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plus-longues nletf subextérnes-'jhfès iïs î nr onf r ' Si n t ermMiaj i es*1
les e ït§ p ^V £'®® dixième
Ges Oiseâux habitent le Me*^^§^il^te'ate1iïa?lar‘ J"'
Ils sont fa'cil'és à reconnaître parmi j
rectrices en partie
Tableau fcj
'«^!sjmjt;os intermédiaire^ a Q^ 5 fa^bij5^,'itK^ euKju>ff)a(J(* lf^ mbexternes
et externes rousses a leur
aa n«.ntrit»jiArffj.V^îîalij>rf s .1 «xn 1 mîn't ii t crr <'-nunr iffi!l£S§jraj589
1. AMALUSIA ENICURA, V ie il lo t .
jsJ^Spio ilrum nigrum, arcuatum, dimidia parte corporis sublongius. Capite obscure
viridi. Corpore supra pu irh wîaffîl
nas siibparallelis, obscure viridibus / subexternis'et e x lÿfms làtefe interno ru fis.
Corpore subtus, pula et collo squamosis violïteèîs ; perfore sordide albido seriçeo.
Ventris regionô media pallida, lateribus viridibus. S u t1 audalibus viridibus, cinr-
S Caucla emarginata; reclricibus intènnediis ael eæternas'bcùsi ru fis, poslea oae-
ruleo-nigris, apice albis. Quia et collo sericeis albis. K
ieillot, Nouv. Diet. d’Hist. nat
l’n?yciL.-pv 562, 45. — TéMminck, pl. eol. 6G fig Jardine, Nat libr, fi..B ., t. I, :p. 177,
> pl. 27. — Stephens, G.en. Zool. t. XIV, pv’2;|Sjp2. pl. 2_8. ~ ..
Ornismya heteropygia, Lbssojs Hist. nat Ois.-M. p. 72, pl. i‘5. -
Cykiinthus êiïï’etifÆ, J arbine, H. B. t. II, p. 145, lOr---
Thaumaslura enicura, Gotjld, M)iiog. Trochil. part. X V ï||||52), pl. 1, t. III, pl. 157. —
Jdovrïi de Or,ÆgfS Jd. Ensay. p. 45, 33, pl. 9, fig. 33.
datai — rus* dR<y^o^M^riiny!f|îg^^^^f‘ 1' J^-v*
t. I, p. 85,7. — Sclat. et Salvin, Ibis (1859), p. 121, 191. — Id. (1860), p. 12. — Calliphlox
(Doricha) enicura, Reiciienb Au IV,. d. G(ipp.-12.\ A Id Enum. p. if®. — Myrlis enicura,
r.ARAw. et Heine, M us., HeiijCpart. IU, ip. 58, 131. — Doricha emeura^ë,ont®, latrod.
p. 95, 176.— Sclat. Catal., p. 209,1791. — Doricha heniçurci, Sclat. .et Salvin, Home n 1
-pfaSBp 6.
L’AMALUSIE A QUEUE SINGULIÈRE
:tJÈÇtiiiS?!i^<ubbs^gSglcK^B,1;'i^tTU|% pr «je* da,l'extrémité ; un peu. plus long
'pîffija jjà ùtié du corps. Téfe s;ml nrmgiilSÆe:- emBkm^SBliÉg avant qjue Lé bord, antérieur
dç s scutelies ; in u juée d’n 113 tache postoenlaire blanche souvent peu apparente
; revêtue de plumes d’un vert foncé ou obscur.- Dessus clu corps couvert, ju s -
tui]yreËgPMTiOrI^SiE^^ ^^^R^bii.T^wmKliM^di'unj yert paraissant lustré d’or,
vues d’arrière en avant. Queue-k rectrices médiaires courtes et-les, submécliaires un
peu moins courtf , vertes, terminées en ogive : les intermédiaire s à externes g ra -
duellement et l®,intermédiairEB!.ver.tes,
subparallëles à peine rétré.cies d'avaut en » iere, arrondies à leur extrémité : les
de) u i* ? ^ d’un vert foncé ou d’un
Mm1 <iîix f les externes d’un dixième
,Tt_>Iü” Æ '( f ï l i f tLuir verdâtre
ou violâtre, avec leur côté interne-i’oiix : les externes d’un dixième au moins plus
1111 \ ë\ iàf verdâtr^gE'rolâtre. Ailes
^ i v n r t s1 nni'fniédj lires ; d’un' brun
violacé. Dessous du corps paré, sur la gorge et le ed», d’une cravate formée de
plumes, sijuammifdrmes d’un éclat métallique d’un violet brillaut : cette cravate parfois
d’un vert obscur près du menton, à peine arquée en arrière à son bord posté-
^ sur la poitrine, jûsmi’à l’épi—
gastre|i'jie; plumes' soyeuses, d’un- blanc sMêj constituant une bande transversale
1 1 a ! j f wint dh^qtiea' U. côu't ert, à partir de
j a P Um-lri»topl n8 S t 1 * n 3 Ai 1 r en parho-blj nebâtres sur
la régie n m cli me. Sous-caudales vertes, frangées de blanc. Pieds garnis de petites
p P ^ pK 'n âT a ^ ^M f f l^ gM jl^ ^M ^ ^K f ’rectriûes médiaires-.et;intermédiaires g ra -
presque aussi longues
’ST r^,r, -,1 ^ ^ 1 et-^dé h'ligueur égale, d’un roux
^fflpMteèSgtpémité a f f lp ^ y i^M H i l^ ^ m ebuis la base du-bec jusqu’à l’êpiga&tre,
d’u n blanc légèrement roussâtre,; etnd’unie!1 te in t^ l-u s roussâtre ensuite, avec les
;% tè s ^ d '^ if f l^ ’--t^;riJj!®irfïi!ôiiU0Wi^^ceu®d*d! ventre îvérdâtr'es. ,
■:3m\r\i{" v irt* rr puis fifcÆnmissare; O^UÏr^fÿyl.), sur sa partie dénudée.
— d*I^?3î^0^#|f6il)2’| J /?^^^'àsi»na«U!médiaires, Submédiaires, 0°,010
i.-Moucfi. :— IV.