
jg||ffî< sculpture, et de-fart des "jardins: plus resserré sbus d’autres, il
ne contiendra certainement pas des détails, .soit de statistique-,•-- suit d’histoire
naturelle, ainsi qu’on en trouve dans presque tous les voyages pittoresques;
il me semble que c’estbiea assez que de remplir un- objet déjà aussi étendu
que celui que je me propose, et d’ailleurs je sui$x;oavaincu, que lès sdiénêes;
ne peuvent- qu6-tperdroànhmna|iî^à^e|naélange^jexJirms même à
confusion, dont l’effet est de disperser les rayons destinés à produire là vérité;
et dès-lors de les rendre moins fâches à d iriger > vers un foyer-commun. On
peut juger, d’après ce que j ’ai dit plus haut, que je ne considérerai pas la
nature et le$ arts ainsi que les peintres 'Vfest-4 eux qu’appartient la connais-
sance des effets pittoresques, mais la plupartont été presque-étraugeis à celle
de l’effet moral des paysages sut notre âme et de leurs’ haimptriés Ivec elle,
qui(Sétroüventfompuésquand; on nei&isitpasleur c&mbtèfe^êt ^OSoa-ÿ^plaél
déSrdlgefeqip leslconérarimf.
Bae^Ipéinffesfôdeshi^at^iièitii^isrèfcBttltîgnôrÿncêiîîiibcèsühaÉmbiÿie^ï
mai%9omhe dbitspàs slétOnner ^?ds«^è^pasJ'ÿ<^éd#tdeSfiOoAôi®Éffh^!
quiîti§nheatàclat3feébriëîdBmoa'*|)saràohsrïno)hïliSï.ét quis^s|l®^§onfi^^®
sô^tjj^JaipbilbsopMeijowido^rstenTèt»h'er'#autànt^mi^-qfe3lPph|lli
sophes -eux^mêmes n’ont pas encore étudié ces rapports ; on troüve bien;des
passagês^dahs différens .'ouvrages ^;qui prouvent que qudqufegJpérsonhëè les
ont sentis ; maisîdés pensées: jettées: çà-et lù ne font point un système, ■ et
rien même ne peut mener à supposer qu’on.ait songé; à;en.. former un. La
théorie; que j ’annonceést donc> nouvèlle - .e e n ’êst pas; dans mon Voyage
Pittoresque que je puis la donner, j ’y veux seulement en faire l’application.
Je me réserve de donner un traitésur ce’ sujet que-je.fonderai alo:rs;i:sur un
b 'ftéiîïbw
* Avez-vous donc rapports invisibles
Des corps inanimés; e't:‘desiê'trtes^sénsiDles;: »
Jardins de Delille,
nombre inffnj,'d/obsei^falàons qùssj’àr faites dans lé cour* de mes différens
>»^es.^.'Etofeétres/ayadün©ef^époqp.ef.uri esprit; pins vigoureux que le
mden^sinmparera' dejèè smjeteétd’e traitera- rhiéuxtque je n’en’suis moi-même
^•. JS'pæ fêl^ijSeraâiawmoins d avoir fixétffattention d’hommes» plus
•W W e t j^prcû^i avpir.beàuea'ufl fait;, que d’avoir montré futilité d’un
-pouyqàu; g,enre^Ob^eRvations;.et' ^jiwou-tesj la.sonToehe nouveaux plaisirs ;
cji.effet,, déi|to:^yeiies‘.manièresd’envisager la;natùreg.nb sont-elles pas aussi
de nbuidjesiraisobsi pôi^Jî^îîiirën piefcfadmiration; est sans* doute une des
plus - wss®p,q^dj| nôtre Jm è ? La ffafajfcé .que la eOïirtoiâsance I
^ ^ ^ v ^ s ^ i h ^ i e s ^ d i p l a nature^ itoV donnera doptodittire des sensa-
;ie,ns ,agréabless influera, partrcuïiëfement'suf l’art dès-jardins, ’et nous ver-
LoeBslainsi .s’à u g ^ q t e n ^ somme-dei^ntosjyaâ'êjrs; inhoéêfls t cel’a est d’au-
tanl^lps jmjjrorlan^pQttr la société; que?cesfs6rtes dé joOisSâoces"sôiit, jus-
.ÇlM^ji^^rtainji degré,); àdà. pg®tée^dulâæke.: oêmrwte; du-penseur, db' cet
art. qui. nfj-.demahde point une ;étodé:ptofdnde- p o ^ f é if^ goûtée ^ s t plus
PfQPJe .que antre ^ f a ir^ sortir ffeapphé iljéttré’ d ô ’eeÿ'èl'i étroit de
se§^éffe«ions;;habh-i!idfes paÀooniéq^nt èperfectionn’er' son- entendement,
iu^à^sprüi.âws-^.et enfin |fg^intéresser ài®ashehamps dont.Delille
a J i i
Qui sait ai mer,les champs,, sait aimer la, vertu.
Ainsi te se t retrouve; f admirables adbora&i des plaisirs et de la vertu, aécord si-
évideniaqub t .faut qu’un homme - instruaL-soit . profondément vicieux pour
île pas, le .reconpoîhç;
d J e ihftiptwsji et' jè ne», doisipasJ donner- dtoSVib -simple avertissement
plus de développement à mes .idées. Je sens bien que plus il reste de
yague.daiis leurrexpression,. plus je laisse.de pris^àfk critique, mais je me
léserve dé h ai ter ce; sujet plus au long, dans la préface de.mon Voyage
.ittoiesque. Mes idées; sur le paysage, celles' que j ’annonce sur une différênee