central grand, subquadrangulaire. BYustule de 16-30 y de long,
et 5-6 y de
IIAB. — Eaux douces.
I J é g e ; Bois Gossonfays (Nob.).
21. — X. p o ly o ïic a Bréb. ; Van Heurck, loc. c it., pl. 80,
Atl. suppl. flg. 14.
\ ’alve linéaire étroite, triondulée à renflement médian beaucoup
plus fort que les autres. Extrémités fortement renflées
eapitées. Raphé entouré d’une large zone hyaline qui se dilate
en faux stauros à lapartie moyenne. Stries écourtéesàla partie
moyenne où elles sont radiantes, devenant convergentes aux
extrémités. Prustuies de 60-80 y de long.
IIAB. — Eaux douces.
L n x e m b o n r g : Liresse (Del.).
2. fi/IDIOSÉES. — Stries robustes, aijant l ’apparence de
côtes mais résolubles en perles stries radiantes a tte ignant
à peu près le raphé.
A. — Nodules terminaux rapprochés de l ’extrémité des valves.
25. — X. o b lo n g a Kütz.; Van H eu rck , loc. cit., p. 81,
Atl. pl. 7, fig. 1.
à’alve linéaire elliptique, sensiblement renflée à la partie
médiane, extrémités très légèrement renflées eapitées. Raphé
entouré d’une zone hyaline apparente, diiatée circulairement
autour des nodules médian et terminaux. Côtes robustes finement
striées en travers, espacées autour du nodule médian,
les terminales plus serrées à direction brusquement brisée à
leur milieu, radiantes du côté du raphé, convergentes du côté
des bords. Nodules terminaux très robustes. Prustuies de ISIS
y de long.
II.AB. — Eaux douces ; Assez commun (V. H.).
26. — X. p e r c g r i n a (Ehr.) Kütz.; Van Heu rck ,lo c. cit.,
p. SI, Atl. pl. 7, fig. 2.
Valve largement lancéolée, à extrémités obtuses très faiblement
diminuées rostrées. Raphé entouré d’une étroite zone
hyaline dilatée autour du nodule médian, où l’espace blanc
forme plus ou moins un carré allongé transversalement. Côtes
divisées finement en travers, robustes, espacées autour du nodule
médian ou les stries longues sont souvent mêlées d’une
ou deux stries plus courtes ; les médianes très radiantes, les te rminales
très convergentes. Nodules terminaux assez robustes.
Frustules de 80-110 y de long.
IIAB. — Eaux saumâtres.
Anvers : (Escaut) (V. H.).
v a r. m cn is cu s Schum.; Van H eu rck , loc. cit., p. 82,
Atl. pl. 8, flg. 19.
Valve petite, largement lancéolée, extrémités diminuées plus
brusquement. Prustuies de 40-70 y de long.
IIAB. — Baux saumâtres.
v a r. n i c n i s c u lu s Schum.; Van H eu rck , loc. cit.,
Atl. pl. 8, flg. 20 à 22.
Valves très petites, lancéolées elliptiques, insensiblement
atténuées jusqu’aux extrémités ou diminuées rostrées. Espace
hyalin, parfois presque nul autour du nodule médian. Frustule
de 25-30 y de long.
HAB. — Eaux douces,
Brabant : Louvain (P. Gautier).
v a r. m e n i s c i ilu s f .n p s a l î c n s is C ru n .; Van Heurck,
loc. cit., Atl. pl. 8, flg. 23 et 24.
Etroitement lancéolé, extrémités plus ou moins diminuées
rostrées. Stries délicates. Frustules de 30-40 y de long.
IIAB. — Baux douces.
Brabant : Louvain (P. Gantier).
27. — X. c iiic ta (Ehr.) Kütz.; A'an H eu rck , loc.
cit.,
p. 82, Atl. pl. 7. fig
13 et 14.
A'alve lancéolée, très étroite, à extrémités arrondies, obtuses;
nodule médian entouré d’une aire hyaline un peu étendue
transversalement. Stries délicates plus distantes autour du
nodule médian que vers les extrémités. Frustules de 40 y env.
de long.
IIAB. — Baux douces et saumâtres.
Eaux douces. — L i è g e : Jalbay, Winarapianche (Nob.).