N°. 6:<Vàe M ’environs^d’^ m ï e n s 'y ^ s e d e là borne de Camons;, le jo u r de la Fête dite la Chasse
La Chasse aux^Cigngs sè fait c liqu e cannée sur la riyife/e de Somme par les Seignems qui y ont droit.
A cette F cte que. l’on fait ju ^ p à lem en t pendant la de bateaux
^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ d p h ‘s*!det dames et* Jd^insti'umens. Lfoeffoule demeqplesé rend aussi sur le|Mm?dd
la rivière^;eVcîlore la Slmme'paroît habitée des'deuXcGtéà, l’evspace d’une'lieue. Pendant ce temps ,
chaînes qui doivënf’ferrder b ville de ce cô té , restent ouvertes de droit', et il "est permis à tout habitant'ou
étranger de sortir de la ville ou d’y entrer à toute heure.
’ . ‘N°.‘ j'V u e d eV 'A b b a je 'd e \B r e jeu il^ su r Ja yp ^ te ^ù jà s ep ^ Qèues^d’Amicns. ,
®?.Ia^hbaye-de^Breteu^^dp^l’ôrdrfe^de.-§aint^edpît e t de là congrégation de Saint-Màur / a,'ëté^fondée?',
pj^kque l’^ ^ B ô i t , dans, le f^ème|!sihde.j-jQéfrüite p'ar les Normands ou1 Génois ;Ç elle fin ■ rétablie en
JÔ49 -, s par Silduin, comte de-Breteuil. On admire particulièrement le réfectoire de çe t teA Ê B § e , qui est
Punjdes. plus'bea,ux;qu’il y a it ’ en JEraïice. # ,
rW W W ^ 'B ç '^ io d e la cascade d A lb e r t} à sept lieues d'Amiens , sur la ’. rOute'délÇgmbraiy r.L'r'
L a deigneuried’A lbe r t, gros bourgpu petite yille ue Pmaï^ie , sur la petite rivière H)Encre1, " à^été' sù<>
cessivement possédée par des Sèigneursjie la plus haute considéràtic^^^^mL’maréchal'de|Frah’cé;, en
devint.mopriétsure', en 1610, et à sa mo rt , - | p ; passa dàjns.la maison de dans celles
de prqulousfièt .de. Penthièvre. .Cet endfpitn’est remarquable que p a r la belle cascade’dont nous1 donnons
'-Vue de là.-yiille • d&SuiritiT a lery sur xSomme:jp7i s e l d ^ ^ a i d i ^ 0 0 àl^ertéy^
La"ville de Smnt^aleiy, située sûr un,e'liautêur.à l ’emb©uchurê de la Somme,"e jfe y ê iïte ’ mal-bâtiè
et mal pavée. Quoique fortifiée dès Tan 142s, elle fut prise ê tireprisé onze fois.' Î1 ne reste yofontieÿs ‘des
■ ses fortifications .qu’un fossé, se c e t un petit château presque ruiné du .côté de terre, dans lequel' on voit
encore une tour ronde que’des poudrés .pnt | a f c fp r ’ouvrir. Cette tour à ' un~sqûferf aih^qmc^mmü
.un quart de-lieue ,dans la*campagne , ce qui dans les temps àè;-^^^^y;^^^ên|^gê'-' lëSi.Seighèùr^âue|'.
environs cbse. mettre sous Ist^protectipn du5 comte de Sajnt-Valpr^4Cette: yiIle est én"t^iîs;. âépms la porter
d’en^hantjusqu’à celie$en-bas; la porle/fënjhaut ' est forrp^e par, ^^Wtours rondes"., lesqfelles corres-
pondent l.’une à l’autre, et est précédée d’un pont-levis. appelé la;- F ertë,
qui est plus considérable que la-ville même; il est-situé âuïJiqrçLdé laïrivièi^mipied d’une céte e t seft’de^
résidence à tous les gens de mer||m^tMots ; pêcheurs et artisans.
N° : i’oi’ Vüe du PÔrt M -idu Chantier d e S a in t-V a lé r y sur Somme, à , la Fer té. ;
L eP o r t de Sainl-V alery est situé environ au milieu du faubourg delà Fer té. I l est formé par un quai
'de mâçonriei?e'assezj»lïde, ’au bout duquel ësfrun autre, quai qui'contient environ un quart de la Idq-î
gueur; ces deux quaïs^ont, dit-on, été* construits en 164b. Ce Port peut contenir quatre-vingt-dix 'bâ-
. ;Wmenv depuis' vingt jûsqu’à cent 'cin'qùànt’e.ïtonneaux. L a mer y . monte dans lésf^8^d^|marées jusqu’à,
la hauteur de douze pieds d’eau / e t ' ^ n ’y 'e n reste presque point lorsqu’elle sc retire. Le ruisseau d’un
mdplïri qui ^ à^uuquart de lieue du Port ; efrqhrr^o^çlés eaux derlam'enlorsqulélle est.dans sop plêin-, .
è&ri à entretenir et ànéfôyer ce T o r t lorsque'la. mârée est basse: \ K :
N°. 11. V u e du château e t de tà;pëtue ^ ille de Mellafi vulgairement appellée Merloïi. J
Mello ou''Mct1oÛï pétfte;riIle,^deFraHce', située .sur Ia?ra^rè du.Terrain; à deux lieues O. de Créil y
-èstune ancienne baronnie ayec un château. On trouve dans cet endroit une, église collégiale, dont une
'chapelle sert de paroisse aux habitons/et ..deux couvens, l’un-occupé autrefois par des Hospitalières et
^ensuite par des Cordeliètesf dont la'supérieure est perpétuélle -et prend le titre d’Â bbesse,'et l’autre
lest un Prieuré' sous le titoè'de la Magdeleine, où ily a y o it autrefois de aBénédic tinse^ tfidépto sa été
*écx&àmë-’ ' '