
«ôté du Dannemark. Ce petit promontoire peut servir de limite, entre la
Mer du Nord et la Baltique, La distance d’un bord à l’autre à l'endroit
le plus étroit est d’environ une lieue Francise*
- - N r* 2 .
Vue des Chutes de Ttolhatta, prise au-dessous de la dernière appelée H ’efoerf*
, ;£Jsrÿ, isur m Bord élevé 4$ ^ le ^ e iÇotha^ duquel Mf. “P&jÇÜgU 7Wg>3é.
Jif/ue Amphithéâtre fi^filesjSçeypfi^- \ y
de pftls dÆ^paft^deTteu^'ét
w n g t Ces‘ d iiïtâ ’iÎTOnfe&ilSôClà
navigation dé^la Gotha1, ffêuvë qui sort du Lac Wenner etnle'^jeîté dans la
qui h’â*pius iÿ’dbs&’Aes est
^ âcfeôttiplir un oüvragé'feo’m-
xnéne^ ^ p ^ ' t r b S l^ ï ^ :' ^ 1ttiVé^u^ n â ,t a to n ï '^ :fam é 'tw lfeû te r à
xrômætta^eVqûi étoit la plus considérable, avou toiyours'é'cflou#; Wfiti,
on en a adopté un ‘ d’après 'lequel oii ëmit obligé de couper un -canal dans
le granit pendant environ l’espace d’une lieue, et d’y construire plusieurs
écluses : c’étoit un travail rebutant par sa longueur et sa difficulté ; mais il
a été poursuivi avec tant d’activité sous la direction de Mr. Nordwall, qu’il
-a été fini dans l’année 1800, après avoir duré environ douze ans.
L’impétuosité du fleuve est telle qu’il avoit renversé jusqu’alors toutes
les digues.“3’ Enfles rèpartissapt sur une plus grande.; éfendue de terrein on
a obvié à cet inconvénient. On peut admirer les ouvrages de Tiolhætta
après,jle »canal de: La.nguedqc; ^K e lu i ;c3,u Duc d e . Bri^gçwfgtqÇiî e tje ne
e.onnpis pas d ’çndgpit .qui rassemble• tant [de meryei;llesde' la nature, et de
fart.
fart. Chaque vite dës différentes chutes prise en particulier, présente lés
cmips-d’oeil IéS- plus pittoresques et les plus- intéressans.
N?_3.
Vue de la Ville de StepKfyalm, sitiuée, sûr le. Lac Mater, prise de Hile
de Langholm.
. Le jj^tinient quarré qu’on aperçoit au milieu ^est le palais du, Ror.
L’architecture en eÿ fpr’t belle etffie très-bon goût;, en tout, c’est certaine?
ment un château royal des plus beaux de fEurqnef, le mélange de rochers,
d’îles.désertes ou habitées, .df vaisseaux de toute ,espèce, d’eau, de forêts,
f r d ç montagnes aperçues dans ^ lo in ta in , et qui ^.combinent, presque
tqmoursde.diférens points de vue, nveofla belle ma® quadrangulaire du
cliâtqau, font certainement de.Stockholm une.ville qui ne ressemble à
aucune autre, et qui n’a pas sep égale pour le pittoresque,
' ( H? 4.
' , Vue du Gojphe de Bothnie pi H iv e r.
Le même, endroit qui avo'k été" sillonné auparavant par des vaisseau*]
l’est kipfésent par, des traîneaux; lamer arrêtée par le froid> est unie sur.ses
hpfds, puis à mesure- qu’on s’e^pigpaç^^etraee pép à'.peu par ses; ondulations
le-mwpmpent des flots ; elle prefid epfip' fout à faiLfàs'pect dèk
‘ ® 2 . * n ie»