
 
		. N^i'ii<^y.Fue  d'une  ancienne  église de Saint-Médard  de  Soîssonsi  ...... 
 r.©ans  fe jardih  de -râ b lé e   db [Saint-Médard,  sont  des  masures  d’une  ancienne  églisejÇ  bârçe^sur^Ie  
 modèle  de  cefle  cle  Sainte-Sophie  de  Constantinople,  cl qui,  pour  cette.raison,  a  
 Sainte-^SopJïîe.'*Ce monument était des plus singuliers; deux flèches en vis élevées sur des tours carrées,  dé-  
 . coroient  le -rond-point  dë  l’église. L e  jpoiHait  était  accompagné  d’un  côté  d’une  haute  tbüiv flanquëÇ’dè;  
 tourrëllès,,  èf de l’autre d’une  four surmontée d’une  flèche  considérable., 
 N°. 3o.  Vue deVintërieur  de.ta  cour' Saint-Médard. 
 '  Le  bâtiment gothiqUe'quîfest* danÿde^fcMd i"enFêriné éhcb'rfflarcruélle;“ prisonV(-d^Loùis.le^  
 naire  qui y  ïu t mis ‘par ordre  de ses  propres enfans. L ’on  vû|t  anssi^ aujourd’hui  sur  les  latrines  de .ce  
 cachot ,  une lamentation écrite  en gpfliique de la  main  de ce roi  infortuné.  Les Calvinistes'  s'étant? emparés  
 de  cette  abbaye  dans le temps des guerres civiles,  en  enlevèrent toutesles richesses et*détruisirent"  
 ^ n '^ ÿ d â è   partie les bâtiiffenV;  cedjüi^frit radsfe  que le? flériédretins  cle ’la  congrégation  d^S jp n p l^ îfr  
 qui  y^furent introduits en ié $ j,  ne trouvèrent pour se lbgerdlâutre bâtiwèpÊqipl^ prison de ceMfflcèâ  
 qu? ! depuis feuè asservi  die’presstsir. 
 Vue  à?une  partie des  ruines  d e   Saint-Médard 'de  .Soisso/iss,.  ■ 
 La  porte  'd’entrée  de  cette  abbaye,  précédée  d’un  popt - lévis -et;flanquée  de  deux  grosses  tours,  
 annonce  ce.'‘qü’étqit:cétte ancienne forterc&ïe.pii ^résidt^n^auh^doïs^les  rois  de Soissons.^On y  voit aussi  
 vestiges des palais de  leurs ministres.  Cette  abbay^  est  célèbre  par  les  grands  évcncmensS^^sïyJ  
 sont passés ;■  et: notamment p a r le   couronnement  de  Pépin, Yot d è ï'rah c é v  par  Bonilace,  archevêque  
 dé'hfayëBeé:  - 
 ■.  §3;  V u e ’d ü  Palais  des  Rois  de  Soissons  à  Sâatt'-Méda^d.  • 
 Saint-Médard,- ancien  palais  des  rois  dè  Soissons ;  annonçait.bien'ld ^^nd|12Mei,  ceux  qui  l’avoient  
 dccupé ;  une superbe avant-cour ornée  d’arb^s^-d ^ ^ ^ ^ ^ ^ ê ^ u n e  ' seconde  séparée 
 mibre par des bâlùstres  cVâïbâtre; W  PalàxS 'qùï ésft ohû£fe-ion^  d^archi- 
 -tfechfrë /'efflanqué d e ^ à t r e   folirs  énormes.'  *> 
 .  N°- 33-  Vue d ’u ncpnrüe   des-jardinS, de.Saint-Médard'  -  , 
 f e  jardins étaient  d e là   plus grande magnificence,  à\en  j«g er7l^les'restes..Destaascàdëâ  
 râbles  et des ~jets^d’-èau  en--fàisoieritTornem6nt.  U n . bprpeau d’gtehitééturp  dLifoelpngùêur  
 formoitune galerie couverte,,  et l’ enceinte ■ en étoit  fermée  par  des n&rs.  énornfé?-  
 gkrrjis  de  créneaux  de' toutes parts. On  vôyoit  aussi  darô^Æpetit  jaixlirf-f|î*&éttc  mêmeYabbaye',  une  
 eôldnùe iniîîïâife trouvée' :dans  fe Boissonnois  à-peu-près  semblable  'inniilliariuhi. æzw ezWw ' qu Augustef  
 avoit  fait  élever an  milieu  de  la grande  place  de  Rome-,5 é#^^étô^le^|enpn*de^foü§'des réhémins'âq  
 :l?Ëmpire. On.présume  qu’elle avoit  été érigée,  l'an de Rome  ' 
 ?  Nr,  Prie  d e   l’Intendance  de  Soissons.  '  , 
 aGe  monument moderne  a  été  bâti  à  1a  place  d^qh châteàtr fort*,'  yrthè/sttF lebôrd'de la^rivièreî ?Dés ’  
 jardins  élèves  sur  dés  terrasses  décorent magnifiquement  cet  édifice';dir  côfctf'd^l^TÎylëfé't *et• l'entrée  '  
 du  côté  de  la' ville est  ornée  d’une place entourée  d’arbres;