;.v *%SÊÊB
ÿ ç ;V^augirard , en face de la . rue cle ;Tôurnon.,et a donné son nom à ce quartier. C’est après’joe lm
du'ïù ow reÿ te |ë Fâris-; #■ f§ | | rar^©u£ 'di^tipgifé :p Ê ïs6 t fTcàractëte- £§ie';~ j5à f s^ é p flïfôW
e t la beauté de ses proportions. Sa façade, du côté de la rue de Tournon, forme une terrasse ornéçde balus-
re&, atf ffiilieu de lafoeU^VélèSS un^ yilK®îteyBSîié'ï >ar$ïB | | pn|;,\àÿecSafc lariferne. OEe p^yHJon 'qst
s u A ’au&e , .e t entouré” de plusieurs statues. La terrasse
est terminée■ des deux côtés, par deux gros pavillons carrés. Ces deux pavillons.sont décoiîés: chacun
d’une statué-1 de marbre .'»nichée ; cp ft di^payiïloji qui est à- droite , représénté^Henri I V } et l’autre
M à r i e d e - Mé.dicis.
jqo. y 3. Vue ihtérîèufe du Luxembourg.
Les deux pavillons ,vclqpt nous avons parle* ci -dessus , sont; -joints ^au' Corps de bâtiment dû fond,
Va r des galeri’ès Soutenues, chacune par neuf arcadesy.qm ^ ^ ^ e n t s de yastes corridors * très - bien
‘ybûl^MÜeda cour^ onWôntet^ar un pëïrcm â une autre cour en terrasse, séparée*par des balustrades
en'marbre blanc , dont les piédestaux portoient des statues qui furent, vendues , ainsi que plusieurs
• lés Richelieu
' porto^ ^ ë^ é| ^ & e^ ^ ^ 3 q >joe|jÆ bâtiment est .décoré du même ordré d architecture, que celui
de la .f^cad^ extérie^ e^-^^ l e ^d^ii côjé du
du partçiT.e.. 1 «Wd
les rtunes d’une fontaine. mji‘ o fire u n superbe ^orcqau d^ rç^itqctuxp.^îdqqt, Çq^ oÿpaqcg^s’^ f tQ
encore, mais la sculpture est prqsqu’entièrepent..dégi^ e^par le. temps.; >
‘ - s^5^ 74. VÜ& du Théâtre - Wfahcais’,
L e Théâtre- Français' est- situé près du Luxembourg-J sur le1 terrein de rancifcü' Hôtel- Condé^ ‘Un
porche composé de huit colonnès doriqûesi cburiprm® r<füne ■ balustrade, *M | p î Ta^prindpale décoration
extérieure ' de" cet édflficetjuï communique j>ar déuxârouié&; à deux ^ma^ nsrlâtérâlës’, ;et est dû reste
entièrement isolé. ®ne galerie « filvertéi^cKJrSfe de '1 “1 ■ iiluui ."l .e v l-rffliule*
décoré de colonnes toscanes, offre la figure en mdrbl'è' ^ V a tS ife^ çaïpëeJpàr^f f i g n . Deux VOïtes
eé^ KrirS;j'à limite .e i‘à"gSaehe.,i c o n d u i s e n t ^et^ td.^estitiufe^rara r niéun.i'iqihiteé eu fnytr.'L.i
salle est ronde, et se térSine par douze arceaux, dirnt les voussure sont décorées dé douze signes
du zodiaque Maigri les uicontt tutus que l'on trouve à la formt d( cette salit, néanm ni ri adnfire
. les faleiK^ SMX.arcMtecte»,qinJ^ ^ ç<n^ i»5èt eti ^éfl^çhiç{a^t aux obstacles qu’ils ont eu à vaincre.
H°. jh .,,V u e d u Théâtre -Italien. ‘ t . a
j> noàveau théâtré-tugien est ‘«màrûit d'après les*d«*iloe de j&: Hêurfièr j ihiffVTiiRiiÿi rrnpla-
cetêeShJe l’Hôtel Ghrâbçuf Bes fndtifs parücnbers n’ont jîoïut pernu de placer ,1a façade de cet(
ééKfice du côté des bdulevards; un ■ 'pérfstllê de tant coloimes ioniques, d’une très-grande proportion,
décore .c é t o :feçadÿ' ^ ^ ^ %M - ' i i t t i l icription J t r l 1 O c 1 ni
remarque dans la frise. est le seul attribut qui caractérisé cet édifice. L a .fbm é de -la sallq de çe
théâtre, est un ov ale lztr.plSfdnJ; est un grand tableau peint par Renou, reprisentant Apollon au
milieu des Muses, recevant sa lyre des mains de l’Amour. Les changemens Talts aux décorations de
cette salie, en.ont beaucoup augmenté l’agrément, aussi ce spectacle est-il le plus constamment suivi.
j 6. V u e du Théâtre de TQfièroe..' *
X e # j t d n i78^ la, fin dusgectacle.., ,on vit sp ip^festpr ^ au, théâtre de 1’Opera, un incendie
considérable qui en consuma les bâlimens en peu de temps , et an; milieu duquel plnsienrs personnes
perdirent la v ie .C et établissement où les arts, l e .tgtant^ : e^ f e g 4mÆ^ W# tdssp}SWrBOWi;PW4w t«
le plus magnifique et le plus enchanteur de tons les spectacles, ayant-élé; OU- e’^ Ctàitpai8pr.-l^
champ d’élever à la hâte, une salle provisoire. On choisit pour cet effet, un terrein attenant la porte
St. - Martin, oü cette salle fut construite e t décorée en soixante-quinze jours, sons 1a direction de
r e f fS ;^ B M M nitl'e a r v a ^ W S i « M M É l jM S ë n i^
■” h i c S i . J A S ÿ ' S -1 " J " J V î‘ÿ r \ V ^ l i i , Im autfct-;§lgls J ëèltdiî^
* * lalld 1 t 1 " i .par Boqnet, forment les pr cipaux objets de cette façade qui
j^ ^ c^ract'fere.'
