ordre apparent et environnées de pulp&fll est à présumer ^àe dan?
les jeunes fruits les graines, sont disposées d'une manière régulière.
Là comnaisiance fexacte des"om ïe s oncles jeunes fruits deloagerm»
pous manque entièrement; elle serait, pourtant très. - importante,
‘J^ s - .^ e n d r a it si le fruit des Monodor* mésultei du
développement d’un seul ovaire , ou s’il résulte'de.,Fagg^itiom
très-intime 4e plusieurs ovaires * aggrégatian- dans laquelle toutes
Jes cloisons internes seraient rompues par le développement dur fruit
et formeraient la pulpe dans laquelle fes
Il nous reste § papier des fruits formés par plusieurs ovaires
isolés , W pour mieux dire, par plusieurs carpelles» distincts. iGes
carpelles sont Essaies, dans certaines;.g^ees ,,.dpngæmçmt stipités
dans d antres j sphériquesovales .ouaÈlôngs.i; à péricarpe^ charnu
® u' sec * jg ^ veHt c# aj^, J rarement.! membraneux ;
dans certains, genres, polyspertnes dans d'auttèsl Dans «^derniers,
les graines... sqiït. disposées sur un seul -rang, ou sue de,U3£.,ran.gs.t,
souvent séparées les’unes des^autres par» des: cIoisonstoi;es^ carpelles
ont souvent une forme k ''laquelle contribuent .iâ;’dlspStfon ,des
graines qu’il«, renferment Ainsi , J ^ W » *se rétrécissent sur chaque
graineet forment des fruits en chapelet; d’autres .ont des’haæéLmres.
qui répondent à la convexité des graines. Le nomhre de^carpelléà
varie selon ^jspèges»-depuis Jym q t i’à 3 on ^ f j Ils, sont,portés
sur- un réceptacle souvent peu apparent, orÆnairement^ësqifov
hémisphériquej marqué de dcaferices.apr^4nehut5 cfe4 carpettesvmu
portant lés-tüpports de cèux qui sont stipités quand ce^carpelfes.
«ont tombés.;
Péricarpe. L’épcarpe- de ees fruits est le plus. Souvent -lisse,
velu dans un petit nombre d’espèees^x surétp'b.t dans* Ial jeunesse-sdji
fru it, marqué de rugosités^' O^^^^rités.jlans quelques:- autres. Le
sarcocarpe est charnu „ coriace onqrïd-,, quelquefois membraneux.
L ’endocarpe' est“ 'prisqùe^Gjbms. T £ £ "et', luisant f i e placenta“ est
peu apparent. Dans le3 genres où les fruits résultent de l’agrégation
de plusieurs carpelles ; foféçeptacle de la flern développ^fo trouve
au centre» tke fruit et parait un vrai placent», mais Ufrjen a que,
i5 ■
Fappàrénce. Un cordon ombilical frés-GOurt attache chaque graine
à 4 st base' de chaque lôgè qui la renferme et à la partie latérale
interne de^'ette ;loge. Ce cordon omMïical se tarmine quelquefms
par un àrflle qui re’côùvre là graine en totalité oii en partie.
^"v&r'cdnèsi Les grainës Jjâfes Anohacées solitaires ou géminées dans
châque^lbgè ; sàrit ovales ou oraïes-oblongues , souvent comprimées,
de dïvér#’G'ltés par la pression'qu'elles éprouvent dans leur péri-»»
carpe: Elles oiit soüvèht' à leur ' base une pointe | à côté de laquelle
fru.-s-Sur laquelle le'eo'Morfombilical. Leur test est lisse, sec,
souvent brunâtri’^peu épais *, lelpWsouvent de,1a consistance d’une
càrte à -jouer, mais'l'tfràgfle* iLc 5saréoderme sé confond avee le
test *; la g g B n j interné :efj ï très-remarquable , comme nous
levons dit 'ailleurs ;'":elle|qsî&forffiqpn replis transversaux, planes
oûgS^poSiÉe*, dénFflm: or u m e n ,;»njp telle «orfo
que»ce^^e rm^^^s^c^Æd^itudinalementprésente de nombreuses
fr^PfraSversaMmmffes* points,^s-mullipliés.
E ’afcUmefi1 ainsi Hïvisé par fa membrane interne jjgipplit exac-
temeflt le spermodermë, Io & ’ f a par. conséquent la f o ^ ? T ’i ^ ^ t|
Mptrouvè logé à ’ia^partie "'inférieure de" »cet albumen ; il est très?
petit •' droit 5^feot^féÜons tin peu- cclmprimés , e t à, radicule presque
»cyBridrlque et imrmehrè.
Organes De 1 W 4vfeGÏTkTi^N.^Comme nou^javonts déjE dit, les
"AinMac^s sont ïôütës'Jdës /arBrës ou des arbrisseau*.
j^hc ï^Æéùrs^fc i|ës sdnt ëne’qre peu» connues. Qe^^ide,i^£simma
4riftfffi sorit>tylîrjd» iqües,, |lfun brun noirâtre, tortueiles^^se reoour*-
batffff^r.;enS-rnêmesJ'et * iprriîes'd’üneigrande quantitp,.de*chevelu.
d’ud|ÿspèce qui O£oît
darts le|vmys marécageux, ; ^ qui |st'peut-être Vl4 aç>n(i,.palusiris^ .
.sont *'frès^ïégèrës"’,,'très-ïonguës m| d’un, grand .diamètre, puisqu’on
en fai|,dfeSàBoucbéfe '!d’une| ;se^e4ï||fee.'èurmann; (&>‘ ^sûre'-ipie celles
•de Miiko'ri’n ^ sia tica 'renferment un principe jcqlorant, rouge,
pry* Piwn. ’JJIrai'.'priiif. Man g:
i.%) Thésaurus Zejlamàis^’p-, Si. , '