L'ANEMONE- PIJLSATILLE.FLOR.rRAN.
ÂneRLOIie pul{afallR-£.S.P. Poi/a.pojpp. jSp. PORT herhevmace quvfleuritdans les hais les près secs ebmonùtpneua>7
endldars etydvtil. TIGE haute de 5 àopouces,neportanbjamaisplus dune pins a sonsommet. PLEUR ôtavnpleüe}sans calu»ttujanb
ordinairement sitepétales, un Iresgrandnombre detammes et de pistils: ovaires dans la Corolle. FRUIT Sy ses promet sontcharpees dîmelongue
miette plumeuse, FEUILLE S y elles sontloutesjinement découpées et plus ou moins velues, telles pu composent la COJLLJEJOETTE
sont toujours sefides. , . i , ■ r .
,tpQ.Jly & tuie-variééàfleunr roupes etune 9ont ùspétales sont re/lee/us sur eus* meme sitôt que labeur commence as'tpanoiur .Xesplp^a etJ3 sont
des/teurs depranHao' natttreï/e-.Xùplp, G J), reprérententkrfîaàr. ^ ^
Ses pleurs sont presque uiodorcs/ ses Jeudis etsit racine mâchecsjontlever des cloches au.r pensives et Irulentvio/emmtntfa, larujue.
Onfne doit attribuer tfiéà su azushcdé lapropriété quelle aaejjuerir les jRAumaùsmesqouteua-, lorsqu'on, applique- sur la
partie malade tin cataplasme de la racùie de celtepla/itejrtuche etpdeéy on a des ea-emjdes qu'un pareilrvmedc à cotise'h pantjrene
et lu mort meme à des oens ptis’en- étoientservv sansprerauton^ ou que dans lespotr détrejueri anotent soupjerltrop patiemment les
douleurs aipues qu'elle leurs causait.