
 
		T l i l O D O N  Rwcll.  
 C . ^ W / ^ ' D ' e P i n n » 8  Jorsalis  el  »n»lis  koves,  cau.late  Mota.  
 Rem.  Outre  les  caraclèi-es  énu,mirés,  qui  placcnl  le  Triodon  clans  une fiimillo  clislinclc  ce  cenre  
 esl  encore  remarquable  par  la  for,,mie  des  rajons  ,1e  la  eaudale  q„i  esl  l  i i f f i . c . e  des  Ibrmu- 
 T ™  ^«" l  i»mals  aussi  „ombreux.  Le  
 g e n . e  étant  le  seul  de  la  famille  jus,u' , d  connu,  „,,  „ e  sauiMit  du'o si  n„el,|ues-<,ns  des  eaiaetcr 
 c s ,  nommes  dans  la  diagnose  de  la  famille,  comme  celui  des  màchoi,-es  cl  des  le-ument s  de  la  
 p e a u ,  sont  en  eOct  d'une  valeur  plus  , n e  gcncrique.  it oUme n t s  de  la  
 TnodoH  hursanus  Bwdt;  On,., Règn.  anim.  ed. ô "  1 p.  5 8 8 ; éd. luxe  Poiss.  p. r,/,0  lab  112  
 l,g.  i .  Onll..  An.  Ivingd.  Cuv.  X  tab.  1 0 ;  lilkr,  Vch. Bal . Ccn. X. \ IV lîlootk  vissch  
 p.  20.  At l . T a b . CCXIV  lig.  1.  Gyimiod.  X.  Ilg.  I.  
 Triod.  corpore  oblongo  comprtsso,  altitudin  
 • absque  velo  veiili'ali  4'/,  ad  4'/j  
 tundata  trunco  plus  duplo  altiere;  capite  acu  
 ;  velo  ventrali 1  
 Ü compresso,  latiw  
 obtuse  ror  
 tudine  corporis;  vertice  plano  vel  concaviuscuio;  linea  r  
 fjiis longiluiliiie,  longitudine  4  ci  
 in  longi- 
 in  longitudine  capitis;  naribus  utroque  Intere  2  rolundis  s  i-frontal!  declivi  rectiusculs  vel  cuncaviuscula;  oculU  diaii  
 3  I  1",  -  , ;I  « «¡:  mnxilla  r  superiore  ,  inargi.iibus  ,elevotis   ,  „aeulis    ,  
 fi,eie  intenta  
     10«.  l.gt„l,bu.,  o«tas  pb.,•)-„.„,,te,  ,.p„,„„ta,  „ „ , „ ,  , ,„„ 3 „ „  „  ¡  J  ,  ,  
 cap.te  corpareque  ui et velo  ventre,!  Eoute,Iis  omlatis  et (Ienticu,atis  •  •  •  T  •  »'.enelis;  tote  
 . .  oMi,u.  ,.e0„„gol„lb..,  velo  .„„,„11  l l«„|b„,  o.pite  m, T  »" ' - » " o r p o r .  t,¡.„guhrib«.  
 o„e  pelvi,  cpi,.  . u i „  e. ,.,.„,i  ,e.v.e.,  p'.ï  ."7  
 J»£Ì0P. B.l„l  deememe:  e „ J .  er.elll  oeaco-,e.,d,.l, ;  pi„m,  ,.,J|i,  .„bri.,  dorali  et .„.li  ,eU!.  duplo  e . " " " f " ' " » "  
 toog..,  peoB„lHu.  .e.tl..o.le  «.„d.S,  e.pl»  pta.  duplo  b„vlo,ib.,¡  e.ud.li  „„.¡.J  Lì  . „ t t s  et  ,  V""  
 l'iitïr z ì i iT  ."'"T  ""»« * ™ »  i.."ibu.  «™faw u„ ; ¡Tndïe Z2:;,;-™"; ;:  
 lì.  6. D. Ilio.  P. i ; u  vel  i;i5.  A. 1/8 ve,  1/9.  C. 4J,0;4.  
 Syn.  Ciooie  OpMnier  Valeut.  Ind.  Amb.  p. 482 fig. 423  (pe„inia).  
