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T E R R E QUI C O N V I E N T A I-A R E N S É E .
langeant bien le tout, on obtiendrait la nieilleiire terre qui
donnerait une belle végétation.
Si la culture de la pensée se fait tons les ans, à la iiiéiiie
|)laee, il sera utile de changer ce compost pour obtenir nue
V igueur continue ; cependant, si ce ebangemeiit |)roeiirait des
iliilieultcs, le cultivateur n’aurait qu’à ajouter eiii(| eenlimé-
tres de terreau de fumier, qu’il mélangerait avec le |)récédent
compost.
Mais si l'amateur ne pouvait ainsi composer sa terre, il lui
serait au moins utile, pour obtenir de belles pensées, que sou
sol bit argilo-siliceux et eouvenaldement amendé avec du
fumier de vache bien consommé.