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,|. il , . a i k U É IV v v pviniir. plicv ,1,1« k. ,b... «Mn.I. d..
dont quatre soiitiidriix liaigiioiiv»; on y trouve en outre une J.uvelle, une doueln; à uu seul robinet,
el un ticlil salou .le repos eoinnuiu i. tous les baigneurs. Cet é.iifitr es, entouré dnn joli Jartliu,
d ae.aei.is, .ainsi que d m, petit bois planté le long Je la |«tn,e
le que la s.luation .1,. ces bains |ns-, la et
•c à gauclie le mon, .lit le P
ilanre.1.’ la,..scade, les mur
qui en est b. p.o,n ié,aire, sont d auUnU plus .lignes d éloges, qu ii a lalln plus de eou.age pour b-
HUropm-l-'j'i'ar on re|garalait ees bains oe.mue peu snseeptil.les danginentation, la sottree étau,
‘ ni apiiréeié selon sot. .nérite. Il „•..„Isl pas .1," même de celui du P F , qu'une p.Eik dijIan.l'r.Lü'
du piéeé,lenl; |>armi les établissements ,1., S,„l. .nais après ecltii de h FlaillU-n-, ces b.dns sont le.
plus fréaptentes. Ils ont été .amstrnits st.r le plan de de Dmz.n.d el ,1e Pauz,-, par M, An.lv,'
Caïalegele. I, ,,,,i ils ^ap^rtiennen,, e, qm «t auj.rnrd bui .Maux- de CauU-mz. La ten.péi ature ,1,-
lL so,u-ee .lY 'f io tW b de 3<j à 4o |ltalenr, promi »"c ex. avati.m
t, le long du (bave el s y per,lent sans qu on les a.t
le l',„d,x.il d où elles s,
qu’on Im sSppos,- pt.ur les otaladi. sLe cet oL,a,!rNwèrÎL,!,nLm«ro " L ’I,!
Dois, don, la chaleur est de .Ay i, dS deg.és. .-I qui est la pin., éloignée ,b- CmUcixlz. (\-y
psque le .nauvais ét.a, d