - Gotnm, ïntiod . p.
Gbay, Hand-List. p. 477. — Ellïot; 54fin>. ofNat. Hist. (1871), p,_207.
Cet oiseau, dit M. Salvin ^■'^•aho'nâaÿt api environs de Duêüas.^llltféjuieute
une forêt voisine, et cherche sa nourriture surtout parmi les fleurs d^ih arbrejijiai
abonde dam.cetendroit. Cletprbre, quï^â|tem^KAhanteur de vinrrt'a'Vn'iit’^ic'Ul.:,,
porte des grappes d&fleurs l?MéÈês- son troncjet ses branches sont :Hérissés d’épines ;
quand on frotte ou qu’on déchiré son éc ôi'ce, il s en échappe un liquide la itlË .qui a la
propriété dte&sîsîéiïhèr üüe'enSffif^sî&'lâ^peau.
Lorsque ceColibi i veut prend rc sa nourrilui e,il.sé tient Suspendu dêvantune grappe
de fleurs, à la distance de deux où trois poiices ; aperçoit-il l’objet de sa convoitise.,
1 Ibis, t. II, p. 39.
bh rec^p§|e u n peu de 'miellat, puis
passe-i ainëi 'd|ï f l |® ‘ eu fleur) dë gyappe en
j i l'gfrfiî|l^i|ilî^fyfl)ff1 r Wh1!$5 t*1 ;
j d®^^gôéëhrffëij;tieriïraeiibj3t
aea^UiUrslfiiu'îdlnmet
l<mt qwjisySiytlÿ’- «iUwpufriineOjiüHBipe*
j'i i f t -J î i 11 q* T en 4 ils ne
dfa_ >lu$ffi[ ll’Yf. ?a!r ^ ?;j^ V a v ail tiMYè, ils se
r 1LL^ nernoncé.
fréqÉÔMKi H ( t avec une grande 1 ai idité. Ce1 cri se rapproche de celui des
11 u 1 11 rient à
lunffiqff
.. i^T^aûw 1 1f (lul
m MmnB W M ^ iiraM'r ^ 1 ^ ^ ^ itlr e mÊ
L’an dernier uniéëpple de ces oiseaux construisit son nid soer.Jà' -cyprès, prés de U
arbre, à peu de distance du premier. Pour m’emparer df.rie dernier, il fall
■ i f l ^ ^ ^ s jp ^ i t f x n v n ^ s tr'-1
Ii. eut pas, parce que fe^^ffldu nid étai t iiicqwr'bô (® dedans. Un autre couple com-
■ mença à prépar 1 r le berceau des petits à venir. • Le mâle venait souvent dans le ;
r.orriilor- où je préparais des p e a u x 'd’oiseaux, et prenait du coton presque jusques
<A fcii tleiariinjilii'àtla
,. fenêtre, se laissa prendre. Au bout de quelques instants d’agitations, il 1 s’|lpâïsau'et
(ptnit
_ se reposcrdè ses fatigues. Il îî^cherg'ha' plus à m’échapper. Avant, de lui rendre la
ljh ^ i’îSH <L. irtiàuiasit'p
' il s’empressa d’allonger sa langue pour recueillir ce liquide. Quand je lui rendis la
^ lAie^e^Phbdl' aSStüH^fe^pgrdu
le s ou venir de sa captivité