; « L’Oiseau-Moucbe de Stanley paraît être ‘foëourtisan assidufiefCetite plan tg,;-,conjointement
a \r c l’Oisrau Mouche du l ’iclunch,}, qui fini fait une guereo continueMe
« 11 m’aurait falsLuthuit j our&pour explorer cemplètemnüt ceg#eux sauvages ; mais
comment pouvoir .espérer pendant une fsemainejun temps favorable: J ’ai-réîémSSims
ce dernier rapport',rfeîdilis&au delà d&.mes espérances^ A, nne-’j,Qnrnéeÿtmagnifiq.U-e
succéda une nuit ■ super<besp,endant laquelle la lune'danssSQn,jpfei.n prêtait à
,nn charme-^féérique.'-Ehyeloppés dans-tnos ,pcmcAos^te§pèces; çle manteaux djapays,-
nous attendîmes, le jourÿiGnuèhés^UîîsdPS pierres .et abrités par un/reeber-; .malgré, le*
p oe incommodité du.liëu, nous jouîmes dès douceurssd^iMiçsommBilrpnsfond,. suc^cer
sol1 menaçant qui, dans un -moment de caprice; pouvait naùsplgidoâi^djans ljespace. .
<r I loi di'maj-nf^f&s pfiuo«,s inouie' -nous a tt' ndin nt pour i g ag n e r-f s toçhf1«
qui*Sgï@Eptii de .barrièrqtàjieet-eîLG^isr»pLinous fallut-piétiner d a d ^ s ï^ t^ ^ ^ c ^ ^ l^ f ié ,
dans- lequel nous ‘enfoncions jusqu’a t^geiroîixj avancer .pénibloiuml sU'pffièfeaihbj
mobile, qui fuit soin les pu ils, < omrrie c>djui dos dû-nos, pn nrh-e^^M^pîijù-pl^ s,
rothors qui se. brisent fcous lia-.doigts; il faut la passion d’.un mjSjpiO'} stepqii
livrer à de^ jSareillèalfedieréhes.
« Arrives enfin, apr.t-s do«, beu mis? 'longue-, et p uiibhs sur Jfe^K,gjijiLf>ŸU s $rj.us
•élevés du versant Qgpeéé, nOLtfs m^M trouvâmes bientôt ,darm?lo^Mtf./r&Mf A-gnn l’eu
■r riynn^p u lte les boeufs ],es-v< nts s’y font sentir* a^t < tanlitd( rdj
d’un froid si p én é tran t „qsjMdèjà par deux--fiaal| jlétalsr rarrivéltà: ces. champs. saKs-
My' sentir lo (ouiagi-,de poursuivie ma louto. Quel qim mime-«
nos (heva,ux-ot{iK>us finies bien Lût franchi los jk-iit f î ÿ i s s S f ï û i J i l '
sent des Daturas jd£e§gefesjyariées, puis, le ÿ p jà .i^ ^ jjlu s . -giefe s qif ^ j u d untuit il;
. la yiâl&^é^.
K n n n tr a n t a-*-Quito, toutes nos pomobioiaiont oublnes, i&;noflmjvKtstaitijiqao
Jej. plaisir d’.avj^gdaàtlp.ouEd^façieMe • des ; conquêtes nouvelles) et iÂj.dos
joni|sgn^s.iqtCe .j’aiqppjçgSpteiïHl »
- 2,-J OROTMOHILÜS CHIMBORAZl, • Dblaw^ tkt » rcie-r.- ,
^*0* H sh um tuTjiin» s ’nwmai ualut
ùsque'%ûl ' cottum supra
ditius; iectrioibus oauaae^Sidiaenca-aryaïoWF"3auda îrüncalà ’rPcïfidintS'medùs
1 A n nale s de la Société d’agriculture de L yo n , 2* 8èTiet i< J l l , (première partie), 1850, p. '200-203.
OROTROC HI LUS-CHIAI BORAZ.O
(Chuquirâgâ. insigms)