sus du corps revêtu,'depuis le cou jusq^’ainx tectrices caudales-,-lie. pliirni /.vortè^«
lustrées d'or, vues d’u riu ré en avant : les tectrices caudal» s sauvent .d i ^ ÿéïflègé
renient bïMttW. Queue ti snqlêè.ou à ]fin e arq u éS f|ra rriè re ; àW tric s rcefliu
res à intermédiaires ptesqaèj j k y . : lesJijLeA im ^ ùu pni plus courtes
: les.médjajres et v e rtu , mro iten an t b~tde^ d; ro u x 'd -^Lq i\
. côtés de la base • les intermédiaires a c \t mes roussêé à la 'b a s ', Jusqi^Tl i rmoitié
ou un peu plus.de leur lonaueur, puis moires-pt maripee • à -f s^ëmitè d une tache
blanche, moins petite des infé%é#airés aux externes, AtZe u ÿ ^eu moi n li&mg u ^
ment prolongées que la quene, bi iinei ou*d’un brun obi ur'em nt v&dutr» i.
du corps jfl&nqûéd’tiile'petite'taclx^^ jiîùiai-e blanche; nare
I vaa^ d!u cou et une partie de la poitrine d’une GÉavatè de plaim s squammifoil||§ d’un
qui formon^lWangle^p^feifVs-dfgrrk»' parar ^ ^ .aj-f»Æ%?
I î 11^ 11 niveau des ailes, gradueEemênt plus courtes .depuis le s naglés postérieurs
en remontant|gi| les côtés dt| cou* : celles-de iâ.région médianê'phi:s courtes quille
externes cette parure séparée par des plumes uu peu fi làmen teuses, verdâtres.
\ Poitrine ' - ^ p ^ i o n g i t u d i n a l o ^ ^ ^ t ^ ^ u j . ^
châtre : côtés du fg p |re mouchetés de ver tf Hoifs
noii-s ;. tibias garnis de plumes vertes et blanches; tarses peu e lp am é s '~ T
9 Dessus du corps à p ^ p r è s ^ ^ ^ ^ c h e z 'le 'm a lâ
tn n p diuï bla% | ^ j f e d r ( c ot< s d i ^ ^ J S r è marqm s à inn tV l
I verdâtre-. Ventre d’un blanc sale sur la région- longitudima-le médiane; |p |v e d i s u r -
les flancs de plumes d’un vert mi- doré, roussâtrês à Tèstrémité.' ‘
Qbb espèce h âp e ,- suivant lés s ig fn s , la Californie et le Me:sique*. et passe ^
l’hiver dans l'Amérique centrale, principalement dans le Guatemala. (Verreaux,
Bourcier, Gould, Elliot, Salviu,, Sclater, Muséum de Paris, Muséum britannique,
Dresser, Loddiges, B o u ca rd ,iBô ü v rerJ'SM f^^1
Ce Trochilulé a été dêcouv ^ p ar Mr. D&&t||& en tre |alap a e t^ e te p Ip P fc udant
lés beaux jours, o^ « W ^ 8 a u « § f e p ^ i 4 , dè Cordoba,, jé â # à , Ori - .
caba, San-Andres et Truxtla. Il niche dans ce pays.
Le ’ dlt M- Delattre,.est _très matinal et cesàe de chercher:sa nolÉiïtiire après
neuf heures. Moins-constant que beâüâoqp d’autres;!! laisse soiiventsa femelle,
MaMsienfoniGer- dans la profondeur des forêts mais on le trouvé aussi courtisant
IW fléimi de« chair^^®M
M.-fihuda|fd^ -q ^ ^® ^ pw en t ^«CrôeMlidé en compagnie de quelques
que Pkpkosia Delenae , JÊmM(Ms A le ille i, Dorycha cnicüYa,
etc,
, l^™ ^ p a -se i |tmyr i ~!lan ' .hAiA@ifTO*ic&ntr il -■, '
J Le bruit qu’il fait, en volant, imite celui d’un Bourdon. La délicatesse de sa peau
F lr-n d d'un.qiulparîiTOOTdipV^MBB
L-a|fbès M. Sall^dSfiliQiiéauf^'iilait’ dans Tes lieux sombres et humides. 0 0 $ $
~w u^ j%itqd’eij «n v i n u-. n j ^ - j n i j usq fen-marsl II y revient en juin.
Il 11site' les mêmes fleurs que le Paphosm Helenae. Son vol est élevé, presque con -
■ Le mâle est très-ms tinal. Les mâles adulte s sont très-rares. -,r
Genre^fELASPHORÜS, &ÉLASPHORE, SWâinscÎn .
CÀRA.G3 ui i f v f ut a1 b n n i, .'î
v u °P ■#? p p îfA jn s long # îiM^Æ i(|Lé!?diis.üdros.f Queue
clu'ÆSg; ‘‘fjïîMa r t liée- Æ i 5 ^ ^trut'e^t ou p^e-- ]ue
tp§fe|^t^mi^êehï ^ar cour parés' d’une sorte de
çra \ at»*fpi^n<-e dTpIuni -, d’uuEj$fli/ iu 'lalliqiu^^PÎi?^ trie.CoiiÇ’ôrtéide plumes soyeu-
ses blanches.
éjapàlès 1
a ïecteices caudales ^0Eoe|g3 -'.^
• ‘ti ftéotribes mê&aïros'veitesr *“
s- ^ » ï, E •plaiyceraus.
T è teV o S p ,# P' . '-'P d ^ V " 1.' \ . Florehii. •
^B ïteoW c ^ ttiêS iâ i^K ffîTO ^ ^ ^m ix
. d Boïd huméral des ailes y6ïit-yôU| seulement marqué d’une tache rousse.
mwéral.des ailes entièrement vert. Cravate e Bord h d’un rouge de chair. . flammula.