deux rangs; quelquefois - au -nombre .dé trois, par avortement du
rang intérieur ; par sfif anthères nombreuses et agglomérées, presque*’
sessiles, à connectif glanduleux au sommet ; jet surtout par là^stÆc-
ture singulière de sa -graine, dont l’endoplèvre ou tunique mteffi®
se loge étroitement dans le corps de l’albumen en replis nombreux,
transversaux ou,''linéaires.
Le tableau suivant servira à montrer en quoi la • famille des Ano-
nacées diffère de chacune des familles avec''lesquelles "elle a le plus
de rapports , et avec lesquelles' f'elîfe â été confondue»
Familles de Plantes dont les genres ont été précédemment groupés ’tipepj ceux
qui composent la. Famille des “
Polyp étales hypogynes; pétales en nombre déterminé; plusieurs oVaires ou apparence de plusieurs
‘ ovaires , rarement -ovaire ‘‘unique. — j&rbrës- n
Style mûque ; fruit gynobasique -T - Plusieurs slylés_ou j)omt de style ^plusieurs ovaires ,y-rarement
.graines dépourvues d'albumen. Udg «aïairfe unique; graines ponÿucs d’albuinen.
Fleurs souvent unisexuellcspar
avorte^
ment ; pétales étalés
; appéndicesned-’ 1
tariformes ; loges du
fruit sèches. -F euilles
composées, dé-
pourvues de stipules;
pédieelles simples. SlMAJB.0 VBÉES. D. G.
WÈÈÈ
Fleurs ^tbumura;
hermaphrodites; pétales
dressés^
gês- dirfruit un peu
charnues. - Feuilles
dentées 3 pourvues de '
deux stipules à leur
base jpédicelles arti-_
cillés. OCHftktiÉES» m m Ê m
(i) D. 6. Annal, du Mus. 17. p. fa** iM M B M (3) d. WmËÊBm
(4) J uss. Gen. p. 280. — D. C. h c. p. 42c
(5) Juss. Geu. p* 283. (6) Jdss. ./
Étamines en nombre indéfini»
1 ‘ ---FeiiilleSïsimplès^~'
. Etamines en nombre défini:,;
fruits monospermes rëniformes.
.JT-? Feuilles simples pufMmppséès^
dépourvues de stipules y tiges le
ïplusi .souvent 'sttrmenteuses, Menispermées. (6W^M
Pétales en nom- Pétalés 3;^; bre -'quinaire.-' Dillenia cées . borue enm.^ufilotimpl-e:« deVS^ S?--- ^
' ^-Æé^tew M Kbifc ^'-'j^Pétaîes sur
multiples''• dé ■ ce deux rang9, rare—
nombre.-Fémllés m ent 3 par avdfep
pourvues de I -*dî^^a|îg-i'
'pulés caduques. interne; étamines
MagnoliacÉES» agglomérées sur
- ; ■?MTCuxYAn^1lé^es,
> • ^presque «é.ss?ïçs,^
a logés en^dendrs’
eb en bas d’un!
connectif glandii-
•' leux au sommet»
_____ '^Éndoplevrë' lor-’*
mant . d'e nôni^;
breux replis dans
■ 'I’ajbùmén..-F(euî^i:
les dépourvues d'e .
Anonacées. (5);
I
Outre,les affinités que noûs venons de mentionner , les ÀnonÜsées
'ont quelques rapports avec* des' familles 'bien plus'1 éloignée® dans la
?sériernSt'iarèHe',des' fam;l'les de plantes. <Cjes' rapports ont? été-signalés
par quelques: auteurs^ ^fejj;eli ne>deiis'pasdèwi passer’ sous'silence. A'
ypau^eid’unc rossèmblance d’aspect où- dlune ressemblance apparente
.de - structure-,ijSIoaiïe ,’ dans sorif histoire, dqtla’ Jamaïque? (r)‘^ a'.-dècrit
soiîs le nom gédériqû^id’^^qhÏEr’lèf<^^ev« tapj,axL . , YAchras- sapota
a L . ZdpothiJViUdi, l’Achras* sapotd Zïnpo'tMlafoJFw/d.'fet le
( ht nrtt> [ué'^SojMIe mé'fdè nblnS* /
une.; ainre/‘e-ïpètj('ïidK..Sà])oti'i', .dànfetle , genre- estt-“ encore '"douteux.
Le Qrattya. tapia olîiot îfp< firu qutlpfi u ^tmManc&dejiort aVec lès
Ynoncs, la structure dl'dLpufi s .si St pulu s tsl entièremesra>miffé-
rente. L-an‘al.pgie Mes feuilles, Æfc-ùne ressemblance apparente des’fruits
- ékpliqüênfc pdutqjïoir<'®o a^ ^ e a ï (Mtèsb-^Wtftfc^décrit quelques espèces
.deSapolées, qomme faisant^gaçtic diïgonré Adwd-, mais des rapports
qui qLro^neTêî^WSmi'érrterat-.da.TOhfagei de fix’er*noire, attention , sont
* ceux que M. Àuberl| du,BMit^rnouars*» indiqué» entre lesîïïÿf-istic.ées
.<(eli s, &no)3jU-V\e-Jij^Kè'esji. lx familles sfr^Moüÿent neftïfe^feoRiisr-nosv livres
^ ^^ ^ ^ ^^ Sd é s in n e s dèsvWrasè^ï1 él-arvl-.:lona|^ii^i;d©
plaufc's^qji'l iIl>, la sei oîide; Je*- jiI.uileà-ipôlypétajt^aÆletteiâiff'érencq
nVsli.uias ? î't,j qui ^peut*' faire rêjète’rt fiefebd# Ibu^-yaffinité >' ca^t^on
saif"’aiijour(niui ùueSplï^iniifs familles apétafês1 sont trés,-,v,oisines
^fâfamitfê^Sl^géiales. ï Ainsi,, les Amentacées touchent au^Théré-
;feiuthacéeâ=',' les Euphorbiac4N>^ ^ 9BP|^flMBPHHHh%gn<-V.V. l«'&
aàntedàcées; e^| l&>;Jfhymelées ' ont de^’nitlrîlgrÆiîjàt-' rapports -avecpl.çs
pWïagrfîrè^ètti; les'v' Gombêetacées ; Çî’é â L^urrèée^ eh’ cfnt - âv^e1" les
. JîejHeridéL^;des^(5h't'jS^H)d< i Vatonn lin n (I l*sr \m ir mlh uét ®
sont frèÿ-liéqs,' iiïilîjîr.fulaiéïs Vb aiix < ..u-j ophillées. Les affinités
entre- léS|japétales et ^lew, pèlypétafes , sont teffesre(ÿuie‘ vraiSétoffiâB'ï'e-.
onaenl plusieurs familles rangées aujourd’hui dan^iinq dè ce4basses ^
sdfônbl]d||;é|^;,urL joue ahlpréih de fanmles? rah«eës‘ dâdèdlautrè'elâ^sè*,
et ceja lorsqu’on audé'êiu^^al^-.jffiiS^dK sôiml’organisatibn syméerp
J/hjBtnea. Fol, IL