N°. 18, Premiers vu e des souterrains de ÏMglise Saint-Médard^d^SàWsonSi, ! \ -
Saint Médard, évêque de Noyon, étant Uûort,- Clotaire premier ,fit transporter èolenmellemeiit som
corps à'Soissons, et le fit enterrervdans'Ténclos^d’une de ses mri'sons .royales, laquelle étôit âux.portes;
de • cVttë-|j^^^M^^^n^^&]^’aien même tems le dessein u éjevër sur rë^tpmKéàu.dè, cet évêque uns/
église qpi: seroi t desservié par une communauté. dp religieux. La mort ne lui permit que de cqmmen-
çer^ce monument, auquel Sigibert stm^fife.ldonna la dernière perfection, llpus les deuxf;c.qpisi|ent rcè-
lieu pour leur sépulture, e t furent inhumés sous la Crypte souterraine.. L ’intérieur de cette,eglîse n’offre
de remarquable que. tes souterrains qui sontÿ soüs le,.choeur dont on apperçoit Une partie sur Iâfdifoitéî.
Deuxième v u e des souterrains d e Véglise SainirMédd^âv
_ C e s , souterrains 'solidement construits, contiennent plusieurs chapelles1"-' çù^ljôh/méSit.PôfGce. Les
stales de c e temps étoient des niches pratiquées dans leS m w r i lle& .Q a n s ;^ on voit' Ie 'tombeau
de saint Médard.
N& a©* Bas-reliefs de Féglise Saint-Médard, e t tombeaux de F église Notre-Dame.
Les difiërens tombeaux que 1 on remarquoit dans l’église Saint-Médard, étoient ornés de bas-reliefs
analogues au& actions des grands personnages dont ils renfermoient les Gendres., DansPéglise Notre-
Damé on-remarquoit également deux tombeaux antiques de marbre, qui avoient chacun six gfe$sf de
long sur trois dè hauteur. Ces tombeaux étoient hors de l’ancienne. égUse à l a ‘place de lnqueflè^cefle
de Pabbàye ;â été Mtie; On présume que ces- deux monûinenfe vôMété érig^,sous%ün|descnfens de
Constantin .pour deux personnes de considération. Les historiens ne $ont poinf-d’accord sur cet article
avec là tradition du pïyf*.
N?, a i . Portail de F église S a in t- J e a n -d e s -V ig n e s , e t des Cordeliers*
N° . sa. Vue de F Abbaye. S a in t | J ea n - dés - feignes.
‘ L ’abbaye de Saint-Jéan-des-Yîgnes fondée en 1076 par Hugues, seigneu!‘dêiCh^teau-'Ihréiy, fut
d’abord' nommée Saint-Jean-du-Mont ; mais, depuis ‘qü^Scfli fondàfèüÿ'' lui eût. donné plusieurs; vignes
qui étoient aux epVirons, elle en prît le surnom. Ce fut en iS5o qu’on enferma dàùs une nou^flïà5
enceinte de la ville «de Soissons l’abbaye de Saint-Jèan-des-Yignes, avec quelques incultes qui'
étoient entre cette abbaye et l ’ânaenne .encemte; <S(^v^chiteçture ^eét d?un_gb\hique c% ^çc3oSsMf
e t quoiqu?eUe/ tienne aux fortifications/dcHaville, elle.-,pafoît au premier -abord être .située dans la
campagne.
. 28# Vue intérieure de F église S a in t- Jean - dés - Vignèr, î "*'
L ’intérieur de cette église ressemble beaucoup à céluî dp la cathédrale ; il n’y a de différence que
le fond, du choeur qui est terminé par de grands vitraux, par lesquels la n e f reçoit- presque toute sa-
lumière, ce qui produit un effet très-mystérieux. •
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D H W F R A M H S I
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L e L’aspect l^plt^singuliepU l’encèiWqcE^ ^
V§e' faire/sacrer
cP®^%^er9 ^ncieme galerie ;
dans, lés vestiges-, d e g à fé s ^ è ^ d ^ j | | ^ ^ ,Ù3es ’c îoW è \lg â Jdfe
défcôrée, rMnr; greo. t\< '
ancien, ^qj^jioiûViÇi S
f' ^ Lm T q ^ S o fe e f e j f e m ! ^ x x m e ^ | s | e d i b l é q c o n v o q u é ^ ' o u - m y avoit
^ ^W à ^ d concours, d ^ r in ÿ e ^ sêignéürs' et,Ç™ ^ ^% ^M $ ^ ^ ^ ^ ^ ç d t|^ u lt^ fiî^ s 'ô r ié^% c'dinbâts,i
IM p p t é u ÿ * 1 s ^ p i y v ^ M ^ ^ ^ | ! ' d p '>celuèqüe i$ | s | r l f f i
^ y inetfrC. lés/specta teùfs. • •
du château de Villeneuve, i •
Çlteaux i
®Yuè générale de ( Soissons.
vV/’ ', N • 28. Deuxième Vue du châteâü d è Villeneuve. '
saj^eff, aspect rep r^ ^ te leÆôt&ides^rdjns doul|la, aux tollés ' eaüx "dontt ill|§lmtk
ornés ,,fontider cçt1epj(Jtoit' up^séfour déj|qieux ; la fa ç a d ^ ^ ^ ( e a u à î | É o m ÿ S S ' ô | f i
^f%M?^aPP®es il^l^grestes rendent/cç^fieu fo rt^g r^ ^^ , »A /
^hM^^Ævraisô^
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