T R OGHILIËN-S.
•sert lustre d’or. M s su s du corps d’uu^feàu v ^ l f É l t |d e s ‘eMès^ectrices niai res,
pas-saut ÇcS^eutîSj^ce^ d é n u é s ’ youbion ( l iMfr*ïoêV v ^ l s lN
■ d un eùm-eux doré, Queue entaillée jusqu au cinquième postérieu r ; à rectric* :s d’un
bronzé ou dl’un bronzé cuivreux ; .graduellement plus-longues .dessmédiaires aux
externes ou subexternes. Ailes au moins aussi longuement -prolongées queJes rec-
trices externes; d’un brun fauve-violâtre-idessous du corps revêtu,-j usqu’àfeépi:-
gastre dé plumés squammiformes vertes, plus petites sur la gorge .et les côtés du cou :
partie médiane de ce dernier parée d’une sorte de p la q u lp fi de gemme, presque
‘dt- , p d u m ^ ^ : ^ | ^ E ^ M 1;â'un bleu'rmôfet*rtf*ë%<fe^l$^%1,^'b'Ëttr'e
couvert déplumés squammiformes plus grandes, d’un ci^efdpn&, -glacé) :ètiircelant.
Sous-caudales -ver-tes, bordées de roux. Page inférieure de la queue d ’un- vert
cuivreux. Pieds bruns,-gari^s.de,petites ..plum^-yertpp ^ur,.le^^^^â6.^dTép.a>|»ny
les.tursgs.. -
P t a |arîH?e? de l’oiseau non adulte -varie avec ïâ g e l Avant de revêtir s.r'roBS
lè^frônt sans 'p sfe re ; lë'deïVÆfol^ê^la^rgr'ét d ^W f e tt fanié'Toux.
Mpts$à mesure qu’il approche cfe-èoa -état-parfait]i‘'d’eâpë§fe*Ô'ê,*ggnïme PTun-bleu „
violet qui pare le devant du cOüue montre plus ou moins incomplète, êt parfois il a
presque toute la robe de I adulte, que dé front n ’a pas encore, acquis la pras » verte
dont il doit être d&éÇ *■
verte, sans-parure sur *le- front—Rectriçei, externes et su b ex te rn ésiér-
dées d | lian e sale à i’exfrémité::;Ailes à re'cteeesv,secbiïà>ai-î!esfeir-paftfe» -Tousses.
Gorge et cou (ouverts de plumes rousses, mouche tées de vert ; poitrine revêtue de
plumes vertes, à base rousse.
Le nid-est tapissé en dedans de, graines à aigrette soyeuse, et puyêt^ou-delicir^dft, '
feuilles, sèches-, fixées à l’aide de âls d’araignées. (Collection Verreaux.)
I)iamèti’ei^|Brneï' 0^,0g||(2S b |^— Diamètre'interne. O”,030 (14 1 ) — H a à f e 0“ 0 4 2 ^
Gette espèce habite la C ô lo ^ ie Elle n’est pas ra re dans les; collections d'oiseaux
provenant de Santa - F é de Bogota. (Loddiges, Yerreaux, Gould, Bom ciei, Muscum '
de Paris, Selater, Salvin, B’ouCard, Bouvier, Sallé, Salles.)
Feu Loddiges,-„cetihabile trochilidiste,. paraît avoir été .le premier déposséder
cette espèce, à laquelle, dans ses manuscrits,,; ! avait donné le nom de T . aurôrï—
ffàsîeiy dénomination spécifique reproduite par M. Fraser dans les Procès-verbaux.
D IÈ -frE ^P ^m iR E S . rX Sm m N T H E A 297:
de là Soc. sool. de Londres (18-40) ; mais M. Boissonneau, peu de temps auparavant,
aÆ tlgfc mm iinf^dÔyuMi n-..dfoc ifen- auai9ifr,'U^Ji%mujÀmâle,; et: avait dédié ce-
brillant Colibri au prince Ch. L. Bonaparte. Bburcier, dans la Revue zoologique
(18^)j$tjj^|jgg|s les Axipgte^âe deitlyyo^ décrivit
le mâle adulte
Bonaparte-(Cliai lés-Eux ien -Æufe s-Laurééèè), prince de Canino, membre libre de
rin s ltu t, esl né à Paris le 24 mars 1803 et mort dans la même ville le mercredi
2 $ (uiîlvVl
Ce savant, l’u-ft des premiers ornithologistes du second quart de ce siècle, était
doué d’un coup d’oeil perspicace ief d’un goût passionné pour l’histoi-rc naturelle,‘
entre autres, un .Gonspécius avium, trat ail pour lequel Jules Verreaux1, l’ornitholo-
logiste peut-être le plus habile pour là détermination des espèces, lui a donné gratuitement
'Vr^^(î(mcHür^?('t1'iiÏÏ-p'i [i~ir’I i l a 1£ a 1ÎÉ1 tableau
dés Oiseaux-Mouches (C.onspeclus Trocjiûorum) élaboré avec'les ( mseils de feu
M. Bourcier et publié'dans la Revue et Magasin cle Zoologie, en 1854.
* Verroavix (Jules), dont je viens de parler et dont je garderai toujours un reconnaissant
souvenir, était m le 25 dont 1807 à Paris, oùil est mort le 7 septembre 1873.
Il a été l’un des voyageurs qui mt le plus enrichi le Muséum d( Paris par ses
dêjw.ù^vert.ft^-. : |
' A peine; âgé de douze ans,, il accompagna, en 1818,. son «flâie Belalande partant
p o « Ie"ca| dt Bonin -Espéraiic« , il le suivit en partie d ms s« s explorations pénibles
et souvent péiûlléuÿsy qu employait son temps à préparer les objets collectés
par tu ra hsja&y
Be retour en Europe en 1820, il s’attacha au Muséum de Paris ; mais, dans ses
rêves, son imagination ,1-üi montrait sans cesse FAfriqiu australe comme un Eldo-
' Il repartit pour ce pays en 1825, et, après cinq ans de séjour sur eette te rré lointaine,
il avaèfrjtëB|teilli un si grand nombre d’objets, qu’il fit Venir son frère Edodard
pour .. L.
, M. min Délessert,. ce* protecteur éclairé des sciièÿèéâ. naturelles, pi’èta ses
belles g ^l^’ies pour y faire l’exposition de ces mérveilh uses -nouveautés.
1 Verreaux disait à lous sus amis que le prince lui' avait promis de faire paraître cet ouvrage sous leurs deux