Ifft
les ^éfrtrifioV,
queue de cette dernière paraissent fournir les caractères-particuliers servant à faire
distinguer cette dernière espèce.
* * Tome I, page 213. — 2. CYANOMYA ( â ^ ?W & O tIA v |g R ICE? i|t
’ et à la description :
Cyatiomya ÿ fli^ fS , Bjfcs.iQ^inJhis (1876), p. 313.
M. Elliot, ne me :; yVl/Çjr suffisants pour la |p ^ ^ te e r.
, La seule distinction appréciable entre la C. qucidricolor et la C. violiceps réside
dans la couleur de la queue. Chez cette dernière, elle a une nuance d’un rouge
bronzé, que je n ai rencontr < e chez aucun individu cle quadricolor. Si l ’on trouvait
J ’ai un individu provenant de Oaxaca (Boucard) qui a la tête d’un vert foncé bleuâtre,
et ressemblant, sous ce rapport, à C. quadricolor, avec la queue d’un rouge
bronzé.
vlrnere^îre. *
Tome Ij.page AHOMYA®|ffi>frB,0 0 !tfU ) CYAHOflEPHALA, ISfiSW» , Y
Ajoutez à la synonymie et à la description :
Cyanomya cyanocephala, E l i 11-1 ç ÎK s i ( 1 8 7 6 ), p 8 1 4 .
C a ta l - Cyanomya cyanocephaicc. S c l a t . e t S â m f f i is ( lS 5 9 § ,V - ÿ . l2 7 . — M>n t e s b b .'Oca ,
Proc. Acad. Phil. (1860), p. 80.
I tison, dit M Llbot. .i d> iÿïts*ottiüÿ'sgV (ouiru .étant u f f f i ' l B Ë H
bien pour montrer qu’il avait
oaeMâ. muüartf des antres.
On la trouve dans le Mexique, aux environs d< Çordovâ'itfonje l’ai reçue de M. Sallé)
f ^M. 'Gould, dans s|«.intr.ocluctiom,;'Sépare, sh#;,, le. nom de C*g'j atemalensis, les
individas- fl’evesn-arat du Guatemala, quoiqpiip'dans isa monographi■ il ait avancé qu’il
n’y avaiit pas de différence entre les ïnÉividNs de ce cLeimier pay$ e i éèux di Mexique.
l^të ib q ;la ont la
: ces d’ilÉe' .Bi&fflèire. plus ou moins appreciaM' ; ; mais ce caractère c niable n’est pas
- La dWéÈ^i©''gst'si légère et si difficile à établir que je suis forcé, dit M J® ü o i,
J ’ai Uop.uis longtemps clans ma collection, £ p fte ce savant américain, un individu
ap irocliant du G: cyanocephala; mais qui dtiffère-de toutes les,autres espèces'décri
tes. On le dit du Honduras. Il se rafgsrèÂëriè-çympPsjphala; mais il en diffère, et,
• quoique adulte, il s’éloigne < aractèr es assez importants.
J ’ai pupjiié < Ydvfilnêyp , dans la famillê.;|îes 11 B iilid s, que la longueur du bec n’a
groupe que 1
En ^»Isodiê sà taille.et de la petitesse de son bec, s i queue et ses tectrices càu-
■JravMpv^Üt l ‘fi r. riOi^n ^CT^SS^Jtts|^ î^^FI r iiÿftr*■ n jd h .vir.i/Mfx'oM-, il^n© res^
f | w!n|
rirT ^ n ji^ ^ ib f^ k • h n lu i ! ’attenlion des ornitbologistes.
La C. 'y^^Wt>h ifâ* H r . tJ<fr ü/r ad'iuWdm-, fi->$ (.avirons-de Duenas.
*■ Elle fréquente les forêts garnies d’arbrisseaux et. butine prinr ipalement sur tut
|lS ^ B ® R B ||t a gKippès’ de fleure blanches, et
ayant -lé tronc et les bran lies., couver ts d’épine s. Son écorce d k hirée laisse suinter
râin< suc laiteux, susceptible de déterminer des ampoules;sur la peau. ;r