P L A N T E V E N E N E U S E D E L A F R A N C E . W Ë fc
L .A . P E T I T E C ia U E ; L ’Æ T H U S ƒ , Jr'Jjj 111 Hj l / i i r u ü . > JLl jnii 1 E PERS IL E E . ilor.ïiiasc.
Æ t k u i k . cyn ap iu ra .-Z . J.P . 36y. Serbe annuelle gubvientspontanément partout,et particulièrement dans lesjardins potgg&s.
ElU'fleurit pendant tout fiel». TIGE ronde, striée, rameuse, haute de deux à trois pieds, d’unvert rougeâtre, etnontachee, commecetle^
I~ GRANDE CIGUE. F EUILLES alternas,engainées a,leur base, decoupees,comme'celles dioSERSIL daveelesgueües on. cls
peina à tes distinguer,,elles sontcependantd’unvertpàis noir, nesontpas luisantes comme'elles, etontg^u&fow | p odeur dASLguete PERSIL, n’a pas. Jeu-F LEURS sont disposées en. Ombelles dont les intérieures sont plus courtes, VOmbelfageneralleA. n p
d ’enveloppe les Ombelles partielles B. C .D , en. ont une oui a trois owcing foliolespendantes, gui Mordent do beaueoiylesjleurs.Le,
cafoce est peu apparent.Za COROLLE E. estàangpétales btÿaua^e/tea cùig etammes portées sur tepuftetgui/ait corps avec, le
cdb/ce-dêst.surnwntddedeua>sh/les e t devientunfoud ova^arrondé composede deub>graines légèrement striées . ;
oV?C>U. I ly a une variété pd/û itp a a la ùg»roup*tiir*.lM d fltren lt formula ou.etl»croitlui donnent deaproprM r bmCuitM gue/ngjfauranüe a. ta epree
La, P E T I T E CIGUË n’est pas un,poison moins redoutable-gus la GRANDE owla, CIGUË JSlAJEURE onlitdans legour .
naldepfo/sûjue,x773 que NE H AR AM d ’après les expériences gulü gfadtes sur cetteplante' atroiweguetes Mules 'otyetaiozetemt
ses pluspiMsants antidotes, gue lesvuiafore-etléjus cLcitronrétablissotentenpeu, de temps éaccradateon: Vgyes en outre tes remedes
indigues contre les eflets delco CIG U Ë M A LE URE .