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(1) La langue des piès est composée de deux longs filets cornés, réunis
à k ü r extrémité antérieure où ils forment une pointe solide triangulaire , garnie sur■•■ ses bords latéraux
des dents' à crochets ’dont nous avons parlé; ces deux filets sont ensuite enveloppés dans un fourreau
musculeux commun à tous deux, et qui ayarit la propriété de se contracter sur lui-même , se raccourcit
ou s’Ilonge à volonté , en se prêtant au jeu de la pointe qui est dégagée du fourreau. Les deqx_fîl|ts
sont reçus cSàcun à)leur extrémité postérieure, dans un fourreau particulier qui passant dé chaque
çêté du COUen embrassant le larynx, remontent derrière la tête , et vont s’implanter sur le 'frönt.
Ges deärt fourreaux particuliers reçoivent ainsi chacun l'excédant des- filets <à imeçure, > âge-,îhfc jlap,gqe
a lesoin de se raccourcir • de telfo sorte que lorsque l’oiseau pousse sa langue au dehors, les deux
filets se réunissent dans le fourreau commun, et quand il la retire;, chacun d!eux se sépare .pour
Ténirèr dans 'son fourreau particulier.
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généraly parce que nous connoissons parmi eux une espèce qui vit en
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du reste de i l M ' ^ l î f V f i ; manière dont ÿT ; su In ient à ses
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voyons que '•< > ux qui s’occupent le moins sont toujours ceux qui en
montrent le plus pour elle % Cependant, quoique la vif j nible des Pics
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le mi me trou qui a servi de berceau à ceux-ci, et où toute la famille
nuit pour, dès le point illuJj^nr^Mv,]
chacun de son côté, aux moyf n,-<f<lig pourvoir à ses besoins. C’est encore
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ilie, que le tems dn
repos rapproche ensuite sous le toit paternel pour leur faire goûter ensemble
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in utilité dans vingt t,< i.î cle
soirs, dans des trous d’arbres , et c’est dans ces trous que les K n$>‘j™
déposent leurs oeufs sans y fairt de
plusieurs autres, qui, pour s’établir coninif dans des trous d’arbres,
n«5hi'ii'>1'i.iW'.( nMp’fe.mowWBÆffiîrtli, ti lli.'^ymöt.n’n«. ^ -U ü î
W ^ n îi •.mittf-, t"\l u^jMr Imil pt uplf
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venus accréditer Cf tlK ein ur ( 1) , il en est résulté que dans beaucoup de
p n,«fnn Ï.U V ’ji' | », u L-^c-l-r. tenté , pour la conservation de
^ MttnSJcSBi'i <m v . l«nul I-» g&Ui* ***i| ff ♦ )fl f ^ est
1 îM ^ î.^ iïï^lMjTOl^flyui^-ôliljifmj^.ol 1 éi ( jil ijqîul Hry^ ^
ôtiM( n ïtlî& i”’'iurÿli‘^ ijnsf ( Il , d If , 1,^1
te x til iiWfiw^ße^ui fcet( Lu l ^ au lieu de 1 ni^i ju^ç^ i ujjmi
. fiuffoxi, .eii parlam du Pic noir d’Europe , dit: « Cet piseau creuse profondément les arbres
l/|^ ik r ';Sè'; loger dans le coeur oh il se met fort au large. On voit souvent au pied de 1 arbre ^ sOus
y RnTi^trmi , un hoisseau de poussière <2t de1 petits copeaux ( il auroit fallu ajouter de /?oz*tt£ ).
« Quelquefois, il(ç-reuse, il excave l’intérieur des arbres atf .point^^ ^ m ^ n m t 6 » ^ m ^
.« vents ,Cct oiseau^ -continug le .même, anteur,, 'fçrbit >donc grand tort aux arbres , si l’cspcce en
WfÀiiSii^lns unmhrftiisp.. » Mais., par une c;©pfradiiGd©n; inconcevabte, il àvoitê qu’:il ;s:^tacbè'de préférence
aux arbres dépéris fans*' « et malgré ,céla., les gens soigneux de ^ lèu rs^ ^ ij, cherchent, dit-il
ÿc^epeore y à détruire ces- Pics , parce qu’ils me laissent pas f d'attaquer ^a^^be'^gg^a ^ ^ a rb re s sains. »
Buffon cite encore un Mémoire d’un M. Dcslandes, où ce dernier se plaint du ravage que les Pies
»occasionnent aux arbres. Gomment citer le témoignage d’un homme qui prétend que ces, oiseaux
se servent de leur langue, comme d’uneifarièrç;,.pour pCTG^les arbre^ÿ.