
 
		N®.  6i.  Vue  d u  F o n t  de  Soissons. 
 Le  pont  clé  Soissons  -paroît  très-ancien  et  ses voûtes  sbnt^èn  ogives ;  il  sépare  làvyîlé  d’avec  le  
 le  faubourg'saint-Veast qui  est  assez  considérable.  A  l’extrémité  de ce  faubourg  est un’eporle^dc  sortie  
 dont  la  construction  tient  de là grandeur romaine.  De  dessus  ce  pont  on  apperçoit  l'Intendance  clont  
 la situation  et  la vue' sont  très-agréables.  .• 
 WgÈjjjÊgBË T u e   d ’un  anc ien .p e tit temple  appéïlè  Saint-Pierre-à? l ’assaut. 
 Ce  petit  monument,  très-régulier dans  ses* proportions,  est  construit dans’ un  bastion  vuid'e.  Il sert  
 aujourd’hui dé 'grange  et d V j û g e b ^ t v à J ^ ^   .calotte est dë  pierres très-bien  appareillées  
 et il  tient,  en petit,  à  certains  monumens  de  Rome. 
 .  N°.  8,  Vue  d'une partie  de  VAbbaye de ^Nqtre-Dame-de-Soissons. 
 "  Cette  a lîb a ^ tiu t  fondée  anciennement par Ebroin,, maire du  palais. 'Cè,miriistreH'plus'connu par ses  
 Violences  que,.par sa  piété,  donna,  à  la  sollicitation de  sa  femme et  do  Drausin,  évoque cïe  Soissons,  
 lêipakis royal  qui  étbifdanS  cette ville,  à  des  religieuses!qui  aVoient commencé  un  monastère  dans  
 le  faubourg |  et observoieht la règle de  sain® Béû*bî|.;fiap^ilîë' de^éW.abbàJ^qûe ‘nôus/ëprésentoAs  
 ici, donne  sur la  rivière j-l’o n y  -apperçoit des souterrains et  une  double enceinte. Elle paroît  avoir  été  
 autrefois  une  forteresse  assez  bien  défendue^' 
 9:  T u e   de  Ventrée principale de  la   Mais oh-Abbatiale  de ^o ;tre -b a ? ^d ^S o issj)n sT  | 
 L’entrée  de  cette  abbaye est  un appareil dé pierres  d’une épaisseur  considérable, comme lW y o it par  
 les  retraites  en  échelons'qui  forment  les ogives  dès. deux^portes.  L ’on  remarque au^aut' de’  l’enceinte  
 des  tourelles,  des  crénàüx  et une  galerie  en Bois qui  sëiit'de  communication  à-„cet  ancien  monument.’ 
 N°.  10.  Vue  d u n e  porte  de  la v ille  de  Soissons- £}Eçx>trémilê. du fa u b o u rg   S a ih t-  Vaast,. 
 Cette porte, quoique  très-simple  en  apparence,  est néanmoins d’un  goût.qjù  annonce que  si elle, n’a  
 point  été construite  parles  Romains,  lorsqu’ils"  étaient maîtres  du  Soissonnkis",  elle respire  néanmoins  
 la   magnificence  que  l’on  remai^uort  'dmis, les"m.^^^^ns.^fi’ils  éiëvôiëht,  Il  'upp  voûte1- toilipv 
 liante  dont  les  pieds  droits  étoient  garnis lide  dictes  où  il'  y   ayoit  probablement  des  statues.  Cette  
 voufe  est  ruinée  entièrement..  '  :  ~   1  •  ;  ’  ,;: f   ■  > 
 —   î^ .   i i .   Vue  d u   Palais  de Varquebuse  eferpôüsonÀ-./,,-. 
 Cet  édifice  destiné  à  l'exercice  dès  faléns,  .a  été ^con^ui^ïSôûà  lè  règne  dé - Louis  XIV.  Il  est  singulièrement  
 reiRa^OTable^par  le  brillant;#'s.couTèurs empIoyéës„.sur  le s^ & à u x^ ç ïd e ^ u ^ ^ ^ ^ ^ F o n   
 a  exécutés  dessus, en  rendent l ’intérieur  très - agxeàfelè. - Dans  lènçepirqsgjii  estfpl^n^éevd’arb’res,  sont  
 construits  dë petits  portiques,  à  travers  lesquels  les  comp|g^p^tirent  leurs  prix!" 
