
(livers cvóiieinenfs dont noiis venons de parler, qui ont détruit les parois Nord-Est, ce qui donne au cône une forme oblique
et tninquce, pré>eiile l'aspect le plus complet de bonleversement et de destruction.
h iiidiqiie une des ouvertures cratèri formes d'à peu près duquaute pieds de profondeur, qui ont été produites pendant la
dernière éruption sur le sol du cratère, et qui servirent de passage aux vapeurs et aux scories incandescentes.
c sont les grands amas coniques de scories, résidus évidents d'anciens cônes d'éruption qui ont été formes également par
la rejeclion des scories. Ces amas coniques se distinguent par leur forme et leur grandeur des autres élévations qui les environnent,
et dont lu formation est un effet de l'écroulement du cratère.
à l'endroit où, au commencement de l'éruplion de 1832, la lave bouillonnante dans la cbeminée centrale, s'est frayée un
pas-age, par le quel elle commença à s'écouler sur la pente du cône, jusqu'à ce que les flancs du volcan s'ouvrirent sept
mille pieds plus bas, près de Broute.
e désigne une brèche à la partie la pins basse du cratère qui forme, pour ainsi dire, tme entrée naturelle dans son
intérieur.
f sur ce point s'élève nti massif de lave, composé de sphéroïdes, et décrit Pl. X, fig. 1.
g indique la partie aiTuissée du bord du cratère.
h celle qui est resté intacte.
Î l'endroit d'où j'ai pris la vue du cratère interne (Pl. VII.)
k indique des ouverturas semblables à celles des puits de mine. Elles occupeut le fond d'une large crevasse. Les plus
grands de ces puits, formés eu entonnoir à leur partie supérieure, ont dans le milieu une ouverture, qui est l'orifice d'uu
tube cylindrique de deux mèties de diamètre et d'une i)roroudeur inconue. Il faut remarquer qu'immédiatement au-dessus de
ces bouclies, on voyait s'élever, au milieu d'une colonne de fluides élastiques qui s'y dégagèrenj eu grande abondance et avec
un bruit violent, une flamme bleuâtre produite évidemment par la combustion du gaz hydrogène sulfuré.
A partir de la base du cône, la ligne d'enfoncement dont nous avons parlé plus liaut, se continue encore jusqu'à la
Torre del Filosopho. Elle est paremée de grands trous ovales de trente à quarante pieds de profondeur, et de diamètres
très variés qui permettent de voir très distinctement les couches de laves placées horizoutalemeut, et alternant avec des couches
de scories.
/ et m désigueut des amas de scories provenant des éruptions latérales de 1787 et 1797.
Les petites esquisses placées dans le coins de la planche, sous les numéros 1 et 2, donnent une idée de la conformation
générale de l'intérieur du cratère.
Le numéro 1 fait voir le cratère dans la direction du Nord-Est au Sud-Ouest. On y distingue la situation du gouffre
profond de 183.3 dans la paroi; l'entrée située daus le bord septentrional écroulé, et enfin la lave de 1832, ainsi que les
amas coniques de scories dans l'intérieur.
1 N L e numéro 2 présente ces mêmes détails dans la directio o r d -Ou e s t au S u d - E s t .
a indique les amas de scories.
b les bouches d'éruption de 1838.
c la situation du massif de lave composé de sphéroïdes.
L e numéro 3 presente une vue du cône de l'Etna, prise
L e numéro 4 représente la pente Sud-Est de l'Etna, prise au-dessous de NicolosI
dessous de la Casa Inglese.
16G9, qui a détruit Catania, et dans le fond, le grand courant de 1769, daus toute se
Sur le premier pian, on voit la lave de
étendue, sur Ia_ pente de la montagne.
Tafel V.
Fig. 1.
Sie giebt die Details eines Theils des Innern des grossen Einsturzes (Taf. III, fig. 1.) auf dem Kraterplateau.
Die hier abgebildete Thatsache giebt viel Äufscbluss über die innere Structur der den Krater ausfüllenden Maasen
Man sieht das natiiriiclie Profil eines, durch die Ueberlagerung zahlreicher, regelmässiger Lavascliichten gebildeten Terrains,
-welche mit anderen aus schlackigen Trümmern gebildeten, von geringerer Mächtigkeit, abwechseln.
Eine mit der Tiefe communicirende Lava-Masse durchsetzt ia Form eines verticalen Ganges diese Schichten, welche ursprünglich
horizontal, sich gegen die vertikale Masse aufrichten.
Das Gestein des Ganges, welches genau von derselben Natur ist, wie das der horizontalen Schichten wird schlackiger
und poröser in dem oberen Theile wo es allmäblig in Lavaschicbten übergeht, die der Gang durchsetzt.
