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lâtre-cOfolacé. Dessous d u corps revêï'l'-'j usîju’à.. I’épîgàstré:-cîe plume's vertes éiib-
squammiformes frangées de blanc, paxaÈÎssaûflr ainsi* pafsÔné’'àef"ffiôuchetures vertes
sur un fond blanc; marqué, à partir dé. l’épigast'rpÿ'srfr-.la ré s im limgiL'udikalô
médiaire, de mouchetures plus, grandes; restreignant les> intèrstàoes blMos qui les
.séparent; côtés du ventre .couverts déplumés vertes, prr.esqp.e;lisses',lfr,ahgt*i*-> tir, r^ux
vers la région anale petiot dernière roussâtre; Sousrcg&dales ipngnement
frangées de roux, ou roussâtres &yep-le disque^yeEt. Page inférieure lA A ^ i e
luisante.; à rectriees pièdiairpsn_L£ubmédiaire-> dbau un^eujSjifflrf^' jh-,'
intermédiaires à externes d’uh bleu d’acier "verdâtre. P ied s noirs robustes.
'fTrt!ç La femelle, a beaucoup d’analogie‘avec lè mâle, mais âl%a li*sî*i^fjs^0i^ffc
moins longue s ; b s t e' trie es e\tc 1 nef, ( f subextornos moins ’br mvi n u i r a n
bl.un : b dessouv du coips garni, sur la régie i longitudinale médium
lim^ rnyin-» -quamriiifiuitii-h sur la g o ig e 'e t bÿéoàV«‘f p i( s q u e ^ n r f d t
M. Loddiges a, le premier, fait- connaître, -én 18311 pu T r.u<lîi}idé,remarqua b le,
'qu’i l avait reçu de Popàyssn,. -
En 1847, fen uBtpi ju publia, sous 1( jjMiiyn „de / (leirqutoe 'ii^B<»isralu»de la'
Nouvelle-Grenade/qu’il're g a rd a it comme uxnF^S!ipir'l!^Sl?^
types de ces deux Trochilidés, qui appartiennent évidemment à 1a»tiiéWLjj<^iy1g^a’,j
^m .’exemplaire de la.Co'IlectioiiLoddiges.est d’une failli* un peu plus n an tau ' usr que
u lui (b*Bqurut i 1 1 a liMiiouihotures de la poitiîin un peü plus là
médiaires plus longues.
Getté’ éspèce naffifé*' la ’GSlbmbie' (Loddiges/ Bouri ier. -Vcrrc®ï.\î^(^§ÿM^ Klïffiff;
Salvm, Bouvier.}' ”
i h f s ?67
QUATRIÈME GROUPE
I 1 . K 8 I R l i ‘f'! '
GApAC rm n .-l Aubite^ffe'-ii’x
1U u. pi f*sl,'*aia sl(
llll dji^ ''fl.stl,! jn^rla^<®ni.rnif^|^é^|igqp4.âl^^^i|oâ'sa’û,ale ;
* tu et, «tint tTs jrgHffi-lljfiiîr *^d
j j j g l H i t
soit subarrondie, soit triangulaire ; généralement marquée d’une bande blanche,
Pbis ou moins pirottpc;|.^; naissant §e la copmissuri. r. issa nt sous les yeu \ et pro- i
longée sur les côtés, du içpu. Queue t r § i f ||^ b e z les rins;,. é.GÏaneréé-chez les auti e s
y'^Vj' l'»o^^Taj~i iusürtlapgîvBisfàril»io ^ i a* noms
•/ l.jj -
réunis dans ■ee^|brani be ne présentent pas b
,,L* ^ n,ïv t“rrif‘rj
de la p arure jùg ul a i r appliquées sur les côtés de la gorg<
f ^tf rnajiibbulam^i rffiüjb’etjid'r*r
njdi caractères, faii i p a r ^ i ^ f to tre: p c ^ ftEfndivision d’ -, .lÿocMiems L s il. s
A ' l{‘ t^u *aJà.‘?r *‘1
iafgqÉgf et du cou ; leurs scutepés et la ba e-de ftarê te mandibulairi saillante e f l if
ces derniers sont voilés .par des plumes, .et, sous ce; rapport, ils trouveilt^feur 'g]ac e
i ! » | | i i|§ife
Cependant par la forment la longu mr de leur bec, pàr .iéüæ gorge et le devant
**■leiu? 0011 paçès'!|çi|l'lumes squammifi nue ru moins en partie rongé■> ;|a r la b imbi
i ^ t t ^ b | ^ è ^ ^ . r 'è ^ u allu ^ J ^ p ^ . |â r ’ :^ ^ ^