
H 1 S T '(girfR E N A T U R E L L E
L 'E L O R I O T R 1 1 1 1 1 1 , M Â L E.
N°. a6 3 .
ïli OT8mwr)|p< rNÎi 411
( le 1-1 f'1
l’un avec l’autre, et q 11 i par là prêtent davMjifâtiÆ{3slftd‘r ^ ‘wMMBl^w m ^ P
%®jM iftltnit jl” il'i 1 ■‘"1 ujVie's
arnffiCMi-a^aHp|S^nfîiViirs . m t a n'y a Pas eu
•le moindre ilouii”*-.! t< S
^<rr 1 îTiÿ W 11 ( ijjM( lÿlii iim
i m C T t i ^ |,1!( ^ 111 ^ i‘» ■ |! t
P B i-fen^n (ju iilsPrlKMil^iiiîSm^^n^iTîu^liitii?-^
veuille les séparer ou les réunir, ou même les considérer comme formant
W n M l r m hit « t i i s
se trouvent dans le même pays, ne se mêlent point.
Le Loriot rie u r, quoiqu’i n f / j .- n’en a
<’ jilu-. long, plus fort que ce il<'inier, et sa mandibule
sûpi'j-iutrti t s^^pïRnMiicitpar un croc mince (HHH jW ftB jB
Mès.-sens) 11 r>rt- snid'tfm
minin' < ornmei fît / ’il' iu1u
i^ifi 11 qu« refus que le
nia ~ i i> 11 wBOE^Pa^k'i^lfl mft 1 ^.*!I uc
chez lui il se l( limn i"
twaflEgti imiin * S S p
'* (1) Outre nos trois espèces de bécassines d'Europe, le tvmrF^fflrO'il'.- le gr i'lu eL un petit gadu-
mouche. de Cayenne , ont tous trbis le plumage tellement semblable par les couleurs et par -leur
distribution, que la description de l’un, GOt^èmlpàrfaiterilent à l’autre. Cependant, il 'éstampossible
d^fitfe pas cdnVenir que ces oiseaux soient d’espccc différente, puisqu’ils^tfèçtont pas du même genre.
S tir