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• Eiternea, Largeur des méd. « :<-v, <i|n«Fiijaj^gMBfiHfcJEgtM^Meu%uTJ|If»fe .a> terne -.
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L’EüSfpSIE DE L A F R E S fpW "
i f ‘Bt f d urf brun k ii , 'a nirî * s >1 l'-igir o w ly g i ^ B
rh force médiocre ou. assez faible ; un peu plus Ion g que la moitié:-d i lÿçrps,;; .presi j u<|
tfe lui'fuo^itjw n5 ?®r I i lontfiiufj®wrrr s
cl’arrière eh a van i, J ns'Êpiès près de l’< strémit« où il esit I &' i f m "tiRTriLV^' r ^
(fimpiuff ‘ n u i a rm p n ^ b e i t i t ' Il 1 nthfîulp «bartre*
voilée» entré les seuteiles. Tête n triangle a lM f é ; ç
térieure i it u n 11<
tach pô^toT uil'ire’bl « n k e JJt swis d<A'C‘)r,ps, Lerlrtt e s~ iuq g j|j3g^n^|j£j^
iaâ?; plume1-‘ Vf rte»,., lnstnv'Sjd’ur »llquaml IViisca
Q.uêue tronqm e ou presqul tronqué« ; à Tectrices assez larges, de longueur presqu^
égale iffiplmédiaires d’un vert bronzé : les autres d’un flàv< pâle ou d’un flavé
n ^K in ^ lm rcb lfs^ l'cxtremîto-do
siibmédiaires et des 1 ntorm'édiairès': baguettes des subinédiaires à ( » m e s d’un,
flave nan k in sur 1« u r s-part i< :s ’bai-b( es de celte couleu-r. Dessous du corps îienîétu,
depuis la gorgé jusqu’à 1 épigastre,-de plumes sj®l immiformes d’uk^ef|||pâlC:fM.
tirant sur le v ert jaune de beurre et brillant sous certain jo u ijp è S i montrant d’un
brun velouté sous le jour le moins favoi iblê. Veiylre couvert do plumes sojeusés;
noires, ■ avec les côtés d’un vert luisant. Flancs parés d’une touffe soyeuse blanche,
mais souvent peu apparente. Région analt blanckf extérieurement. Sms-caudales
prolongées au ‘moins jusqu’alttïçdeux tiers des rectrices ; lt|fdumes assez -.raidies
d’un flave pâle à la base, d’un vert luisant à l’extrémité, '^MageÛnfâr veuve ■d'mlh
queue analogue à la supérieure^-Pîbcfô•d’un.brun livlnmt
"*<9’Quand le niili nV st pas < m ure adulte" il a k s ii i ti lu
vert bronzé à l’extrémité (ordinairement sur le .tiers postérieur de leur longueur). ;
les externes d’un violâtre bronzé à leur partie postérieure ; la gorge et le thorax
mouchetés de vert sur un fond d’un blanc flave, parés'dn-fflel|.ûe^pltrmdsv^uam-
Aîfbrmes’d’un vé¥tIgMcë’, e t iflôntrant 'déjà quelques p liM® Sbires à"Ia paftiè antérieure
ded’abddmên.
. Dans l’âge' plàs t endr ë, î é j ’éune se rapproche dé|las$j.'dla la^têt&brtoé'ou'd’unbrun
fauve; les rectrices externes et snb externes, sonhun peu.moinsdongues, lkgojge
189
et la poitrine sont d’un blanc fauve, avec'dés mt uchel ures blanches et un paSP
Pl'rmes^TCÈ'iïôâSà.'lÆ) base.
rmSBM fflimW "Stpûl
■ dap’ s avec une tache verdâtre.
3fiM 3SjK5 |{m¥.ÂS|atL|ma!S!
m| lUpl^fcj^Hcil ‘-anijsg”?:
• Ges plaines sont soumises tom’ à tour à une sécheresse désolante et à une saison de
pluies. Quand, soiis l’influence d’un soleil tropical et d’un ciel sans nuages, la terre
n ’est plus a rrosée,.: 11 I i p jsSlf'herbes, dit le savant préi i T? 1 | se carbonise ; les a ni -
i “ 11 imm°biles dans la glaise desséchée
; partout la sécheresse annonce la mort et partout une nappe d’eau ondoyante
poursuit le voyageur altéré.
•Ënvéièp.pés d’épais n uages • de poussière, tourmentés i>ar la faim et la soif, les
chevaux et lès taureaux sauvages emÿÉt dans le désert. Ceux-ci i nit ent rïfh e
dé ^ o u r fk mdtri^--* n i e n t i( ( n i \
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i , Tableaux de la , Nature, tt.-