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Soc. 1870), p. 208. \i i,en.B ull. Mus. Comp.Zoo].t.lI(187i),p.301. — irf.t.II(1872),
g; £*?• ■ ■ WÊÊSÊËÊSm ' ( 1874), p. 106.
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jusqu’j
Queue peu profondément entaillée; à rectrices médiaires assez larges, vertes, arrondies
postérieurement : 'les autres brunes : les submédiaires à subexternes graduellement
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res en angles obtus : les subexternes et externes en pointe ou en angle très-aigu.
brun violacé. Dessous du corps garni d’ime sorte de moustache d’un vert brunâtre
squammiformes d’un rouge de feu : cette parure étendue jusque sur les côtés du cou,
tronquée ou à peine échancrée à son bord postérieur, arrondie à ses angles postéro-
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blanche. Région anale hérissée d’un duvet blanc. Sous-caudales blanches. Pieds
garnis, sur les tibias, de plumes verdâtres ou grisâtres ; tarses dénudés.
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estcl UU blauc sale, marqui sur, ou •:
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ou montre, suivant Page, quelq«esfïâmes d’uutrdugncuivreux o^,orange; les côtés
sont cl’un. vert »éibaleiux ou d’ua- gris roussâtre ou verdâtre ; le veutre est revêt« dé
plumes d’ùn fauve pâle sur la région médiane, 'et de plumes vertes;, bordées de fauve
.roèssâtre sur les côtés. Plus tard, il sé rapproche du mâle adulte.. Sous■ caudales
dsila queue d’uu violet pâle,
IB a l S j 1 f ' l -ux ares'; à rectricess’médiaires
:Sê¥tes, isiliaff roSSes à l’extrémité : les sub médiat res 1 subexterues d’uu vert pâle
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uu peu: en angle. Dessous du corps d’ 11 n blanc sale roussâtre, jusq l’a la région anale,
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vert sur les côtés. Sous -caudales d’un fauve roux pâle.
Q1"-Wg.fi Jlllfliljlh. S'ufoexternes0'11v024 (Il 1.). — Ex tel lies, 0'",O23 (iO 1/2 '-bar,',
f i , H At^&^^Biia JyK^qi 1 |>fljL,,fi'i uli ;s îles des
Outilles, et, sur les p art|ê s§ ||8 jfu ta ie s, le Mexique* ttquelques p '.rjL^.dclV^W'ij
i lx Etats'-^Jijis- et
s’aVà&ée''3ïusqu'au Gâ'nâi&i^^put-itne'weme jusqu’à la baie d’Hudson 1 ; il est jmoins
abondant en Galifo r nie et ( I a ns d’aut r es lo cali t és r ap pr o chées de l’O céan P a ci fiq ue.
(Vorreaux, B o c ie v y 1 Qiot, ,g uld, Sclater, Salvin, Muséum de Pai ^.„Muséum
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« Dès. qù’â y 4 l l ï^ ||u i t avec ses fleurs et ses parfums et que les'arbres de la Pen-
sy] vanie et du N ev |^ iis ë y coiwnoncent • à étaler leur v( rdoyante parure, le Petit
Rubis ne tarderas à se montrer d a s les provinces s ||| I nirionales des Etats-Unis,
Bfj K v & l v Ê ' .fn.” [lUidju^Bumre'. toutes les
< f t ^ Q l ' e s ? ' -.in-»'. On le Voi^^w®visitant
a'iiv,,ÈLSv'roris et de déliés-ci
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'■.étwfê's iélfips, les vergers et les jardins.'|eé|ivent tour à tour la visite de dépêtre
v^MvMaûv Kënziëp^ V u - / èteevgtiéd&tD&tib Rubis.