LA CIGUË MAJEURE. k o r .w u . C onium I . S. P. Pm. JXp,. P ORT lier le, Ateanmudteqi^eimitenMdetJiiin^ dans les lieus incultes,dans ter fuites, &C*. TIGES haute# de3 àt>pieds, rameuses,fîstuleusai,parsemée# dtms leur partie inférieure iteùudies.oupurpurmer,ounoiratrar^liSt^&^
composées d’un Calicepeu sens Me, de SPétales inépamr etiéfiéchis, deSFtanunes et de a la ttis. Za collerette universelle est compose*
deplusteursjo/ioles, la.partielle alest/bmié* que* d’/oiefqhbte limitée en trois. FEU1I .LE S surcomposées troirjbir ^âr.FllUITS
daim à deUte, leurs Stries sontcrenelées. RACINES fusiformes approcfumtde PANAIS.
Q ff& .A A . amMfom/tdd.Jin.omte/tam/f-ai/J.C. co/lcrOUpirtet/t. J).paritefcta.fyê.JS./ïetirj .2t/ii„te,^fiuiir ri te toupe ■
Toute ta plante a une odeur puante, unj/out herbacé et salé, elle est une de celles dont l ’usaqe est le plus danqereua, tant pour-*
l ’Aom/ne auepour un, tp'iuninomb/'e it’aninau.r. T a mqortse de ses feuilles, pou/• cellesduTérsil, desespr aines,pour celtes du
Fenouil,de ses radies, pour telles du Panais, a coûté ta vie à une infinité deperso/uies. des moyens les p lu s propret aprevenir
ses nuumais effets,sont (es vomitifs; cfiviavee succès tpi’enpareil cas,on avateuneprandequantitéde /aittiède ou d ’eau tieae avec du
beiare, etçu’on sefa it vomire en se chatouillant lepotier avec ta barbe d ’une, plcmie, on art quelqtie/bisoffliqe d ’avoir recpurs a
l ’émétique ou à une lepere mfitsion de tabac. S i l ’on ne commit que' trop tard la nature decoPoirorij par sespffeés, ou,autrementJ on ned
trouveplus de soulagement que dans le t,ait; tes bofiions calmantes apranete dose et dans tes fuites .