De 1832 a 1837 il visita, avec son frère qui était de nouveau v enu de'rejoindre,
quelques parties cte'tffa: Gêdu;ifh]ife^ eLv-^a\A'1t>t de^ Philippin..*,'ét en liVi^/'ajan t
rassemblé une immense quantité de matériaux, il les confia au rfJ^ir c ’ de 'comiSercu
le Lucullùs y il devait accompagner ces richesses, et avait,1 p ar cette fSfibn,‘‘négligé
de les faire assurer W n ^ à iü le ‘déternüna à attendre.quel<pleS jô u x l'lt à sièfiïbaftjuer
avec lui sûr un autre navire. Le LucuUus fit naufrage en y u e (lu port de la TWtmllft
et toits ses trésors furent pnglbutihv j,"
1 CdUX Pei daifno^OTloritJrt’^a-fi/rtimeJ jïiais1, 'ce qui.esîj{Éj|||ltre h |ij| Vpgret»
P°yr la science etpqüp sa gloire,; ses nombreûslnanuscrits, conti nant ses observations,
ses descriptions et ses dessins.
Accable par cej événement 'imprtéxç,i,qui faisait évanouir tons ses têves-d’avenir,
Verreaux tomba dans l’abattement. Heureusement sa passion pour l’kistôire naturelle
se ranima et lid rendit ênçore ^espérance, MM. lesladministrateurs du Muséum
fiO^Mpcus qu'il pourrait rendre encore de grands. sers ices à cet établissement, lui
tir<nt donu(ffjj^ ^ u g arn^UOU!L'lalM i vellc-HoIhmdt.. et,
rapportait des richesses inespérées. .
Les événements politiques de 1848 lui empêchèrent de retirer de ses dècouVrles
la gloire qiîïl& vaifd&ylreit d’dgperer:
‘ Il devint alors l’auxiliaire de son~frèro et consacra pendant six ou huit ans uni
partie de son temps à aider Bonaparte à compos®%on ®^^>ectes' ajnum.
E n 1864^ m . Milne-Ed-w^'dsy qui navrait l’apprécier, s ^ in m ^ u ^ ^ ^ ^ S d i e ^ t t a
cher au Muséum, en lui confiant le poste devenu Vacant'pai la mort de M Florent-
Prévost. .
Durant le siège de la capitale, il se trouvait en Angleterre, où MM. Sclater, Salvin
Dresser, Sharpe, etc., l’avaient accueilli avec empressement ; ils utilisèrent ses
connaissances spéciales pour la détermination des espèces douteuses de leurs collet
A peine-Paris avait-il repris un peu'"üLé calme qtdoeoÇè’fé'vit à sonî^si^jfÇLgis la
santé, altérée par les fatigués de ses longs voyages, sembla dès-ce moment plus chan-.
celante ; toutefois son ardeur pour le travail s’était* encore pèu affaiblie, et rien ne
faisait pressentir sa fin prochaiae, quand, le 6 septembre 1873, il fctt'toütf? a coup
frappé d’une attaque ; et le lendemain, malgré les soins les plus empressés de la
science e t de l’amitié, il avait cessé d’exister.
é&,r|iation ^vec prpsqûe, tous les ormthblogislès distin-
gués des deux mondes, et tous lui étaient plus ou moins attachés, car il était toujours