Vive? du ’Thëâitm âes: ^ ,, : ■
. Parmi les sp-éctacres réunis sur le s 'b o u le v a rd s l’en' clis<ingu©it particulièrement celui des Variétés;
qq^rtoujours jouit de l’approbation prft)JiqiUe* L5aflluence consjdéïaible que s,es représentations lui ont
toutjoui-s ,aitLirc , fait l’élo'^cle ceux qui eh aymèatW^ ^ tra;nsféré
N°. 78.' en fa c e de VIIô tel-Montmorency. *
N°. 79. o&ëvdrds^
Les deux vues que nous donnons ici des boulevards, ^>orït< prises en face de l’Hôtel - Montmorency
et de son pavillon chinois; cet édifice situé au coin de la chaussée' d’Antin, a etc construit ÆfiSffi
Ledoux au-Messys de la:;corniche,, s'önt'iplacées ie$/s'tqfe«
]’ucher de grands boni^ ^ ^ pafort ff d’autant
plus ridicinle^ qu’elle choque , toul-à-la-fôis $ et le goût’ è t fes^biênséancès.1 ,
'fi-é de dfâtsènal.
^ ^m jgn p r e j en^ ^ ^ ^ o p |M# oit. i’arsenal de Paris^ 'soûs^Iè^ iffls^ e>v^ ^ B ^ S <,'^fes.«seconde, racdS
àrseqail’, ônsi/des preuves^, pa^oît avoiri. existé 'â&i
résolu^d ^ ^ f è 'ïoüdre des ,canqné;,'!déh^anLdtt('au cÔi^ âe^vilMa^ ^ ^ ,
les granges-ou é toi L^deposée som'artillerie ^ avec f assurance ' d e .les^x^ ffl^ aùssi tô t‘ que la fonte' é f f s p o l i
'acq^ g^ ^ s^grang, ^ p a ç é^ ’à^?e^d^ ^ où5ser^ t^ ^ u]q^ jam£Ös'pèsTO'èe%
Henri II y fit construire des logtemcns , tant^j^ar les officiers que pour les ouvriers cle ,.1’ârti.l'lerie' ,
ainsi f| | | ^ ^ es; # ^ gFs: . lôja'te. d'ês^câSé^s0& i 56sl | Iq o ^ ^ ÿ a n t
en^détruîsitlpresque:.^on# lps:'ijferngnsiXb^ ies^ÈC
ffijrcbn,sÉi4Üire^ r^ e^ Mrj.e| | de grands ;b| Hmëna^e jardin et le mail. Louis XIII et jifîfinè'n^
'■faire, x 8y<dë ùo^ ^ àû^ ba^p^ mw ^ ëi^célevés 'eSp ^ mlâcft^d'e^ af^ ^ j^ ^
l’on a établi clés arsenaux sera
célui ( ^ ^ ^ ^ ^ ^ S' çonsérve^voloptie^ pîu^quê lé- nom. ' ’
' Kùe jdu Jardin,du R o i, du cô;té de lu rivière ; .en fa c e de V arsenal.
L e jardin d u 'Hoi ou des plantes doit .son,.établissement à Jean de la Brossa, médecin de Loui.^XTr.ll-’'1
culture des plantes éôan^èrès. 'lDàhs jaylm^ , il fut
^négligé pendant long-temps et dut en partie Spn’réfâ^ li^qmënt M l Yalot et Fagon qui;lé: repeu-
plèreqtö| ^ ^ f^ a.ncl^nombre de plantes. En 1718, la surintendance en fut donnée à M. Leclerc, comte
^ ^ ^ à^ mitiqtq(l’ a porté aûM'^Éf'.'clë splendeur et ijdÿ^ m| | i;qà^^^^>voit aujourd’hui. .Ce^jarcfrô^qùe l’on
vient cle prolonger^, jus^ oeaux^bbraâ'uê l|^ S^ïne^^^re une promenade des,plus vasteSj^dès^pra^ g^éâlalVs1
^tydls piûs^gmubr'es.1 ©n^ trouve'•dès at-bres, des arbustes^ et chaque espèce" de végétaux de tous lès
pays de la terre. Le jcabinet .d’histoire naturelle et le jardin ofîrentven .taqCOTrci le tableau des productions
de la nature entière. Un> bassin carré^ dont le fond est au, niveau' ^ Im^ M ^ ôwèrey -et
oj-nc de plantes aquatiques arrangées en.^fqr^ q\ d^ / ^ adins, ajouteÆncore^ l’} ^ U%e t '’à\Ia variété de
.eèWendï'dit.