L A JU S QUIAME B LAN CH E ,, fio,™,
H y o s c i a i n u s a l b u s . L . S . P . 2 S 7 . P O R T h erlecm ru iellequ ijïeu riip en d an t£01,16 ' ’d é j',
dans les damz>s desprovinces meridionalles, e l dans lesyardins de botanique, ou nous la, cultivons. T IG E S qylmdrb-
-ques, rameuses, Uaérehwnty cotonneuses,hautesdunpicdou environ et souventpancAces,F L E U R S presque se/iiles,
disposées une à une aua> ai/!>eles desfeuilles',calice monopAyle à cinq divisions, Corolle monopélale divisée à son limbe en cinq
parties inégales, eBe a, cinq étamines et unpiftil; Ovaire dans la coroBe.YRJJÏTS, Capsule uniloculaire, s'ouvrant en travers
à sa partie supériema. F E U IL L E S péholées, sinuées, obtuses,et leyèreménl cotonneuses en de/lous,
g ftO tâ S .L a fia -A représente lextrém itésu p érieu red 'ù n etip e d e y rondeur naturelle. Z e sfp .Æ . C . re p ris e n fltd eaoe fleio v d o n t u n e ouverte.
Z e sfia .D .E , so n t celles de deux, capsides dont une e st coupee horizontalem ent.
Lorsqu'on mâche.lesfeuilles et lesjleurs de cette plante ou qtéon les broyé entre les Jotyls elle a une saveur eâ une odeur
naAtique quidéedent ses mauvaises qualités; die n'estpas moins danyereccse que lu ,<JUS QUIAME NOIRE; lespersonnes qui sont
empoisonnéesparlune ou l'autre de ces JUSQ U JAMES, ne trouvait leur salut quedans l'usayedes acides lorsqu'il erthvpbadpourad-
■ minÿlrer les vomi(ifs.