SALTATOR ICTEROPYGA.
. H ABI^ .
15.
S» süpr.i saturateomeraSWfl^f fu'Ciis; superciliis, mento et gutture albis; péetore et
epigastrio fül'vp^cciitL-oi rip^e(9 ; \ entre diffife) fulvô;* hypocbondriis cinéreo-fulvis ; crisso.
^nÇfinoïm û fm --- fnVi1- éxt^f cmereo limbatis ^èctrièibus » supra aigris viridi-æneo
mbmicjntitms, unorébqui **\lus* liinbatis,' latéralibus quatUot utrinqixe macula magna
alba 'm "m®mppg5n,ii interi^t; riôt&fis*, Rostrq- eorneq-ij pedibus fujsces,centibus.
TouiVvJe1’ parties stipmcu(rc% sont d’n»-brun grisâtre: foncé; un peu
pi®érâlîi sur le croi|pion. Un trait blancs partant, du bord de la narine-,
B d i r i g e * aptère' ^ i f c s g te de l’oeili'ejl,, fqrme, un,large sourcil qui
s’arrête à la hauteur doVfg&jmt. L’êspâC,® éëlmÿrîs eJitçe? les deux branches
SB la mandiËu%inférieureie|t blan<^|^4tt^|4tÆeUK descend $6 là sur la
'|pl||§ et sur le devant dür cpu'lpuf èlle forme une sorte de petit plastron,
-Bordé later, d é t in t par uq trait, noir peu apparent ; cp trait sépare le blanc
de -^^ paftjes du brun grisâtre foncé qui couvre les côtés de la tête. La
partie' supiérflî^P^Wpoitrine est traversée par une large bande cen-
ad.ii?éê'Ji tout, M x^te' de lai; poitrine! fs#' d’un cendré un peu plus clair et
$ ràn tu^ l’il fauve. Le ventite eflfejamBès sont d’un fauve clair; lés flancs
sont d’un fauve plus fqncê|l|èlè de grisâtre. Les rémiges sont brunes,
bordées extérieurement de cendré. Les reotrices- sont noires en dessus,
àvec de légers reflêts bronzés, èfe Bordées extérieurement de gris cendré;
en d’ésSôüs; elles sont d’un brun grisâtre, plus pâle sur les pennes latérale^
Un largé espace d’un blanc pur .occupe la partie moyenne des
3« liv. 1847.