 Blaser ou U  Gras  Saufflarr  d'Amiaira  E e n . ,  Poiss.  Moi. I I  t.-.b.  30  fig  142  
 Graalr  Blain-,  Ihn¡buik  E u j s c b ,  Coll.  nov.  Pi,c.  Amb.  p.  3 1  t,ib.  Ili  fig  1  
 TrMan  iserje  Cuv.,  Rògu.  anim.  dd. luse  Poiss. Uib  112 fi" ,  
 a - s ' s ï ^ t  i r i í í  - 
 Hab.  Amboina;  Harouko;  Banda  (Neira) ;  in  mari.  '  
 Longiludo  3  spcciminum  410"'  ad  460"',  
 d e ' s T m  Í  ?"  animal  il  est  dil  que  celte  espéce  habile  aussi  les  mers  
 de  Sumat  a.  L  ,nd,v,dn  Ilgu,-é  dans  la  zoologie  du  Voyage  de  la  Coquille  provenait  de  l'ile  
 n c c .  Je  n a ,  ,-eçu  mcmeme  que  les  Ireis  individus  sur  lesquels  est  prise  I  deserintion  de  sorïe  
 que  l'espèce  parait  être  assez  rare  dans  l'Inde  archipélaglque.  
 U  Uuye.  Octobre  186.1.  
 L E S  BALISTES.  
 Poissons  osseux  acanthoptérygiens,  à  corps  coniprim«  oblong  ou  peu  allongé;  à  os  maxillaire  et  
 inlermnxillaire  souciés  ensemble;  à  mâchoires  petites,  armées  de  plusieurs  dénis  tranchantes  disposées  
 sur  une  simple  ou  sur  une  double  rangée;  à  rayons  branchioslèges  au  nombre  de  3  à  6  
 entièrement  couverts  par  la  peau;  à  ouverture  branchiale  ne  constituant  qu'une  l'ente  étroite;  à  
 peau  plus  ou  moins  rude  ne  portant  jamais  des  écailles  proprement  dites  ou  superposées;  à  colonne  
 vertébrale  composée  jamais  de  plus  de  3 0  vertèbres;  à  vessie  natatoire  simple;  à  deux  nageoires  
 dorsales,  dont  la  postérieure,  ainsi  que  l'anale,  est  soutenue  par  plus  de  2 0  rayons;  à  
 pectorales  et  à  caudale  bien  développées  et  à  rayons  bien  visibles.  
 Les  Dalistes,  longtemps  placés  dans  un  même  ordre  avec  les  Ostracions  et  les  Gymnodont 
 e s ,  constituent  un  grand  groupe  de  poissons,  qui  méri t e  d'être  considéré  comme  ordre  distinct,  
 et  qui,  bien  qu'ayant  quelques  traits  caractéristiques  fondamentaux  de  commun  avec  les  Ostracions  
 et  les  Gymnodontes ,  s'en  distingue  par  une  organisation  sur  u n  plan  fort  différent.  Ce  plan  
 se  reconnaît,  sans  aucune  exception,  dans  tous  les  membr e s  de  l'ordre,  et  se  traduit  extérieurement  
 par  la  forme  comprimée  du  corps,  par  la  nature  de  l'organisation  légumentaire  et  par la  
 présence  constante  de  deux  nageoires  dorsales  dont  l'anlérieure,  quoique  réduite  quelquefois  à  un  
 simple  rayon,  revêt  constamment  le  caractère  acanthoptéiygien,  tandis  que  la  postérieure  est t o u - 
 j o u r s  allongée  cl  soutenue  par u n  nombre  considérable  de  rayons.  
 Cet  ordre  se  compose  de  deux  familles,  les  Triacanthoîdes  et  les  Balisléoîdes,  qui  toutes  les  
 deux  soni  assez  richement  représentées  dans  l'Inde  archi  pélagique.  
 FAMILIA  TRIACANTHOIDEI.  
 Itnlistidi  corpore  oblongo  vcl  subelongato  spinulis  scabro;  pinna  dorsali  anteriore  pentacantha  
 vel  hexacantha;  dentibus  inaxillis  biserialis.  serie  interna  obtusis  graniformibus,  serie  externa  utra- 
 (|ue  maxilla  l ü  ad  2 2 ;  osse  pelvis  sub  abdomine  porrcelo  utroque  latere  antice  spinam  ventralem  
 magnnm  edenle;  sulco  ulroqiie  latere  ventrcm  inter  et  os  pelvis  spinam  ventralem  deflexam  recipioiilo; 
   radiis  piiinis  dorsali  posteriore,  pectoralibus  anali(|ue  iìssis;  membrana  branchiostega  radiis  G.  
 Hicn  (|U(!  peu  nombreu.v  cn  genres  et  cu  espèces,  les  Triacanthoîdes  mcrilenl  bien  d'être  séparés  
 de  la  famille  des  lâalistéoïdes.  Ce  qui  les  distingue  surtout  de  celte  dernière  famille,  c'est  le