
CONSTRUCTIONS HYDRAULIQUES .
x hydrauliques chez les peuples de l’Afrique, cela ticnl
virent presque mus'"¡-'car l'eau a toujours clé beaucoup
appelle en Afrique
la possession d'une
des monuments de
le conception française, construit
ds que ceux qui font le sujet des
¡s 62 et 63,
, depui les
valle.
ni contenir plus de deux
est représentée par les
e de blocage; toutefois,
u revêtement des ouver-
nats aujourd hui, il n’en
galeries longitudinales,
n voit les restes de la partie la
e trouve que quelques parties
de Manouba, au conservi
de carrière pour cette ville naissante; il en est de même de la partie qui avoisinc
Carthage; il ne reste plus' de la construction antique que les blocages intérieurs des piliers
renversés. Cette partie n'étant pas utile pour conduire les eatfx à Tunis, ne fut jamais
La planche 62 donne les détails des deux
première élévation, avec son plan e t sa coupe, montre
l ’origine punique ou romaine parait encore incertaine,
de taille ; les parements forment des bossages rustiques
taillées; les massifs intérieurs sont liés pa
Igré scs formes
des Tut
element avec son
d'importance. On
adoptée pour 1:
tauration oflrc
nombreuses pa
en pénétration verticale, ta
parties où le canal existe;
morceaux de bois qui par:
de l'aqueduc. La
antique dont
faite en belle pierre
es arêtes proprement
Un excellent mortier. On comprend que ce
noins massives, ail encore mieux résisté que
c presque plus rien dans celte plaine. La
plan et sa .coupe, montre la construction
iré de la plaine de la Manouba, où celte res-
■oil encore dans la construction antique de
c de construction; 1
slauration, on ne trouve plus que quelques
lie. On a noyé, dans le pisé des piliers, des
l'échafaudage et en même temps à conso-
sculs ont été faits en appareils de petits
t portée de 1
a première est celle d'un pont formant barrage mobile,
construit avec des matériaux antiques, parles beys de Tunis; les arches sont très étroites,
e t vers la tête d’amont, l'on a pratiqué des rainures dans lesquelles on peut introduire
des poutrelles horizontales e t faire refluer ainsi la rivière par la superposition des poutrelles,
à la hauteur que l’on désire.
La grande maison, en partie construite à l'européenne, que l’on voit par-dessus le
pont, est une fabrique de draps établie par les beys de Tunis et dirigée par des Français.
L’autre dessin la même planche est une vue des restes antiques d'un barrage fixe,
destiné à faire refluer les eaux dé là Medjcrda, pour l'arrosCmèni des terrés. Sur la
pointe en aval, on voit les restes d’un édifice également antique, qui parait avoir été
une usine. En amont, existe un pont qui a été restauré par les beys. A l'une des
extrémités de ce pont, on voit, dans la verdure, la maison de campagne du kazenadar
(ministre des finances de Tunis). A l'autre extrémité du pont, on trouve, dans la berge,
des voûtes antiques qui pourraient aussi avoir appartenu à des établissements industriels.
Cependant, les nombreux débris d'architecture que l'on rencontre depuis ces ruines jusqu’au
lieu où est pris le point de vue, et même au-dessous, permettraient d’attribuer ces
restes à des édifices d’un ordre plus relevé