P L A N T E SU S P E C T E D E L A F R A N C E
L A P A R ISE T T E A QUATRE FEUILLES.n,o*,n^.
P c L T lS q u a d r i f o l i a . X . S . JP. octane. Tcù-ap. ôny. Cette plante estvioace eUe^fleurit auprintemps e t en automne
dansnos bous. cTæ-T IG E . estimiflore, elle s ’élève de cûiq il luiitpouces, elle estsiniple, droite, ellepor ’te vers son sont-
metqiuilre F EIXIL!L E S_ verticulees, largesylàhres et luisantes en de/ôouSf dit milieu des feuilles s ’eleve unpéduneule qui porte
une F E E U R comportée d ’un calice de quatyeffeuilles laneeolées, de quatrepelaient alternée avec lesjèuilles a it.
calice et beaucoup moine larges qu ’elles, de huit étamines dont les anthères oblongs occupent la pat'de moyenne d esfv -
lits e t d ’irn germe surmonte de Quatre styles persistons. Son F R .U I T estune J3aiepotysperme il quatre loges.
aU %ho • QttcZpte/oia cite ne parte. ÿuelrois/ètul/ea, ÿne/prefoûr c/lc e/t <^yt&r<pt,tz. rùc^jatrefnarÿiterurptuairnra vijtaûhof ^ te ruantre teepar -
fier de tlpacÿLraù'an c/otfiiuprutl/eotitùilùuiecnnrûait Su /iomi/e <Kv/imSM.Zes/Lt. ai. R. C. sent <\cpùuvr à t.r loupe .Za/('/.cl. est .-elfe d'une,/èiiitte Su >
calice.Za/iij.Jl. cette d’unpetu/e.Za/iif. C. celle d'une e/Umlhe.Zi/i*/. J). reprAten&r leprul.
Ses racines n’ont rien île désagréable au goiîç mais si on les broyé entre les doigts ainsi que sesffèuilles elles ont
une odeur narcotique et virulente. Onprétend qule/le prodtdroit apetite dose l’effet de l’OPIZXMJ, on ne doit l’administrer
ultérieurement qu’avec beaucoup de prudence,