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 t  e t d’un fronton. En faci 
 quelle  est en voussure, ayêcides refends 
 encore  dans yla -même  >cour j le'portail 
 ,  v c   *   u , , 
 f  phô.lclBèaiyveauestsitu'é àVextrémité delà ra c àu  fàubouiÿSarat-Honoré. lia viie dont on jouiti'dans.Jes.  
 appartemens'  dét 'èct hôte  est d'autant plus agréable, qu’elle port,  ur la rue de Marigny, q  tplai 
 d'arbre  des  dcuidçôtés,  et  aboutit  à la-promenade-'de  Champs-Elysée  ..Entre les  deux j n d W s ;  dte  
 cet hôtel, est une e^b'ce de terrasse s outanepar liuit colonnes'qitî-làissent eritretoir lhuténeurdela cour. 
 N°. 64.  Façade 'de là maison  des  Feuillans, prise de la  place  Veridôme. 
 Vis-à-vis  la-.place  y i É l iw  est le monastère'des  FepÉms, dont le portail  fa t clevc  çnffg ^ feg te st  
 d é c ^ é ^ ^ g ü à ^ i^ lb n n e s  corintiueSfoes isplées,.d’tîà' en lablen^ JJ  
 dans  le  fend  de  la cour,  est la  porte  intérieure du courentj laquelle . 
 ^înaTasseafbel  effet;  on re  
 «, :de fé^îise.dé  ce  couvent1  qui  est  du  célèbre  Fm ieo is  JjtQps&ti.  ^ 
 ‘  N°.'-65.’ Vue  de  la  maison  de Madame  de  Tétusson. 
 •La maison  de Madamë  dè Télusson  est chaussée d’Antin,  en lace de'la rue  d’Artois.  Un  s à l ^ n r « ; ,   
 Æùlairfei'dent  k   moitié  êëttë;m ^ s ^   est  orné  dîüti*périétifè> 
 ,  et paroît-  assis  stn  forme  une  g r d ï f e ^ e ^ ^ ' t^m^lé  '^énïïè'aiî^eT, Og»' 
 a' adossé s-une. maison par i4 é ^ i^ ie.r Mâlgré* ia^bî^rTe)^r dês  èsÉ^rëctim- 
 •  mandable  par  la  beauté  de  ses- peintures  celles  du- sallon  d’assemblée  e t du5plafond iffe®|jt sall'e  de-  
 ’ooncert .^oot  dè ^ I^ ^ ^ g râ a d é ^ b ^ u té ; ■ 
 v’\ c  Fî“.;^66. Maisÿfr  de M. l)eshaves  sur le. boulevard;  ' 
 -  -.N0.  Maison  de M.  Sazni&Foiæ  sur le  boulevard. 1 fT 
 Les, botdeyards, plantés  « lib re s ,  sablés  dans  les*  varissés’.dans  le  milieu  .et  g ^ ü s ^ j i ; 
 bancs  de  distance.en distance, forment  une  des  plus, belles promenades  de  P.ané!  'È’|ïyà®al'ë'' que'l’on ’r   
 & .d ei§ ^ p ^ ^p ^O T ''éq d ip ag es:,  et les  .émbeîi^emé^^üi'y  ont'été ■ faits,  tant  par  lé ■èqrps: de  ville’  
 que  par  les particuliers propriétaires  des maisons  v o isin e sren d en t  cet  endroit  fort  agréable,  e t for^f  
 fréquenté.'  E ntre les  diverses m a is o n s 'd o n t"É cM |^ d s ;s o n t bordés  des  deux  côtés,  on  y  remarque^  
 particrabèrement  celles de  MM.  Deshayes et  de  SaintêyEfîix;; qui  n’ènrTÎen'  épàf^è~pdurieOT5^ | f ^ , a   
 lissement,  et pour  fixer sur  elles  l’attention  dés* sjæcl&ëürs;  • 
 de VÂjnbTgifrÇomiq ue  sj^rrl^F'oul:ev>ardb 
 L'Aînbigp-Comî^[üé  est Un spectacle dont le s  décorMonsÆ^^pHarmantss ,  et lteÿÆamtpmimes  qiifo^i  
 y^^èÉ  sdn6 du  plus  grand  effet.  Ce spectacle,  quF'a^të^éhftepris  par  Addinot, '^^&igé;»âyec/*U^g^  
 attention  singulière  et  un  goût exquis, presque sans  exemple'danÇles  g r a n d s ^ ' t b e i | ' ^ ^ •• tous^  
 lês  aëtetns  étoiént  des enfans,  oe â ^ l t u   attira dans les p r e 6 ^ ^ : t ^ j ^ ;b è ^ e o u p  de réppMion etjmfjt  
 grand  concours  de* inonde. 
