Costae, Rb 12.------Id. E1
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p. 297, 1775. —
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dée. — Rectrices mddiaires, Om,023 (10 1/2 1.). — Submédiaires, 0'”,25 (10 L). — Intermédiaires,
0“,027 (12 1.). — Subexternes, 0m,026 (11 1/2 1.). — Externes, 0m,025 (10 1.) — Corps
Ü'n,031 (14 1.). — Leng. totale, 0"',076 à 0m,081 (34 à 36 1.).
s, 0m,002 (1 3/4 l.)i — Externes,
0“,0015 (1/2 ].).
LA LEUCARIE DE COSTA
wBÊËffioeïil'ji 1’ ■extrémité
; à peu près aussi long depuis sa commissure jusqu’à sa pointe que les trois
squammiformes d’un rose
d’arrière enfplÿaat. Queue entaillée ; à rectrices de longueur peu inégale : les mé-
cliaires et les submédiaires h
tement subarrondies à l’extré
près des deux côtés : les externes un peu plus courtes que les subexternes, étroites,
1 j.rn^K'j| f r f j j ÿ S l ^ i 13
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n jâjrrM a a tj|^MrÆ|^^i.‘feuti!!ii ^?bUiUaii_îi î
formes d’un éclat métallique, d’un violet pâle ou d’un rose violet : cette parure
mita-.d^Milin^ d’nn \ > 11 - lti \ Vr* u.^
sur le dn-que, *d
plumes verdâtres sur les tibias ; tarses dénudés; doigts grêles ; ongles courts et
- altijjjftSPÎSgî
laj l-H3$§|. p,u lie \ 3rt6j..ou-n’offrant que quelques
;jo” if^Mi;l!gi|”u g ^ ^Ti'VE W ' surfis gorge et sur le devant du
'V' p.rd(itr quand il est pluM^ÉS®! et en partie
? ? Æ l Æ a n M 5 - l a r a l s g f f i w l a g c™. '‘quand ü sé rapproche
FI^lliiTim^l'r!5W^tÿv-Æ«ffi]>'un5^ inouchétf'ïlwerf fis*'un fond
autres, grises â
^ a ^ ^ a 8 ^ ^ ^ ^ K a Ë ja ia S f tB ^ E f f i3 S f f l^ ^ s iw K ^ ^ t;!'®--r.rnn.dies; au Jjout. Des-
‘. r ^^Sm^fainririi%^a ‘ ' A&S1- ''^ 8' ■ji-PUTueti' de1 vert'ou
de brun sur la gorge.
l'Vl'u'dr petits Lichens.
(Collection Verreaux.)
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-‘du Colorado.
Miisëum britannique,
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»jiL î _ i â d f ^ i r *,i f) ü ,-) m> Tu ta ‘/!f Vf e fitqst*-11 Ofihi»
11 y iii i ' ' \ \ ont H .tingue qui a bïê
Titiôir , ,
•Sur ■ jjjriESjîJI^Mjggro^mir - '^ 'u n ^ o ^ p a triw F
la solidité de sa foi.
y p w f f l S M ^ n p A l j r ç J rM n Nr de Be #T -KegaroeJ"nô: à Marlioz: le
PH^ùfr^ubi ; Te L9 septembre 1864, fit
^ ^ V M l 1 d’Aühec j . "
i'i l^ T f r a r 5 |^ | S ^ iM ^d^niitoiro naturelle.|
A quinz a t«n^sMa^^iti^WSi»iinx i^Tfr minéraux.
; - Son goût pour les scièSees. aaterelles sedéveloppa à travers'toutes ses études?^»!
J |J . vqs i\ants.
11 fut ■ !; peu près vers cette .époque, .al taché à la maison militaire du prince de