J’ai >sous les yeux un s’ëWnil exemplaire de ooltie 'Cspeqe qui p irait*être
plus jeune que ic premier ©âapparlcuir a un sexe different. S(> dLiM,oti-
siôns sont les mêmes, mais lesiteinfes^d^isnn plumage‘.sotnftjFêfei general,
plus claires. La tête n'est qu’en'dessus; la gorge'? les yôlês*de'î]U»l4ie
et le conrsont, -dë même que hiM parti'eS snpf(-'ri'eur< s^d un ht un» grisâtre
■ foncé, avec de légers ieHels'_vertdàlres. ha poitrine- et'Jes flancsjrsotvLdi un
gris-cendré; lé'VéÈiflre et l'es'-cWuvertlires inférieures1 tflL la queueisonl
d’un blanc rgrisâtre sale. Les ailes et la queue sont entier< ment-scmblables
à celles dti-premier Gxeuqilaire.
J’ai inséré dans le lîulléfifr de 1’ \eademie de Bruxelles,
la., diagnose?. spécifique f;d^ccw|ifeauk" qîmî 'j ’ai place daWlïWgeTirè
Lamprotornis ^jàfi&T Temjninck. Mais il .paraîi que sa veri.l,iîbl(-bj|ilo.Je(‘'
est dans le geni crÀplonh, < reeqiar M. Gàjuld pour deux è q^éesj^i i îs t-r a-
îiennes-^Piiôoee(l*«t-sP® Z. S .fd8% ^ ï^ É ^ S '« r£v)nl'eli<S>^n’ciyaiit pasaeu-
l’oerasion d’examinerén nature lest) pesaJéip dernira^dn-Fi1. j ’,ii conservé
à l’espèce; qui -est le sujef ’(T^^.'îr-tkdeî.Ia deho'iriuiation*^ÙÎfe^iq‘iU(‘'qm'
j ’^ais^pi^pédemment adoptéeb S
-A-j * L. obscurus a la mandibule ■ supérieur'' ar<piée cKs§sî^ll|s^Les
plumeside -la te Le, surtout relies difda par lie* su-p< riemxvsonl larièewdesy
L ’extrémité des. ailes L à< l’état de rejxèsv atteint à pet®pr®le milieiisd^d'a
longueurrde da queue* la* première ieniig(‘îiest^^eesskVjfi('i*it-’(‘ointe,
cà:raçt('ïfe«(*lont' M. Gould ne-failqias mention. inaisiqâïfe'.'iMMte sign,ileq».ir;
M. G. IL Grayî(Genï3ê^birds, part xspv]'? 14 seGoMletest1 uk* peu.plus
courte que Jfpî troisièÉie', quatrième ( I < umpii« lin . qui sertit» af-.peu près
d’égale lon|M|p||et les plus longues^toutes. La queue est <1ç>Wri<|*e#
carrée". '
Le Z. obscurus ressemble beaucoup a une espece décrite et ffgufre dans
la partie zfôôlpgiq iic du \ o\ âgé,de l’Asirolabe, par MM. O ào^etf Gaimart 1
t’* ,' pâg. igbj et pl. <)? fig. i ), sousIb-noïtf-dléf'Z. %&fatidicu&. Le
premier a le bec plus court et la iÈtaindibulë supérieure plus arquee que
le second, et les teintes du plumage de1 céïSkîr, tirent davantage sur un
roux,* assez îvif, qui' est las équleur de ses, ailes et de sa queue, tandis que,
4|iez- le premier^ ®e» parties n’ont qu’une très-légère teinte roussâtre. Le
•L. ~elhyd'iiX:iï)f<cA le L. obscurus constituent donc positivement deux espèces
différente^VLëxament de la figure pûjibéef dans le Voyage de l’Astrolabe,
à^é^laquelle lat description de MM., Quôÿet Gaimard, concorde parfai-
“ter&ent*, kf' faâss©’ subsister aucun douté sur ce*, point.
“ M. Lesson, dans? IfÊéliaLd'ut,mondes savant (juillet i 844> pag. 8i), a
publié',? comi ne ,%é<lke,. umçespre'e qui n’est autre que celle qui fait l’objet
de ; f efTéjiHli^é« Le vu aul r^Qwfôg.iie français reconnaît que le Stourne
dont-iï s^fMipi^iessi'iübBçîbeaui'oYij^ § celui que j ’ai nommé Obscurus;
etfil’- eii <Ionucl un,e^dësêr jgt-ion quif1 s’applique entièrement à ce dernier,'
.,e%jfj|i- est âffeeuü-près identique a.vec la diagnose spécifique que j ’en ai
ptibiré^onf i^Gq-JIÎ proprise- ensuite? cfejdésignes# Cet oiseau par l’épithète
spe c îfiqu’e v ie i Lamproi@¥nis‘ ,û^rp virMis vient grossir encore le
©a1allugue,.doja beaucoup tro p fliS ^® '® ^ espèces nominales.
’ii. lu®Æf./7zorfnfti.lr‘\iig(iis,eliLF(Vdiel(Jf (Lin. Trans^tCfflk XV, pag: %5q) ,
quèrM Lessnii Regarde avec le plus1 gy.wldjfcftrtiti> coïUmes identique avec
so^n ^;fgrpeiVi(iÂA;É^|;bi©n^é^rtainementi dn'ë4é£Mce distincte. II suffit,
un airicm-v de lire lJ|ét>urte' qBs’Criptioriî qu’en donnent lès
‘^teurs jngfiiF-strVdti laq uellou 11 résulté que le Mono est en entier d’une
|«i|whîùr' uniforme, e^,q„u’ill\ffl|' à: peu- près, un tieÿst de$ plus de longueur
fW ^ q n c ll^deux- |utres|«?s:*pe('(,'st dont il est question ei-dessus.
Le L., obscimM Habite la Nontélle-Zélandé.'al l àTeW trouve plusieurs
.exentplaires dans la collection du Muséet rèyab de Bruxelles.