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i ri.-- Du genre MONOÜOItA.
Dans son inestimable ouvrage (î) , Gærtner -a décrit rë"'früit
d’unë èSpèce d’Anonacée qu’il ’^ffésigti'e J sbire le nom d'Anotial ftiy-
risttia , fruit qui diffère beaucoup ' de ‘ ceux - liés autres’ espec&s ae
la famille. Il est üùicfue ^simple " et à une Seule -loge pôlÿs'j lérrtie ;
son péricarpe '*iést d’un'e ‘seule pièce', glabre',' Jissè'èt épais; le
plàceUta n’Sf'qiBs' appèfeift ; les graine! plbn^Ws*satS bmrè'rlf ifs!
Une Substance pulpeûse ^ui^ooei^e'Tintérieur de ce 'ïrtut so‘nf
organisées comme celles des' autres Anonacëés., *
La description que”" nonne Jâcqiiin pff* du 'fi^ ît^ e ^ ’MpètÆ^qu’il
appelle Anonà m ic ro c a rp a prouve que la structure île Ve Un ^-ci''e st
tout-à-fait analogue à_cellé,du fruit de l’Anona loweistica de Gærtner.
r 'Ces fruits diffèrent beaucoup de" c ^ x ^ e s ÏSMtroe™gHWël*cle ’la
faimiîle ; et à ’cause de î'elidgjjm par.tî,l que lc^/cqî'ic.iA ' qiji‘ *1^
produisent doivent constituer Un ^ n r c cnStincf. C’ê'.C^ceRîî^ q i îé.
Jlpabiis aujourd’hui sous leSi rfom de 'Monodôrà. Il se^uislingue Vie
tous les alftres genres de la famille par soIgpDV air^ ^ niq ue *, par
soï) frml uniquC’ ïY une VuTe loje^rrmerfn (nC jlli” i‘i lits grïimosr*1
M. De Candôlle-a vu ^‘à, Loudrcs'1, d.inV’lo'Whe<J herbier'' del,5T..
Lambert, iot rameau en fleurs de Y Anona mf'rigtica 'GæAn, _don t
il a foiorn voùlü me-communiquer là1 ‘ dfseçi jrtibn , ?qui^-aÿ,mSsprVÏr
pour "tracer l’exposé de‘s'‘fbrrnè§- uë^-eé^ gèniSe. '
Organes de laîrè^& u ctioni Le calice est T 3‘]iâFtfes. Les'példlcs",
au nombre de^P^jWnt disposés sûr déux r^gé^leés-extéim^^ so'ht
oblongs --lancéolés très - Ondules 'j~"-lês«4nt‘éf.i’eurs -ovaM- ‘sbl^Pplhs
épais- et plus courts que les extérieüiS'.‘;Ëm;airc:/|ppunique . ^ ovSïîë,
rétréci au sommet, glabre et_couronné,par;un-sligmalè?s^«i!e.,lia
baie quL-résulte du développement de cet ovaire est simpîfe^j-iresquê
| n | l b fruciibus et seminihus plantarum.,tont? II- pï.iÿL t. in .5 .f i.
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gIob^©|iSbf # a b re , uniloculaiie, polysperme/ Les graines ovaleffe
oHkmgm.es sont rpiaoéescsans; < ordre apparent dans; la substance, pul-’
pause qui ‘dcpiipè; l ’intérieur du fruit. Comme nous l'avons dit plus
haut (m«.il seraîvéxüêmenoen-tcintéressant d’examiner intérietfre-
mëia!t''lés »dv^rsjS!. et les jeunes. fruits, de -ces espèteés^ Lear dissection
soignée nous fera,; connaître' terni’ véritable structure interne
sur laquelle nous ‘-manquons de- nôtio'hsC'préeises.
Oegan,es.de>, la ivég'éttÀifjn'i.'düès M'onôdora Jsopt,. comme-toutes les>
Anonaçéeéykdes arbre!- ou tdës' àrbrisSeïiü-x -à- feyfteJalternCS. Leurs
fleurs sont solitaires :3sur--dps^pédbnculès latéraux, qui1 portent â>
leur! befeæ-ou- sur leurfr longiïeuf»'de-p^Stes-‘ l^iît^eè.éi*'
„t-dSTous ne|.,conmiss©ite jftopïiétés', -ni, les -usage®-de ces
V ( getuu\.
Dm genre, A&ié iin a »
Linni (■ -) ([ son m oie ont?c^ ^ p , dalFle genre-^ o n à , une
esJuV.(‘_ de ‘terni lié* d'< , original te d'?îF?n^(J'uf|^sepl
læ ffi^a lè f’C’ette^pèdë différé vraiesi®b1nes '“par son f r ® , qU*
|ôïfsi%e en.pMslèuté^^ séparées
Il-'Ç, unes- clés'' autres^ irmllilo&d&Vs^jfô^^
]lésées ' surïiAi^lSêüPràng. ~Ôn vo it, e xp o l^ q u ^ /é ë
f r u ib 'd iÆ t f li^ c o u lr d » !# d e s Anbifél.^Composé d ^ 'F ^ fm o -
-nospermeS , étroitement' ïdtf(ï<?es autour d’ui?'l^lominuiA s *
Adanswi (3) a M f pour type
mquêl il iWSffîë- dont1¥1()5â’s^df1êirêHle parler;, p q u ’il
dis^HgU#prïnrapàle^ent- par le^Cartc't^es ’ t ïf& ’du fruit 'què^’noùs
avon» H H u -d e s S u s . ® î^ f.iodm fW ^ eM sorfs ’le
-Voyer pa‘gè ’ i‘41. ’ '
pi. aV.^vt^'iS-.,
(3.)-|Adans. F
!Çrfcltor. Boréal-Americ. r. f î tLy.