 Yy,e  du  Café . Turc  sur -ié.;.boulevard* 
 Parmi  IeS  brillons  cafés  éënsîruits sur  les  boulevards,  on  distingua  particulièrement  le 
 café  Turc qui  ne le cède  en rien  aux  antres.  Les  raffrâî'diissemens  dé f | | |Ç é j9| | é ' |;ë ë S ^ p  yVencï, ■  
 J a  musique  que  l’on y   fait  entendre,  attirent d n s  ce lien  une  affluence  de  monde  considérable.  Les  
 jeux et  les spectacles-qui  août rassembles sur les boulevards, le concours des belle:  voiture  u y n .   ont et  
 repassent  continuellement;  la  quantité  des  personnes  assises  sur  des  chaises pour  voir  et  être  vues,  
 produisent; des  eSfetsyariés  qui  fixent  agréablement les yeu* du puKHe. • 
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 ■è ƒ   coii^âctéeS^ Après.'.: uÉ ^ufër|î|||ÿ^e^ ^i|g®^ansv, G^ë^iWéi travaux 
 %SÇliqn.en. fut.confiée â Oppénord  m:ennei...,r  hilcc  du  due  .,^'1  ,1 
 ,s  .m  ,,d  „  - .   , 
 ü enJe11' 0tll,S ^ * cu‘e ^   Ce.pertail:.q„ i,a lsoLraete, quatre, l.toîsesude  iàce,  <  a j   ,.Q 
 :^ m B Ê Ê S ^ / tM iiâ Ê u S Ê 3Æ » Æ m ^ a U nt.e  ,  — M 
 reS'a™0 -SPÏÏmf ,T ' . p u p e æ g Ç ^   :in  .aéeonvHroit.' p r-- mi e u x b e ' im:   sH 
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 .$ g .p   qul  °‘,n,1  *  Il ÙiU m  JtI U mv!  t l f a   tr i t w   I   '   ' i -   U   ],  u  le  b a l | t l , 4  ,  e  . 
 p i i | 71.  Ewé lAferzcttre. éife  |  ' 
 301^icnt-Va. tribum 
 l~ïbfù>  ï l h ' i   ’V 1'# Lm  j . ' I  >   E*i‘.iéexée J ^ S S H S K g S ! 
 tu'rqpin;  ct  ïes '. oryiimens .' a j i B l S  dore  d'or- Ï Ï 
 rcpr&eVl^.Æarched'alliauee,  et i g & î f ^ ^ F . t é s i ; a o g e s ^ . ^ o , 
 «été, 
 .'mar^çëcblëtiv  
 !^ÿ^^pMânèrnadIe  '  
 Aundessuà dè.*; 
 «  1  A  1  n  J   „1  1  bal  jiiie  «e  é   f   ■  '   fait cét'sâprel^^àçs’tî de^à^^ccfnipbgit 
 w O *  .^ 1 1 
 g M W Ë  f Tffl - < '  M —   \ r  ,r 
 des  culs-de-lampe  adaptes;  a u x ^ f e ^ ü t é n a r .  ■  ,  chau,  L e j ,   <1  H H H i i   , ,   f   
 mine  par la  è h a ^ l |d e   h  Y'  ,;ge  ri  h  1 
 '»  ti™.'  r   1  '  -  i  ftSans  une  niche  c b .à [ lV  W ne  
 ist.atqe .dejla  Vierge,  e„Um|rbrè; cto  sept  p ie ^ 'd é lf   ■exéeetée  In.  M H M f ü 
 e rte ^ q u a tre   .............................*  •   „„eaux,  sont 
 peints  1’  La ■nouy^lo-.tanÇhi£èçtmb' db  celte  e lf f if c   éiit  de  \Vailly.' 
 extérieure  du  Luxembourg 
 he, p^lMç'qujLurembourg'  a  été; coeVteuit’ e'b''; ,6 ’  pat;1 Jacques  Dcst  en  u  des ordn  
 11  csl  situé. 
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