INGA EXCELSA.
que te calice, striée, verte, légèrement pùbeseerite, et divisée en
cinq lobes égaux, oblongs, aigus.
É t a m in e s : 3o à 5 5 , quatre fois plis* longues que la corolle. Filets
capillaires, glabres, réunis vers la base. Anthères petites, presque,
rondes.
P.?VÏ31, ovaire linéaire, glabre, porté :>uf un long pédicelle. Style
.ujvG.,AHi.. de la longueur des étamines. Stigmate presque
: Ittm5iaire$, comprimées, lisses. i>r*mes
wuSmirnëes en cercles, longues de deux à trois knjuccs
.a, jietits pot!-. uadoetibures, «’ouvrant par deux
valves, et ¡-entérinant sept ou huit graines nichées dans la pulpe
qui remplit l’intérieur des gousses.
OBSERVATIONS.
! a conspirant la ligure de l'Inga drcinalis, donnée par Plumier, avec celle de notre
îoga excelsa, on scroit d'abord tenté de regarder ces deux plantés comme appartenant
à la même espèce. Mai.,.quoique les figures de Plumier ne soient pas toujours d’une
exactitude parfaite, il n'est pas à supposer que tontes les différences que l'on découvre
dans les feuilles et les Heure soient due» seulement tu Wons regardons par conséquent
notre plante w w « m a , f.. oml.^néiép .icbu,aillons de ces deux
pUtttxü -¿»-.a ,st<»çr« wMfêi&a,
il le, !» r* ,'e ' i de ).! Magdclèue, dans un climat, extréa.
cnieirt Jhsud, et a etc rencontré an mois d'août chargé de fleure et de frirn*.
E X P L IC A T IO N DE L A P LAN CH E X V l l f ,
Fig. i, une Jleur entière.
Fig. a, une fleurfendue longiludinalemem
?, A ,r ' r. 4 .-A'