supérieure et par la forme des narine-, qui so.ul. allongées cl asso/. étroit' s f oniniffi jfflH
des Poules-d’èau.
Le caractère le plus distinctif du Tribonyx'. rési,dé;( dans pieds qui, Réljpgjnent
davantage ,des Dorphyrions i t dé- iPpules d(<m qui des Raies a^b*eo«f4iurl Lrs t u-es
et lesdoigts sont'beaucoup plus robustes qur m u dryVspei es qui appirlnnnent ayee-,
genres; les doigts spnt moins longs que ceux des Porphyrions
pouce est surmonté-et'ne',touche à,terre que sun.JLe»>boül de.-}jôngj(? qui doil probablcmenl
à cette circonstance d’être comme tronqué. Les ongles des doigts antérieurs sont aiis-v
plus courts, plus droits que dans les trois gènïlsTnentionnésicridèssus; ils -.oui tn-s-nblus
étatisés en;biais à-leur extrémité. _ . i .. . _ iÉ
Les ailes ont .également une forme particulière,- LlleV '-ont I res-arrondiès h très-courtes
et atteignentia peine la naissance de'lsu queue. Quoique ] atldchi- i n gm’irnl .v-s'i / pou
d’importance à: la ridogiieur comparative dos ri migi s, .ctîlrinle -tTildf loio ïgcn/'nqîîi,
jaioulf.iL qui' le Tribonyx. a l.i pri nuire pi une issi/Jaunit, ( ominc, toulesnlqs* r\pea s
de la famiUe.des Gaflinules;.=mais icorloSfetoriI ordmairi menl l.Ldèu'xièmt' iu ldijr-pjsù-u.u«.
la plus longue, et.rarèîp^nt-la■ q^trièm&iijtandis qù*,-le Tribony v a 1 cs.,-.H],â’/|ïjo ;_cl.(•• à
peu prCs d i gdlo’longiK ur et 1rs plus l'ôngui s de toutes.—
-“' ï l ‘m"e psgrait résuller de ce qui précède .qu‘0ô e t oise, u p. nt'wp'mfr ui^^rnrc distinct
qui trouve naturellement sa place entre'les .Raies ïftm (-.(.ourt-etdeÿÿliOEp.hjriOTis
■ J ’ai dépnt le fTnbpnyx dans^le, bulletin
4 avril 184’^ Au mois d’août^ek;lÜ£mènie (,inni e, M. De f .du snaye^d.ius lSfsWéèûsl
zoologique de la Société aiviéiiepmê}_créa, pour ccl oi'.cau, sou '■ous’cîrêrircl/lraih)pnil/u■..
auquel il .‘tssi(ïJL.j des caractères qui 11e difli-n nt pusj essuiujel b’-ijriciit do'c’i u\ que j a\.ns
précédemment formulis. D’Sjires ce.-s.ivuil ornithologiste-, la '(pu lie soi.uUp4pç£,.tarre-!
ment .et les doigts-ne .seraient pas bor dés de membranes 1 oinme obéi li sgHSjubss-d>e.iu.
Cependant l’exemplaire qui i-ai s \cu \ a la queue arrondu 1 nu nt \j
reconnaître les bordures membraneuses des doigts JffiMÙs^je eoiruï ns'.que.d.uis une pi.iui
sèche il est souvent très-difficile d enfKonsttîl cr~l t visl/ncc
‘ - TRIBONYX îMORTIEBII.
TIUBOMYX DÜS10RTIER.
f -Jjÿtyiehi t J
* Brachyprallus ralloïdes, De Lafr. Kev. zool. Août L8~40.
Tr. supra ôlivàceo-broniïeus|, guttjire, pectore et epigastrio cinereis ; ventre in médio<, crisso rectricibusque ni gris ;
albo notatd^ ahi lateriBus et tibiis olivaeeo - cinereis ; remigibus brunneis ? duarum priorum apiculis
âlbis ; tectricibus a@||^i 'mediis-efr minoribus cinereo-olivaceis, albo terminatis nonnull-isqne longitrorsimH' in medio
potatis; tectrieibus rnajoribns et ala spuria oli$aceo-brünneis, ^agàÜjo' terminata. Rostro viRescentir-flavo^ipdibÜs
plumbeo-lividis. |