Erinnert man sich, dass der Einsturz des Kraterplateau genau in der Richtung einer grossen Haupt-Eruptionsspalte Statt
fand, von der Taf. I. geredet worden ist, so erkennt man in der vertikalen Masse leicht dieselbe gangartig ausgefüllte Spalte
wieder, und Alles lässt glauben, dass sie einem grossen Theile der geschmolzenen Materien zum Ausgange diente, die sich
nach verschiedenen Richtungen hin zu dünnen und gleichförmigen Schichten ausbreiteten.
Fig. 2 n. 3.
Diese beiden Ansichten begreifen Details einer (Taf. I, rf.) angedeuteten Erscheinung, welche man als einen verfehlten
Versuch der Eruptionskräfte betrachten kann, der Lava einen Ausweg in einer von der Haupt Eruptions-Spalte abweichenden
Richtung auf das Kraterplateau zu bahnen. Man sieht das Innere der Längen- und Querspalten, die sich in dem emporgehobenen
Terrain gebildet hatteu, und, in Folge fortschreitender Hebung sich erweiternd, die Gestalt kleiner Thäler annahmen.
Die Wände dieser Thäler haben eine Lavamasse von ausserordentlicher Mächtigkeit bloss gelegt, deren Auftreten nichts Befremdendes
an einer Stelle des Kraters hat, wo besondere Umstände die grössere Anhäufung begünstigten. Die regelmäwsige
Zerklüftung dieser gehobenen Lava iu polyedrische Massen von verschiedener Grösse, erinnert an die Natur eines basaltischen
Terrain. An den, von den veriikaleu 'Wänden sich ablösenden, Massen ist die Tendenz zu vertikaler Zerklüftung vorzüglich
ausgesprochen.
In Bezug auf physikalische und mineralogische Eigenschaft unterscheidet sich diese Lava bedeutend von denen, welche
dem Krater über den Abhang entströmten.
Besonders interessant ist es zu beobachten, wie es der hebenden Kraft gelingen konnte, die polyedrischen Massen dieses
durchbrochenen Terrains, dergestalt von einander zu entfernen, dass mächtige Theile desselben von allen Seiten der Unterstützung
beraubt, eineji Umsturz oder eine mehr oder weniger beträchtliche Verschiebung erfuhren.
Die Fig. 3. giebt das auifalleudste Beispiel eines solcheu Umsturzes. Man sieht das Quer-Profil eines Theiles der gehobenen
Wand der Hauptspalte. Die ursprüngliche Lage dieser Masse ist dergestalt verändert, dass sie aus ihrer vertikalen
Richtung beinahe in eine vollkommen horizontale gebracht erscheint.
Tafel VI.
PLANCHE TROISIÈME.
Fig. 1.
(La figore At ceUc plincl.n devait potier U namiro 1, et U flgare 1 1
Celte vue, prise du sommet de la Punta del Palo, représente le cratère du Vi
1 du 26 août 183J, qui changea son aspect primitif indiqué f,g.2.
A la suite de cette éruplion, depuis longtemps annoncée par l'activité toujours croissante du Vés
ive peu de temps après la grande érup-
de 11 montagne s'étaient vidées, de sorte que la voiUe supérieure du cratère, hors d:état de sontenii
propr e poids, non
plus que celui di
3 de cendres, s
tout le promoiitoii
les cavités internes
'écroula, en entraînant avec elle ce dernier et une grande partie du plateau, y compris
L'efl'et le plus remarquable de cette éboulement fni une grande ouverture cratériforme, mais irrégulière et composée de deux
portions tont-à-fait distinctes: l'une est l'emplacement exact qu'occupait le cône de cendres écroulé. Elie a la forme régulière
d'un entonnoir renversé, des parois lisses, et dont le fund est encombré et obstrué par des matières meubles. L'absence complète
de massifs saillants de lave ou de strates de roches dures et continues dans l'intérieur de cet entonnoir, vient à l'appui de
l'oppinion qui regarde le cône de cendres comme produit par l'accumulation successive de cendres et de scories rejetées par les
diverses éruptions, et soppose à ce qu'on admette celle qui veut que celte formation ait e.t lieu par soulèvement, explication
d'ailleurs en contradiction manifeste avec tous les faits observés pendant le développement successif du cône même.
