avons pu, saus risque il'èlrc iiicomnioilés, nous asseoir autour deccpiiit ciilminaiit de la
el nous y arrêter à loisir pour prendre au crayon le eroqnis fidclc du ¡¡rofil de»
sud, s'élèvent eu anipUitl.éàlre, .Icq.uis le bassiÎ cl la vallée de Pragncns ju5.|uaux cime» du Mar.
W e t du !\fom.Perda,cl qui do gauche à .iroitc se lient entre eux, à partir de la montagne et du
port ,ler*èdejus,|u'an llaiir grienlal du Cigncoalc. C esl tout ce que le» ressources si bornées de
l'art ixTinellenl deulreprcndrc; car aucune peinture, aucune dcscrij.liou, ne saurait rendre lelTel
magique du sujterbc coupul ceil que l’on a de ce lieu.
I,e Pic de Pergonscsl dominé vera I est el le sudn-st par les moulagues d'Gyrè et de Baehceironi
néumupins, j.ar sa position isolée daiH toutes les autres directions, on sc croiraii sur uu belvedere
destiné à l'observation de tout,-s les autres sommités qui reulourenl. 11 offre en ,|uelque sorte m.
magu.fi.iuc sujet de tableau r ; mais quel intérieur que celui Je la régiot. eeutrale Jesliautes
Pyiénées! .[iiel cadic immeuse! .|ue d'objet» gigante8<|ue»l quelle infinite de détail»! et quel est
l'avlisie qui oserait s.ii»ir scs crayons à leur aspect.’ La nature seule |>cul présenter d'un incmc |K,iut
la réunion J'a.issi beaux site» et en for.ncr un tout harinomeux ; elle seule sait développe ces belles
‘‘ ligues, ajuster ces masses imposantes, calculerlesyffels pi,
,. et}'distribuer la lumière .1 uue manière aussi pillori-s.iue. Quant àno
les limites de uolte art, uous nous b.irnàii
se déployait au midi, pour eoiiserver le sot
■les plus iiaules sonimilés de cette région.
Mais me.- quelle sorte ,( ivresse les y eux s alla. bcnl à-la-fois-sur les noml.r.-ux objets .|u. sc présen-
tent de , e edté de la montagne I Si la b.-auté d’un specia. le aussi ravissant puvail biisscr à lesi.ril
la lil-erlé de |n-oceder avec ordre-, on dirigerait suecv-ssivement scs regards dan» la vaste étendue du
pays qui se pt.Jonge .I.-p.us la U.se d.t Bcrgom Jus.|ua culte partie la plus elevéede la vltaine, sur
les d.dn-,cux e-oleaux de Sia el sur le riant bass... .le Pragnircs; ou remanjucrai. ensuite les environs
.le Gcdrc et la gorge- sauvage qui de ce lieu tondi.il ,i Gavamic, oit sont les der.iiere» liabilalions .le
l liotntne .lan, co eaulou. Des deux cotés de l éiroit défilé ,p.c Ibn prcourt de U,z a ce bati.eau,
S,)(lj-.ran-..t, siu- la di-oile les s.mnnels i.-labisle, ¿u Moal-Saoiua, de Succugnac, de Po/uy-Espe ex.
.lu raiUon; i. gancl.e . eux du Dnuta, .les montagnes .le H,kis, du CoumdUc, du PimdaJ; et o.l ver-
i-ait .•..fin la eréte ,1e la diai.ie prin. Ipale se dév,.|o|ii,er maj.-stu.-nsc,lient sur un bonsoii de jdusieurs
lieues de longueur et terminer cet éloniiaut et admirabb- tableau. C'est en suivant la même ...ar.d.e
que loii pix-iidiail nui- idi e plus i xai le des Uxns antres , liaiiioiis des monUigiies
erns p,V-.-.xlem.n.-nl, et qui, vers ie uotxl, I est el I ouest, eucadrcul le bassmde- Luz. 1.