Tome I, page 876. — 1. GHRYSOBRONCHUS VIRKSBEiJS.ilJ. y .. 1 ‘ >. l‘ / Æat o , ri r-jp-f?!
Catal. — Trochilus chloroleucurus (Saucerotte). ^
t _ ■ .Toi>i6 t ypage 287.~ 3. GHRYSOBRONCHUS LBUGORRHOjÜS! iS& B ç s* . B
Catal. — Polytmus leucovrhous, S c la t . et Salt or, Proc. Z( oJ Soc. (1S(57), p.: 5S4, 1S2. —
Id. (l-&07)."p. 748, 145 et 7BS“—Td.J’lèT'S), p.
Tome I, page SS4. — 1. AMAZILIA GINNAMOMEA, L a s s o s . Ajoutez
Gatal. — Àmasilia corallirc tr , Sclat. Proc Zool. Soc. (1858), p. 358, 10. — Id (1Sojp)',.
p. 386, 169. —[æ p ^ e t SALYiN,' 1 big ■ j» y ijl.
— Pyrrhophaena cinnamomea, Lawrence, Ann. L; c Ne i . dé, t IX (1SGS), ). -2 )4 61.
Tome I, page 286. — 2. AMAZILIA GRAYS0NI, -Law r en c e . Rectifiez delà oi te la description :
Amasilia (pyrrhophaena) Graysoni, L a w r e n c e , \n . Lyc..New-York p§66)', p. 404. t
Bec légèrement arqué; déprime à'iâ-^b'asflfj d’un jauiïb'ëi^&'j, üSglrUe \MrSSBfl
Bmm^Queue h-^xemoMt ( iitaÆf ( oiftiol'h-^jj^t,
trée de vert. Dessus du corps d’uïrfmPriu^ti ^.t(^^ jy^N(i’jii.i l *1 <* <
le fi&ifit nuance de roussâti|g|\:-i
-Bcwa. — Bec, 0^,027 — A
totale, 0m,126 (56 1.).' \ ,
Pyrrkophaena Graysoni, L a w r e n c e , Gr a y so n , Pr u . Boston_Soc. NatV Hist. t. XIV (18711 711,
p. 283.
Dans ma visite aux Trois-Maries, îSt-M. (travson..i’ail!p u
découvrir- cette.espèîse.
(les ODeau\ trait abondants dans cotte îlo ,’g®l>s mâles seuil li,stp^Vtlær.0t™-'trd
eux une guerre continuelle. Ils attaquent claque Oiseau e f même les PapifijÉiis 'osant
s’approcher de la plante en fleurs qu’jlÿouBulfoi.sie ; ils la i?a:iloTLffB5fira^'ù.ir tu'•ut
lK.sernhlent, dan^ leur vol a tiaveis 1 es „bois ƒ.^lusetucoTOne-uûVâjcm d a ^ B A l
Ils poussent alors un cri perçant, pouvant ’se“ tradtbfte^ârtMué, Uüüj*t%bifÿl__
Les combats qu’ils se liÿfent prennent quïîlqned!ois un ('aractèïfeféïqçe.»^ ;
ü n iilèx, j ’1examinais un grand nombre de ces Oiseaux agités cl une manière extrême
autour des plantes de tabac en fleurs (ils semblent les rechercher beaucoup),
■ quand deux- beaux males s'élancèrent tout à coup L’un contre l’autre, en se livrant,
au -dessus do nia tète, un eci'ébat terrible. Chacun cl’eux, en se jetant sur son adver-
ï à l r e engageait ses mandibules clans cctllrs de celui-ci; ils cherchaient en. même
temps à se déchirer avec leurs griffes. Dans ce combat, ils pirouettaient ctt’Fair^en
n I fi ns ce fariMf-conflit, dans lequel la passion et racharnement étaient portés au
p î l s ^ É Î l i l é , jo parvins, apres les avoir regardé longtemps, à les prendre sous
mon clîfllau ; et tandis que je , les tenais r.hacuu dans mes mains, ils chepcjialetft
encore à continuer le combat.
Sm ]1 ij£ l|)qll | |5i petite in -
de n’ a v oir
f a i l l i pfrî^dtrtcw^itre
r,, viM> Igtl^f^mride1 de^as*0isca.,u i.
]j , i m 287. ^ & AMAZIlÆ çÙMï RILI, IJ A
Gatal. — im z i l i a D w m e riïi Salvin, in Ibis (1860), p. 270, 19. — L awrence, Ann.■ Lyc.
„ N ew ï
■ T o tlI lllW * A M A Z foe l« ÉEXB 0 NI , Mth. sak't v t Ver rb ab# .
vijîwi- ': synonymie :
Gatal. — A m a z ü ia p r i s t in a , S clat. Proc. Zool. S'oc. Çl!87±)f jf, f9S. — T aczanowsiu, Prcc.
>v.
Cette esp èced il * le professeur Nativa de Lima, était perchée sur une plante dit
îardin^pj< s Tmâ 1 rn tj ^ t (n aiïmfl^r'a lmu n ur ju 1’1 int&îNyB^sf^,
X, page 295 — 7i A M A Z IÉ ^ ^ ^ T A N E N S I |^ 4 3 ^ b® ^ $ Usyaonyin» '
Gatal. — P y r rh o p h a e r ia yu c a ta n e n s is ,.Lawrence, Ann. Lyc. New-Yorlc, t. IX(iS69), p. 204.