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Tumus'(r.ientla *n<fit<jiqurs Haiil UK11 ®ni£l 18 14, pag. 214.
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albo notatis. .
pja» fiSÿjS !Baff c(imci p iulum"inli >.( i ils pÊclQrî ( t'lateribus coifîi sordide
rifffîcT®H^iiImVj tT’fuseo -v ma;' abdoinine; li^frcliÈtMriis e t
H H i audæ mferioribus ruf- scenli-< iriewjs, his iiLinodioTOiîgitrdrsüïii ajp^uiofatis.
R-o’stro oj,^Wihu.Sil]a-yis. *.,.y
■ Le mâle, a :la tète hoirèjyaîyee, d es nuaiireesy^ê^ssàtres-^Re'spaee' entré* lés
dépx branches delsj maridihule inférieure esl -blanchâtre, et la go^ge est
tacheléê-dîc^mux-ei denoir ; le cou, la naique:et-un large plastron sur
la poitrine d’un roux vif trarMlant sjar Je noir des parties irifé-
meuresr; .la partie postérieure d>p, «ai,présente quelques: taGbes?h|pâtres.
'JVrti-t le -reste du corps5, est \di in noir un peu fuligineux ; les tectrices
inférieures-;de* la - queue- ontlFiùï-c»terég une pohê.loTïgrtudinale blanche.
L e bec ■ e#t;es--pieds s p B i n e A f
Laitemelle, par la distribution. dèsj.'COtdèurs, ressemble beaucoup
mâle, mais\ chez-e|i&t les wuancesi sont,- en général, pl-us pâles et plus
ternes. Le sommet et>]fe^cêtés-;‘ç|e lat$Me,sonjsf.d!an, brun roussâtre ; cette
dernière .^nuance domine sur lefront ; la partie postérieure $hl;<PPu est
aussi, d’un brun roussâtre, mais plus,.clair ; tout le reste des parties
supérieures,.-y -comprisJa&^jles' et la queue en dessus et en dessous, est
4« liv. 1848.