le système dominant. L ’un prend une partie de
l’insecte, l’autre une toute opposée pour base;
un troisième veut le tout, sans distinction de ce
qui est essentiel ou secondaire, enfin que l’habitus
décide souverainement : quoiqu’il soit rare de
rencontrer deux hommes qui le voie de la même
manière. *) Et parce que ces differentes combinaisons
, prétendues plus naturelles par leurs
auteurs respectifs, ne concordent pas avec celles
du système, on accuse celui-ci de défauts intolérables,
etc. . . Nous ne parlons pas de ces adversaires
qui l’attaquent sans le comprendre, leur
ridicule critique retombe sur eux-mêmes. Si le
système est imparfait, c’est le sort des ouvrages
de l’homme. Loin de s’opposer aux améliorations
et à la création de nouveaux genres, quand les
cas l’exigent, ses principes mêmes le demandent;
mais il y a en cela des règles, et des règles qu’il
faut nécessairement observer, si au lieu de perfection
on ne veut mettre le trouble et le désordre
dans la science.
Ces réflexions, qu’on voudra bien nous pardonner
, nous ont déterminés à reprendre dans
.*) Voyez Knoch Bejtr. I. Einleiiung p. 11.
herrschende System zu sprechen. .Der Eine legt
einen Körpertheil, der Andere einen gerade entgegengesetzten
zum Grunde, der Dritte beruft
sich auf alle wesentliche oder minder wesentliche
Körpertheile ohne Unterschied, und der
Habitus *) soll entscheiden, obschon es selten
ist, dafs zwey Menschen diesen Habitus auf eine
Art sehen. Man findet das System unerträglich
fehlerhaft, weil sich diese angeblichen natürlichen
Anordnungen mit dem System nicht vertragen.
Wir sprechen hier nicht von jenen Gegnern des
Systems, welche dasselbe angreifen, ohne es zu
verstehen, dann ihre lächerlichen Ausstellungen
fallen ohnehin auf sie zurück. Ist das System
unvollkommen , so ist dies das Schicksal der
Menschenwerke. Die Grundsätze des Systems
widersetzen sich den Verbesserungen und der
Einrichtung neuer Gattungen nicht, sie fodern
es selbst, aber es sind Grundsätze, welche man
dabey nothwendig beobachten mufs, wenn man
nicht Unordnung statt Vervollkommnung der
Wissenschaft verlangt.
Man wird uns daher verzeihen, wenn wir die
Erklärung der Kupfertafeln in jener Ordnung
*) Siehe Knoch neue Beyträge zur Insektenkunde pag. u .