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 J  \Vutk det l^ b b d j ^ ^M u tA 0Mm^^SâiSso'nSi,  m 
 H i’àbb à ye ) de^Sàin^Cr^piK,  dont on ignore  le  t em p s d e | |p ^   la viIIèdé.Séjssons?"; 
 ^ monast^re ' ayant* é té v f^ ^ ^ ^ p ^ ^M fè u s ,   Lôu!^ l!a?’ fife 
 assez  j | 
 } ^ p p e ï ï e ^ f ^ f o u i r a i ?%fiénCaur fôftifîcà^ions ’d^^vi«^E/onp^rétenÆq^Ml^é^éLabitée gSr'  
 Médaçdr les <c)ias^a.P*'  8 8 
 N°.  i 3.  Vue  intérieure  de MÊglisetSm^fiBfépïk,  ,vi' 
 h f f i ’fAMrifUr*  de&llewe"église  esttefés1 p l^ n fa je sfo eu j^ ^ 'W ^ s te   d*acliéY^que'l|^pa^édtitcno3ur ;  
 ^ é té^ yq û ë '^l^ ne f  a été: d^Üuif^d^s'lès ^anciennes ;^ ë | | è s } :,m'ais lès .pierres,  
 très-bien  conservée^ vprouWnc'iqu’elle  n’a  jamaisrézastei'^L,f? 
 V u k  d& td  vlace ShinijFifiye N 
 H^^^^fërçq\6^^^nite^Jne  partie. de  Fé^&^^ooie-Damej^Wiln^ieur^^n  esè ' ifemarquable^par  son,  
 ^^m^ecture.  Ea^KrèEer  jour ,  pore^prëcisémèntîs^Lë; "sanbfoàire^m g au cloe re é^nè  ^ 
 doubles  çprnfenes^dnt^t^ës-bien  sculptas., iefdéfélpcûèKtd(ime^cd^W^J 
 ^Métibn^mè's-sin gulière.  ' ' '■■ j 
 { ï0 Ÿ;Vzï& intérieure  de fl*église de Notre-Dame  Æ ffi^ s p n s   am' coté, au'^ancîua^&VV 
 i^ B ’W é r i^ ^ ^ ^ s^ tu a f r e ^   ordres^ d^èdb^ies ^ 4 'pW ^ f d e u x  galeriçW Kmae^  ^ 
 'sur  ,marbre^^pradj  Mpluà'bë^VrqU^r&n\pùisse  v o ir , 
 m^riT^^^tjëû^èÈémènt' Kaftent^fiCdb's; spectateurs?  L.e  choeur ëfoit^prb.éftJ^^ànH^^bleaux'rep^&ëht^Qt’  
 •làrfCvie-vde daisà|hte|^ierge;;Dans: la^n^^ ô ient  difféij^^épTOpIte'sidës^bè^ësf^u^^rat/^q^tièèskf^  
 riche  .  ainii  qoe.di»  tr&^ett%%  
 x^^^mti|fiqu"oit  ayec  l ’intérieur  de  cettëkàbbàye.  s  - 
 Vue  de   téglise &aintrVaast.d^<Sdi0 Ô ^ ^ i f .^ 
 Cettè' . éfelise  sittié^,dàos  l^ P 'lle   estmne  dés'  plus  anciennes.  L ’on rèrnârquê aan^i^ife^ 
 l'a^^^^^^EpetiWmaneuèX sépulchrdfe  'd’une  cl^arm|nte 'çqm|îosition  | 
 plus 
 .N°.  17.  Vue  intérieure  de  l'église  Saint-Vaast. 
 ,%j  Cet  intérièur,  est  des • pluV'&ajëstueux 
 position l’architecture- grecque. Les>Voûtes  de  la nef,  ou  oa^.é^uipuites^  é té.^hev ée^ 
 est-  coitve^f^à^dèsLplânc&eiv’. 
 LIV.  Livraison 
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