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Nous partons d-. W« à l aul.dn jour, « orrivésau Bonlou lu.usst
ment, de la grande route ,,ui . onduu en Espagne. Cette route, une
•. ancien eha.catt lort, bati pal les Coths, et ,|ui
plus a droite snr le liaut d une colUnc, oil I on
ts principaux on coulent le Tech, la '/ci et
rs la iiuT. dont il ne ve
pays .,ni s onvre devant le speetatenr tourné vers le ,S.»1. I.e tennin du premier plan de rctle vne. ioppait [Espagne nous priva .le cc même avantage ,U. roté o,.posé-, et d ilonner la ,mslliMn
telle quelle rat ,ep.é,n,tee sur la plamlieqni suit, et la montagne de la droite, appartiennent la si favorable du./broVt, dou nous aurions pu déeoiivrir les forteresses. t de/êguèror ainsi
d le long de la route^onne déjà la bgne dcrè^ralion entre les deux ,v
If le BoussiUon. el pour la G
le est le/ore de
Bedegarde qu.' l/siiis X l\' 111 batir snr Ies r.diies .I nue tour rvmaine i|iii avait élé Iranvformée en for-
,eres.se par le. Ib,-bare, pe,ulani i envalnssemenl des Gau/es el de [Espagne. Ce ful moins ponr exa-
miun les muyen, de d, leose de .elle place que |>o„rjouir ,bi maguillqoe con|>,la-d que nous pree
Í5',b.'la e'baleur dn jo,,,-;,! I. ,'.o’,',’! ' 7 1 ! ! l ‘
té sur la t,i|e et tombant sur le
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a uu le luuu et le bas de la jambe, i.e laemivicut que .1.