L'autre portion de cette ouverture, irrégulière et anguleuse dans son pourtour, est moins profonde que la première, dont
elle est séparée par des élévations irrégulières du sol, eu forme de digue (b). Les parois de sou intérieur présentent des alternances
de roches solides et de masses scorifiées, disposées en couclies horizontales; et, en ce qui regarde la distribulioa
des masses et rinclinaison des couches, ces profils naturels offrent d'importantes analogies avec les massifs qui convtituenl les
escarpements de la Putita del Palo et ceux de la Somma. Le fond de celle cavité est convert de blocs, de débris de lave et de
scories; le diamètre longitudinal de l'aílaissemcnl total court, dans le sens du promontoire souvent cité, du Nord-Est à Sud-Ouest
et se termine à l'emplacement qu'occupaient les derniers cônes d'éruption, Pl. I O"). C'est à leur débris qu'appartiennent les
massifs saillants qui s'élevent a droite au-dessus des bords escarpés Tout près du goufire dans lequel le cône de cendrs s'est
abîme, ou remarque parfaitement une autre cavité circulaire, et d'environ quara.Ke pieds de profondeur. Qu'on ima-ine nue
ligne qui se confonde avec le diamètre longitudinal du grand enfoncement, et qui, clmn;.eant de direclion, passe à travers la
cavité dont nous venons de parler; en prolongeant celte ligne au-delà de Punta di Oitajano, elle frapperait justement les
bouches d'éruption à la base du grand cône, d'où sortirent, le 26 août 1834, les fieuves de laves
rapport intime de tous ces phénomènes avec la grande fente d'éruption dont il était question Pl. I.
! qu'indique clairement le
Diese Tafel ist ganz besonders der Darstellutig des Baues und der Struclurverhältnisse der, Taf IV,/«;f. 1, abgebildeten
Kruptionskegel gewidmet. Bei der Innigkeit des Zusammenhanges zwischen Gestaltung und Bildungsweise derselben ist es
unmöglich von der ersten zu reden, ohne nicht wenigstens einige Worte von dem zu sagen, was eine sorgfaltige Beobachtung
ihrer Natur und Entstebinig kennen lehrte.
Sobald es den inneren Agentien gelungen ist, den geschmolzenen Materien durch die horizontalen und übereinander gelagerten
Schichten, von denen das Kraterplateau gebildet ist, einen Weg zu bahnen und dieselben dem Austritt nahe sind, so
richten sich die Sei ten w a nd ungen der Spalte in dem Maase auf, als die Masse der, ihre Weitung ausfüllenden, Lava zunimmt.
Z u gleicher Zeit wirken die ungeheure Hitze und gewaltsame Tension der Dämpfe und Gase erweichend auf die mit ihnen
in unmittelbarer Berührung sich befindenden Lavaschichten.
E s ist selbst als entschieden anzunehmen, diiss eine gewisse Quantität derselben in der That bis zur Schmelzung erweicht
und in die Masse der flüssigen Lava aufgenommen wird.
Diese flüssige Lava dringt oft in die horizontalen Weitungen ein, welche sich zwischen den parallelen Schichten entweder
schon befinden oder sich bilden, indem die hebende Kraft die Ränder der Spalte aufzurichten sucht, dergestalt, dass
die Lava unter dem Boden zu beträchtlichen Entfernungen sich ausdehnt, und mit ihrer ganzen Masse in eine Art von
unterirdischen Kanälen eindringend, oft erst weit von dem Orte ihrer Quelle entfernt, einen Ausgang an die Oberfläche
findet. Die flfisstge Lava-Sänie, deren Druck fortwährend den ihr zum Abzug dienenden Canal offen erhält, steigt und sinkt
abwechselnd und scheint mit dem Gewichte und dem Widerstande zu kämpfen, den ihr die erweichten und biegsam gemachten
Schichten eulgegensetzeii, welche durch ihr Zurückfallen fortwährend die Eruptiousmündung zu verengeu suchen.
In einem solchen Zustand der Dinge kann zweieriei eintreten:
1° Die Seil teilten, welche die Wandungen der Spaltung bilden richten sich während der heftigen Einwirkung der inneren
Agentien immer mehr und mehr auf, und es beginnt in der Richtung der Spalte die Bildung mehrerer Eruplionscenlra,
welche sich bald mit einem Wal l umgeben, zu dessen Vergrösserung die Anhäufung der verschlackten, während der Eruption
hervorgeschleuderlen Theile mit beilrägt. In diesem Falle tritt die flüssige Masse zwischen den so umgeformten Rändern der
Spaltung hervor, welche die Gestalt gesprengter Kegel haben und breitet sich über die früheren Ströme an der Oberfläche aus.
2° Oder es hören die Zuflüsse der Lava auf und indem sie in die Tiefe der Spallung zurücksinkt, treten die Ränder
der letzten wiederzusammen.
In dem ersten Falle entweichen die Dämpfe und die geschmolzenen Massen aus ein und derselben Oeffnuog, welche
die Gewalt der Eruption immer rtiehr erweitert und beständig offen erhält und diese Art der Eruption ist die gewöhnlichere.
Im zwei ten Falle, ereignet es sich früher oder später, indem die flüssige Masse auf das Nene aufwärts getrieben wird, dass
die elastischen, in den inneren Weitungen eingeschlossenen, Flilssigkeilen die bedeckende Hülle an verschiedenen Stellen gewaltsam
durchbohren und sich bleibende Abzngskanäle bilden, deren Entstehung sich nach Aussen durch partielle Erhöhungen
ankündigt.
Diese Phänomene bezeichnen, so zu sagen, den ersten Akt der Bildung der kleinen in Rede siebenden En