d araignées..A%autrob 1-u-, un teneur est eami duW‘t(6<itopaeu*x-oUvsoyei;(<£ol4
leotion. Vprreaqay^-ÿi
lJiam« tre t \t»rm., -0"'JQTO f i& flS g Ouïrrï^TS'jh'lén.'ur, ijW ffe â flîa^ — Éautc'u^
à -O ^ O £U. è),2Sa^.
L Z / cyaneu ( ç&lîy disUngur iacih men 1 à j\Y fl sapphirina par y têteblei^ ysoi.i.
nu nti'ii JacKeté de blanc, v a ru.trmo.»- dvini^bleo i i y . r ; de J /ƒ. (arfca par ■'aAete-
non veptgj Æsjr sa iqandibule noire^ ya^mn-i yentee^ërt,
Patru ‘hedWpdj'fl«pin-'là piovniot ’df> iiahia jusqu'à relié d e 'R î f ^ J 'à ^ ^ èl^ffî'
peu plus au sud. fWfeplau**» Gould,s®dur(âef, M u s é u m ^ « ^ j e L V i n ,
Sâllé, Bouvier, SaBgS i*
P en d e T rèchiiidés offrent des teintes aCâÉ variablfes ,îfue- eéîfêè^effiScg! '114 est dîffl -
nie do treuveu ■dtîft'x-individus mâles parfadorru ut v mblabh s La'q>ThfeDr'^>a&î«s
suivant Tâge; du bleu d-’aigue marine at-bleiÿïé p lu s ^ ^ ? e f e è . ' - ■'
Trè srabondant au Brési|£ce Colibri ! < rominitie ni-H ^ g tfm'psU t < rjfttijusMi1 u \
Les.épaisses forêts lé reçoivent p en d an t^^l& 'u re s ,(W, lei'Jsoloil" i, ■ toM sso uj^SL;
i'( lat_:Jd'A. trouve alors la frainhem t ntr< t» nu«* pa*iJjisi tamt < ex o 11 î-Ilimirt 'âff^inpÆx
mousses et-des fougères. Là croissent aussi des groupes- cjo Malmas, uwelieiuiiife.
d’Arums aux larges feuilles, au-dessus desquels s,,elèv&nt;de |«)ln,sJlùirx,.qiît, la-liwV
foaljmisëi®iMëKteat su r leur tige. Il bruit dansdêÿMenxi'deis bois connus sous le nom
de cupueirs, quand les feuilles-des végétaux.•sontiencoi(s<ouM‘rteh,>d(-*ïIa-rosop-dir
matin; il y rencontre'des abris-assuTes'ffoaââiïés panIes-p8n^he§|^bïtûiîfoU“<aÿMp-
mss«,-ami des ruisseaux, dont cette plante-''ombràgé‘le p o » s :, Promptfcoffir&'e -lAblair,
dont i l -aparfôis ; l?‘éclat, ils-’élance des somiriités fleuries
abîmes et reparaîLâu sein des Lianes entrelacées, ' avant qii&'dhsS’l!' ait
but qu’iLdésirait atteindre.
' La rapidité de sdfi vol semble le délivrer de-la crainte du danger. El g?a^pfeêlte‘
du chasseur? voltige à quelques.pas de son arme,; se rassïrre ou s’eflr^ie", et Jiritayee
autant de précipitation .qu’il s’était approché. D’autres'fcSs, suspendu surÉondêmA--
mante d’un torrent, il l’effleure denses ailes, humecte l%^emént Son plumage e |
dispâraît cotécd® -un trait.
Cet oiseau est un de ceux qui se-montrent le- plUs- souvePt dans 'legwj-ardins^ ollf
l ’attirent les massifs d’orangers en Inflorescence. On le 'voit- souvent aussi près, de
VIngasucrin, dontiln’àbàndonneies fleurs soyeiises qu’à'l'épWqd’è' ôft'elles se fanent.
3. HYL^MARIS *G ,T E A (i^ ^ ® ï .
tyfflfàffîbvxpflffiy rKu* WaPpore
æn-1a /utytffllffiî t h'/JtyWtftW'ù / w w # 1
MÈtf ’é^y$^ë^Éenéi%‘, p MWe^rCdé'SMÊÔ,
dein usque adepigaslrum squamoso violaceo- caeruleo ; ventris regione media alba,
sericen, îaterïbus viridibus. Suboaudalibus albis, nmaulâtkas-ali
' 0 ttniyu r «jV v i k *|!ir*'l^ '
•'fflrnifmy'/ t a / r r ^ l .K îu c
i i î T o V r ™î n n fpKj ( i r - ‘■lJ ^ S ^W i})?TyÇSCggf
, \ t .
p. 61, i.
I^Sja^avÆ/W/lffl? ISi lr>' h.U£ (î P V >^16.^111 i , îjlÇVKR^ 1 w !•;;
2.t— ^AqMî. ^meg
.. p 148 ’ :—
phironia lactea, Bonap. Gonsp. Troch. in Revue (1854), p. 256, 262. — Hylocharis
{Cyanocl loris) laéteru Rbichenb. Àufz. d. Gol.. pJ 10. — Sci xt. et Salv. N( mem I p 93, 1
— G. R. Gray, Hand-List, p. 148. 1908.
L ong. — J?Pf 6">,Ô2Ô (9 1.). — 0™.053 à 0n,,055 (24 1. ). — ÆeeO-zees médiaires, '0*1)27
réi^MédiairèS'; 1#- -if/t
estimes, 0“>,031 à 0'",033i(-M L). ExterBes, 0m,030 à 0'",032 ( i3 1 / 2 - - Corpç, 0m,038
(IV fi— Long, totale, 0m,08D à 0"',090 '(38 à iï)£l
L’HYL'OOHARB A VENTRE BLANlf '
Bec droit ; de force médiocre ou assez fort ; à peu près aussi long que la mlltiè.
du corps; graduellement rétréci à partir de la partie antérieure des scutelles, ju s -
ques près d© l ’extrémité, où'il est légèrement renflé.efe-'liibGoiifÇm^^pudeî’i^ r é ià
en pointe. Mandibule chair à la base,
x$$kc,' la oaPri r\aîroSiSuB^>r 7 Ùp sdnW’^jmllfe: cL i n. \ h t obscSEisÊpé|J^®p!^<,à
plumes vertes, 'ted ée sü de noir ; marquée d’une petite tache postoculaire blanche.
Dessus dM’'eo»7^reVêtùSid^pliP^éB^%!ie^'™.plangéesd|(ÿ|e«fH^‘> souvent d’un vert
olivâtre, ploetouis^in^nbsfuir;, m®]sustréegd^)ï'îquandd'Qis-eautestî!exa|tiainé.d’arrière