L A K E N O N C U L E « E S CH AM P S .
R a i x u n c u l u s a r v en fis . L . S . JP. Poh/a Potyp- yâo. Celte pla/ite e st annuelle^ on, la trouve dans les champs, elleyjîeurit
pendant tout l ’ete s Ses TI G-3SS s ’élèvent- de due à panne pouces, elles sont cylindriques, rameuses e t lét/érement velues ■
<>es F LEU115) sont composées diav calice de- ctnq/eudh\r non- réfléchies, de-cinq pénales d'ilnjaune un peu. verdâtre, de beau—
coup detumuies e t de cinq a dur p istils qui deviennent autant de sentences comprimées e t lier ifoées de pontes nombreuses,
droites, e t alio/ujees. ifiw F E T J I I/L E S s'ont^ qlabres,profondément découpées, rétrécies en pétiole ampleincaule, les flmÛes caul-
naires sont nndtqtdes e t leurs lobes sont très étroits, les radicales s ont seulement trifldes et ont leurs lobes plus e'iarqis.
g t J l P ' Xa/iq.e'L- reprétente un pétale éefiùutstparement. Xq.pt/- est telle é’ttne t/rtune .
Cd/iest que. lotujle/nps apres qu’on a mâcheses^flialtes, ses fleu rs e t surtout sesqraihes^p'aic/ies qu’on s ’apperçoit
dey leur acreté, elles n’ont,d’abord qu’un août d ’herbe, elles brident ensuitte/orientent là bouche -